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Idées

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Les optimistes ralentissent ! Puisqu’on est encore en début d’année, période où, après « résolution », un des mots les plus populaires est sans doute « tendance ».

Les optimistes ralentissent !

Et puisque, même si je me sens de plus en plus allergique au mot « tendance », je me suis déjà laissée entraîner dans l’exercice , je vais continuer un peu. Et parler d’un sujet qui, je crois (j’espère ?) A des chances d’être dominant cette année : le fameux mouvement « slow », et tout ce qui est lié à notre désir de ralentir, et de remettre en question notre rythme de consommation effréné… 2011: l’année de la « slow attitude »? Bien sûr, on en parle depuis un moment déjà. REGARDS SUR LE NUMERIQUE: Blog - Bernard Stiegler : L'opendata « fait éclater les frontières entre public et privé » RSLNmag est édité par Microsoft et se consacre à l’analyse et au décryptage du monde numérique.. La participation citoyenne ne tombe pas du ciel. Il faut la cultiver! Education bubble. On retrouve les mêmes histoires à propos des Med Schools, les très onéreuses écoles de médecine américaines.

Education bubble

Plus largement, avec la crise des subprimes, beaucoup d’Américains ont perdu les économies qui auraient permis à leurs enfants d’aller étudier à l’université: certains ont opté pour les universités publiques, bien moins chères, et d’autres ont tout simplement renoncé à poursuivre leurs études. Et pour ceux qui s’obstinent et qui n’ont pas des parents riches, l’endettement est la seule voie. D’ailleurs, les frais de scolarité ont augmenté comme rarement auparavant. Les universités font de leur mieux pour que leurs étudiants obtiennent un crédit qui leur permette de payer ces frais de scolarité exorbitants, et sont pour cela dans une course aux étudiants bancables, quitte à baisser le niveau, bidouiller les statistiques et multiplier les diplômes plus ou moins bidons.