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Djibbouk & Littérature ethnopsychiatrique

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Claude Levi Strauss - Archive INA. Hitler Blues. Voyage au pays des banlieues sionistes. Leonard Bernstein -- Dybbuk. The following press release was written by Margaret Carson of The Carson Office. May 16, 1974 - Premiere It was thirty years ago that Leonard Bernstein and Jerome Robbins first talked about creating a ballet based on "The Dybbuk", a play by S. Ansky. The two men had just completed their first collaboration, "Fancy Free", which had its premiere April 18, 1944. Though the idea was never abandoned, other projects seemed to intervene.

The legend of the dybbuk has fascinated musicians, writers, dancers, ever since 1916 when S. It was during these trips that Ansky learned about the dybbuk. Ansky's play, which has become an international classic, was first produced in Yiddish by the Vilna troupe in 1920 and then, in the Hebrew translation of Bialik, by the Habimah company in Moscow, Tel Aviv, and New York. The play has inspired various artistic and musical treatments of the legend.

Un désir fou de danser (2006) , Elie Wiesel, Littérature française. La Danse de Gengis Cohn. Ahasvérus : par Edgar Quinet (Nouvelle édition) Peut-on appliquer la littérature à la psychanalyse? - Pierre Bayard. Peut-on appliquer la littérature à la psychanalyse. Suzanne Doppelt. Magic tour, avec François Matton, L’Attente, 2012 Revues Antigone, Vis à Vis international, Revue de littérature générale, Vacarme, Parallax, Rhinocéros, IF, Carnet de route, Sibila, 1913, Canarium...Bref éloge du coup de tonnerre, René Farabet, éditions phonurgia nova, 1994Mange, photographies et texte, éditions Snapshot, 1995Ecrivains dans la cité, Maison des écrivains/Drac, 1996Just from Cynthia, avec Alberto Sorbelli, CDrom, Centre Georges-Pompidou, 1996L’hypothèse du château, photographies et texte, éditions Snapshot, 199736 chandelles, photographies et texte, Cronopio / AFAA, 199813 superstitions, avec Manuela Morgaine, éditions Créaphis, 1999RAPTUS, éditions de l'Attente, 2000La 4ème des plaies vole, inventaire/invention, 2004Le Pré est cinétique, ACR France Culture, 2007Le monde est beau, il est rond, inventaire-invention, 2007 Photographie.

Le pré est vénéneux - Suzanne Doppelt. Comme celui qui le traverse, le paysage se transforme, les perspectives se défont – des images fantômes. Des épreuves supposées, une initiation au terme de laquelle on ne sait rien de plus ni de moins.Des textes courts où les mots et les images s’entrecroisent, se font écho, forment une trame étrange, dessinent le trajet aléatoire d’un homme à travers un panorama qui se métamorphose, tremble, se diffracte, tourne, devient carrefour, luna park, labyrinthe, chambre noire... Il y croise des figures légendaires, le golem, le dibbouk, enfourche un tapis volant, rétrécit à l’infini.Tant pour les textes que pour les 17 planches noir et blanc qui les accompagnent, ce livre a tout particulièrement trouvé son inspiration dans les photographies spirites...

Comme celui qui le traverse, le paysage se transforme, les perspectives se défont – des images fantômes. Voir la biographie et la bibliographie de Suzanne Doppelt Margmedia, Norvège Lire la poésie. Le crépuscule, au loin | Editions Grasset. "Au commencement était non pas le Verbe, mais la Folie. " Folie du monde. Folie de l'Histoire. Folie de ce vieux Juif croisé, voici quarante ans, dans le ghetto de Rovidok. Folie de ces prophètes, entre démence et enfance, qui peuplent à nouveau l'univers de Wiesel. Et puis folie, surtout, de cette étrange maison de fous, à New York, où le narrateur est venu chercher les traces de Pedro, cet ami d'autrefois, disparu au lendemain de la guerre, et sur qui pèsent de terribles soupçons.

Le narrateur échappera-t-il lui-même à la folie ? Le crépuscule, au loin - Elie Wiesel. Pages 466, 467, 468, 473. L'adieu au voyage. L'ethnologie française entre science et littérature. Lévi-Strauss - Entretien avec Jean José Marchand (1972) Faux Messies et vrais démons. L’écran fantastique de l’histoire dans la littérature yiddish de l’entre-deux guerres (Fabula / Colloques) 1Représenter l’histoire ne va pas de soi en contexte juif1, et la littérature yiddish, expression multi-séculaire de la vie ashkénaze, connaît à la période moderne des développements qui témoignent d’une évolution intrinsèque, mais également de la naissance conjointe de l’historiographie. Ce mouvement d’écriture de l’histoire s’inscrit dans la lignée des changements conceptuels introduits par la Wissenschaft des Judentums (la « science du judaïsme ») et l’ouverture disciplinaire résultant des Lumières. 2Ainsi, l’entre-deux-guerres condense et radicalise des évolutions qui se situent en amont, liées à la sécularisation et à la modernisation de la société juive en Europe orientale, ainsi qu’aux transformations des savoirs.

En s’ouvrant à la représentation du mouvement de l’histoire, la littérature permet de développer des régimes d’historicité (F. 14L’écho littéraire de ce contexte, perçu comme apocalyptique et inaugurant des formes de destruction massives, est considérable. L'homme qui voulait être prince | Editions Grasset. La biographie de Michal Waszynski pourrait se réduire à ces quelques lignes : Né en 1904, mort en 1965, il a été l'assistant de Murnau, a réalisé en 1937 le chef-d'oeuvre du cinéma yiddish Le Dibbouk, a travaillé comme cinéaste en Pologne de 1929 à 1939, puis comme directeur artistique en Italie et vice-président des productions Bronston en Espagne.

C'est peu et c'est faux. La biographie de l'illusoire et somptueux Waszynski, telle que Samuel Blumenfeld nous la raconte à l'appui d'une documentation inédite, est une reconstruction totale. Comment un juif né en Volhynie, c'est-à-dire nulle part, a-t-il pu se faire passer pour un prince catholique et un aristocrate polonais ?

Comment a-t-il échappé aux camps pour survivre comme caméraman dans l'armée du général Anders ? Est-ce l'amour qui commande au mariage entre cet homosexuel raffiné et une comtesse romaine octogénaire qui lui lègue son immense fortune ? L'homme qui voulait être prince - Samuel Blumenfeld. Témoignages de l'après-Auschwitz dans la littérature juive-française d. Berlin19391945.jpg Photo by laetm | Photobucket. Guérir de la Shoah - Nathalie Zajde. Souffle sur tous ces morts et qu'ils vivent ! - Ouvrage de Nathalie Zajde Préface de Tobie Nathan 286 pages, ISBN 2 85919 084 8 - 18,30 € (en réimpression) - La transmission du traumatisme chez les enfants des survivants de l'extermination nazie - NATHAN. Le dibbouk et autres textes - Jérôme Sas. Le Dibbouk et autres textes, Jérôme Sas.

Comme souvent avec la culture juive, ce drôle de démon est, la plupart du temps, partagé de peurs et de rires, via le grotesque des contes. Ici, c’est autre chose : « mon ami dibbouk, tu es le miroir noir de mon corps… tu m’as chahuté sur une mer fangeuse et sans issue » dit J. Sas, dès la première nouvelle. C’est donc dit ; ce dibbouk est un marqueur de sombre dépression, passeur de tous les savoirs obscurs d’une culture et porteur du plus lourd passé qui soit : la Shoah, elle-même. La France de tous les jours, celle de vous et moi, mais habitée par ce parcours là, donne l’occasion à J. Sas d’écrire ses pages les plus justes ; pour moi, les plus belles : « premières traces de l’automne. Mais on navigue ici en culture juive – des pages savantes à la précision érudite abondent, d’ailleurs, sans pédanterie – et du coup, on plonge aussi en humour juif de la plus belle eau ! Mais avec un tel bonheur de lecture !

Martine L Petauton. Luc Bondy.