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Health Economics

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More Proof: US Health Care Prices Are Totally Insane AnonHQ. Health Many people who were baffled with Martin Shkreli, the price-gauging Pharma CEO, for raising the price of a life saving drug by more than 5000%, asked why the government watches in silence even as Big Pharma make a killing off sick people. The answer is – drug companies are a powerful lobbying force in Washington. Period. According to the Center for Responsive Politics, drug companies have spent $2.3 billion on lobbying and $183 million on campaign contributions since 1998. The ready money serves as a strong deterrent against any legislative proposal that would lower costs for consumers and profits for the drug makers. American spending on drugs has more than doubled since 2000, rising from $121.2 billion then up to $271.1 billion in 2013. Get Your Anonymous T-Shirt / Sweatshirt / Hoodie / Tanktop, Smartphone / Tablet Cover or Mug In Our Spreadshirt Shop!

This Article (More Proof: US Health Care Prices Are Totally Insane) is free and open source. SANTÉ • Les maux chroniques du système chinois. Le 6 avril 2009, une nouvelle réforme de la santé était lancé par un avis du Conseil des Affaires d'Etat. Cet avis, dont l'élaboration a pris trois ans, indiquait que l'objectif à court terme était de trouver une solution aux problèmes de l'accès aux soins et de leur cherté. Mais le projet a laissé perplexe, car il restait très général, sans aborder les questions concrètes de ressources humaines, financières ou matérielles.

Aujourd'hui, un double constat s'impose. D'une part, le personnel médical a encore un niveau de formation insuffisant. Une grille des salaires trop rigide En Chine, les dépenses générales de santé représentent environ 5% du PIB, beaucoup moins que dans les pays européens et qu'aux États-Unis. Par ailleurs, dans les hôpitaux chinois publics, les médecins sont payés selon une grille administrative et une échelle salariale strictes, qui ont peu varié au cours des trente dernières années.

Tout le monde à l'hôpital Sous contrôle total de l'administration. Donating.vs.Death-Graph.0.jpg (JPEG Image, 760 × 1075 pixels) - Scaled (93%) Farmacoeconomia. Health data Navigator - Home. Lexeco | Le lexique médico-économique. Doc'CISMeF - outil de recherche en santé: sciences information.mt. European Observatory on Health Systems and Policies. European Observatory on Health Systems and Policies The Observatory supports and promotes evidence-based health policy-making through comprehensive and rigorous analysis of the dynamics of health care systems in Europe.

Read more Top story Rethinking health at the 74th United Nations General Assembly25-04-2019 A recent side event at the 74th session of the United Nations General Assembly, co-hosted by the European Observatory on Health Systems and Policies and WHO, has demonstrated how health expenditure drives sustainable and inclusive growth rather than being a drain on the economy. Read more Health system reviews (HiTs) Countries’ health system reviews with facts, figures and trends Full list of HiTs Policy briefs and summaries Brief reports outlining available evidence or experience on a specific policy question or area and drawing key policy options and lessons from it Full list of policy briefs and summaries Country Health Profiles Go to the Country Health Profiles page Eurohealth Health Policy.

Health financing for universal coverage. Méthodologie de l’évaluation économique des programmes de santé. Méthodologie de l’évaluation économique des programmes de santé Typologie des coûts Coût d'une étude "qualité de vie" Choix des méthodes d'évaluation Les objets de l’analyse économique comprennent d’une part les coûts et d’autre part les conséquences de la mise en oeuvre des programmes médicaux. Les coûts considérés sont des coûts d’opportunité, qui représentent l’ensemble des ressources consommées par un programme médical et qui, du fait de leur immobilisation, ne sont plus disponibles pour une autre utilisation.

Autrement dit (Bremond), « le coût d’opportunité d’une ressource correspond à ce qu’elle rapporterait dans l’utilisation la plus rémunératrice parmi toutes les stratégies réalisables ». 1) Typologie des coûts Coûts directs L’ensemble des ressources consommées et des dépenses directement attribuables au programme. Dans le calcul des coûts directs, il est nécessaire de ne pas confondre les deux notions interdépendantes mais distinctes de « coût » et de « prix » d’un service. Votre recherche | Base documentaire BDSP. Faut-il contrôler les dépenses de santé ? Jean de KERVASDOUÉProfesseur au CNAM : ancien directeur des hôpitaux Richard BOUTONPrésident d’honneur du syndicat de médecins généralistes MG France, Auteur de Un toubib en colère (Hachette littérature‚ 2003) Étienne CANIARDDélégué aux questions de santé et de Sécurité sociale à la Mutualité française Résumé Bien que le secteur médical soit l’un des plus porteurs de l’économie‚ il paraît urgent‚ compte tenu de l’état des finances de la Sécurité sociale‚ de contrôler la croissance des dépenses de santé‚ d’autant que celle-ci est clairement déconnectée de la croissance de l’espérance de vie.

Mais lorsque le contrôle des dépenses de santé se borne à de simples mesures de déremboursement‚ il n’atteint pas ses objectifs : aux États-Unis‚ la privatisation de l’assurance maladie a paradoxalement fait augmenter la croissance des dépenses publiques. Le texte complet est paru dans le journal de l'École de Paris N° 45. Le don, la maladie et la déshumanisation de la médecine.

Assistance mortelle. Le 12 janvier dernier, le troisième anniversaire du séisme qui a fait, en Haïti, 230 000 morts, 300 000 blessés et 1,5 million de sans-abri, a donné lieu au même bilan sévère que les années précédentes : reconstruction à peine entamée, marasme économique, pérennisation de campements de fortune et de nouveaux bidonvilles surpeuplés à Port-au-Prince et alentour.

C’est cet échec que le cinéaste haïtien Raoul Peck a documenté deux années durant, en braquant son regard sur l’aide internationale, qui en est à ses yeux la première responsable. Arrivé sur place dès le lendemain de la catastrophe, frappé par le gigantisme et l’opulence de la machine humanitaire qui se déploie, il décide d’observer dans la durée le processus de la "reconstruction en mieux". "Build Back Better", promet en effet Bill Clinton, coprésident (avec le Premier ministre haïtien de l'époque, Jean-Max Bellerive), de la Commission intérimaire pour la Reconstruction, chargée de coordonner l’ensemble des secours.