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Transports

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Transports & Mobilités, quelles sont les richesses dont il faut maximiser l’usage. Dans le monde qui vient, nous allons, sans doute, devoir prendre soin de plusieurs richesses : toutes les matières premières, dont les énergies fossiles ; ceci passe notamment par la mise en œuvre de l’économie de la fonctionnalité et l’économie circulaire ;tous les investissements déjà réalisés et ceux à venir, et notament l’ensemble des infrastructures disponibles (routes, voies ferrées, gares, stationnement, …), des outils industriels de production; ceci passe par une exploitation des infrastructures bien plus dynamique, souple et modulable, des tarifications liés aux usages et un meilleur usage des produits industriels dont les véhicules ; et notre plus grande richesse : notre temps.

Transports & Mobilités, quelles sont les richesses dont il faut maximiser l’usage

Pour cela, nous disposons de facilitateurs permettant de développer un ensemble de solutions de mobilité ou d’immobilité, mais également de réorganisation des entreprises et des ménages. Ces trois facilitateurs qui se développent actuellement simultanément permettront de viser à long terme: Transports & mobilités, quelles sont les 5 innovations qui peuvent changer les comportements. Dans le domaine des transports & mobilités, l’innovation est depuis des décennies un objectif majeur pour de nombreuses entreprises.

Transports & mobilités, quelles sont les 5 innovations qui peuvent changer les comportements

Elle structure leurs actions, leurs organisations et leurs comportements. Innover devient un besoin de survie de l’entreprise, un facteur de différenciation vis-à-vis de ses concurrents, avec dans de nombreux cas des produits/services en décalage par rapport aux besoins de notre société. Sur le long terme, compte tenu d’une part, des tendances connues sur les prix des énergies, les contraintes sur les émissions de GES et de polluants, sur la démographie et l’urbanisation, ainsi que les objectifs « extérieurs » (Facteur 4, Qualité de l’Air, moyenne des véhicules à 95gCO2/km …) et d’autre part, sur les incertitudes concernant les ressources budgétaires publiques et privées, les modes de vies et de consommation, il est proposé comme objectif global : Pour atteindre cet objectif global, nous pouvons proposer de plusieurs étapes clés : « Holoptisme et Monnaies ».

Les mobilités éprouvantes. Regards sur les pénibilités des déplacements ordinaires. 1Dans un contexte de mobilité généralisée où les formes et les pratiques de mobilité se multiplient, structurant de manière profonde la vie quotidienne des sociétés contemporaines, il est indéniable que les aspects pénibles et éprouvants de ces vies mobiles, eux aussi, se développent et se diversifient.

Les mobilités éprouvantes. Regards sur les pénibilités des déplacements ordinaires

Il apparaît alors indispensable, pour les sciences humaines et sociales, de proposer des investigations explicites et fondées de ces épreuves – entendues ici comme l’ensemble des émotions, des images, des pratiques, des lexiques et des configurations dans lesquelles se déclinent la formulation des peines qu’engendrent les déplacements ordinaires.

Comment aborder ce phénomène de la pénibilité des expériences de mobilité, quelles en sont ses manifestations pour différents types de déplacements ou de populations, telles sont les questions auxquelles ce numéro d’Articulo – Journal of Urban Research tente d’apporter quelques éléments de réponse. La mobilité comme bien public. Lorsque, en 2003, sur la suggestion de François Ascher, nous lancions le débat sur le droit à la mobilité dans le cadre du colloque de Cerisy Les sens du mouvement [1], nous touchions un point sensible.

La mobilité comme bien public

Il existe en effet des courants importants du débat public qui adoptent la position exactement inverse en affirmant un devoir de non-mobilité. Ces courants considèrent que la proximité est une commandement moral et que la mobilité est un mal en soi. Faisant comme si la mobilité était en elle-même un danger pour la nature, ils stigmatisent tous les transports à longue distance, sans insister sur les déplacements en automobile, pour l’essentiel intra-urbains, qui produisent pourtant bien plus de dioxyde de carbone.

Droit à la mobilité vs droit à l’immobilité Un autre point de vue lui aussi apparemment contraire au droit à la mobilité mérite d’être signalé : le droit à l’immobilité [2]. Qu’en est-il donc du droit à la mobilité ? La mobilité ne se limite pas aux déplacements.