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Schémas

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Rapport de l'UNICEF: La France classée 23e sur 24 pays de l'OCDE pour les inégalités en matière d'éducation. Mozilla Firefox. Québec : Un modèle pour l'école française ? "Pourquoi le Canada est-il parmi les premiers de la classe ? " demande un récent rapport de la Commission de la culture du Sénat rédigé par J Legendre, JL Dupont, D Assouline, JP Leleux, C Domeizel et B Gonthier-Maurin. Ce cri est entendu aussi en Angleterre où le Guardian, le 4 janvier, demandait aussi si l'école canadienne est un modèle pour le Royaume-Uni.

Et de fait les résultats de PISA montrent que le Canada peut s'enorgueillir d'une certaine réussite scolaire. Une semaine québécoise. Autant y aller voir de plus près. Celui qui veut connaître le vrai niveau du système éducatif canadien et du québécois peut consulter la derniere édition de PISA. Pourquoi ces résultats ? Le Guardian explique la réussite du Canada par un facteur clé : la liberté. Rapport du Sénat Article du Guardian Canada et PISA. Apprendre à questionner? Quand Socrate peut encore être utile! Pour Bruno Devauchelle, une appropriation critique des outils numériques passe aussi beaucoup par la pratique, et pas uniquement le théorie. Une nécessaire dialectique qui passe par une revalorisation des usages non "nobles" du point de vue de l'école académique.

Les débats autour des compétences informationnelles des jeunes, leurs habiletés, leur naïveté, leur absence de sens critique sont entrés désormais dans le champ de la banalité. Ils acquièrent des connaissances « futiles » et pas des connaissances « utiles », déclarait un orateur lors de la conclusion du séminaire sur le manuel numérique organisé par le ministère de l’Éducation les 20 et 21 janvier à l’ENS de Lyon. Ils ne maîtrisent pas réellement l’ordinateur disent les autres enseignants, il leur faut des cours d’informatique disent encore d’autres, fiers d’annoncer qu’ils ont obtenu une option informatique en terminale et que l’informatique entre à nouveau dans l’enseignement. À suivre et à débattre… Le blog de Michel Lussault » Blog Archive » Le mythe de la professionnalisation-1.

Il est bien un postulat en deux temps qui paraît aujourd’hui peu contestable, une sorte de vérité absolue : il faut professionnaliser les études supérieures ; la fragilité des filières universitaires classiques tient à leur trop faible professionnalisation, à laquelle il importe de remédier par des actions énergiques, essentiellement de mise systématique en situation professionnelle « réelle » des étudiants via des stages. En la matière, toutes les politiques menées depuis déjà 20 ans convergent. J’ai moi même pratiqué quelque temps la méthode Coué qui consistait à voir dans la professionnalisation l’instrument magique qui permettrait de régler la plupart des problèmes. J’en suis aujourd’hui assez largement revenu et je pense même qu’il devient urgent de renoncer à cette vulgate. Au risque de surprendre, je pense donc qu’il faut en finir avec une idéologie dominante qui, comme toute les idéologies dominantes, aliène la pensée.

A suivre. Le blog de Michel Lussault » Blog Archive » La professionnalisation, pour suite à donner. (Le “mythe” etc.2) Le billet intitulé le mythe de la professionnalisation suscite beaucoup de réactions. J’en suis heureux, cela prouve l’importance du thème. Séjournant pendant quelques jours à New York, pour mon travail de recherche de géographe, avec un programme chargé, je ne peux trouver le temps d’écrire comme je le voudrais la suite de mon argumentaire.

J’assure tous les lecteurs du blog que je remédierai à cela la semaine prochaine. Mais, je me dois de préciser rapidement deux ou trois points, en commentaire des commentaires qui m’ont été adressés. Je répète d’abord, pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté, que je suis favorable à ce que les universités préparent (aussi) les étudiants à l’insertion professionnelle. Je préfère d’ailleurs en ce qui me concerne parler d’insertion dans un parcours professionnel et d’activités. 1. 2. 4. Dernière petite remarque. A suivre… Le torchon brûle entre les jeunes et l'entreprise. Ils sont cyniques, individualistes et peu concentrés selon les uns. Les autres répliquent qu’ils ne se sentent pas bien intégrés dans le monde de l’entreprise et déchantent. L’observatoire des cadres de la CFDT s’est penché, mercredi dernier, sur le fossé qui sépare les employeurs et les jeunes cadres fraîchement diplômés. « Entrant dans la vie active, je pensais trouver en mes supérieurs hiérarchiques, non pas des mentors mais des exemples, des modèles de professionnalisme et de mangement.

J’ai parfois été très déçue… Certains d’entre eux travaillaient moins que moi. Ils étaient moins impliqués, faisaient moins d’horaires », déclare amère Claire Martin, 32 ans, ex-consultante junior. Elle n’est pas la seule à avoir expérimenté cette douche froide, comme le confirment les études et témoignages qui ont ponctué le séminaire organisé, mercredi dernier, par l’observatoire des cadres de la CFDT. Pas d'entretien Des jeunes cyniques et individualistes Chacun pointe du doigt le voisin.