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Economie de la débrouille

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Observatoire LCL en ville : Les rapports de voisinage. Le rapport au voisinage : des relations peu implicantes Si les actifs urbains avouent mal connaître leurs voisins (62%), leurs rapports se révèlent être cordiaux (84%) voire même parfois amicaux (56%).

Observatoire LCL en ville : Les rapports de voisinage

Les relations sont peu implicantes sur le plan personnel. Elles s'appuient à la fois sur des petits services rendus au quotidien (69% reconnaissent avoir rendu au moins un service), ainsi que sur le respect de certaines convenances comme la discrétion (65%) et l'amabilité (58%). Vivre entre voisins implique des droits et des obligations pour la grande majorité des personnes interrogées. Pour autant, les rapports de voisinage sont perçus comme nécessaires (48%), rassurant (36%), voire même enrichissant (35%).

Le voisinage : un attachement plus au quartier qu'aux voisins Le rôle des relations de voisinage en tant que vecteur de socialisation semble moins important en milieu urbain, mais l'attachement au quartier reste fort. Les relations de voisinage : le bonheur à sa porte. Makers, la nouvelle révolution industrielle. Pearson publie ce jour la traduction du nouveau livre de Chris Anderson, intitulé Makers : la nouvelle révolution industrielle.

Makers, la nouvelle révolution industrielle

Et comme tous les livres de Chris Anderson, c’est un évènement. On se souvient de la Longue Traîne (qui vient de paraître en poche et dont nous avions publié la traduction de l’article originel) et de sa critique (voir « Que faire de la longue traîne« , qui depuis, étude après étude, montre que ses effets demeurent extrêmement limités – voir par exemple celle publiée dans le dernier numéro de la revue Réseaux). Cela n’a pas empêché le concept de demeurer l’un des plus stimulants de la nouvelle économie. On se souvient également de Free (dont nous avions également rendu compte) qui s’intéressait à l’économie de la gratuité en proposant une intéressante taxonomie des modèles économiques du gratuit.

« Crise et Web ont généré une très large économie de la débrouille » Achat d’occasion, récup, partage : les Français se débrouillent. Alors que se tenait hier la première Journée mondiale du partage (Global Sharing Day), plusieurs études publiées récemment font le point sur le phénomène, et les communautés s’organisent pour valoriser ces nouveaux modes de consommation.

Achat d’occasion, récup, partage : les Français se débrouillent

Débrouille, récup, revente, location, achat d’occasion… où en sommes-nous en France? Cela va-t-il prendre de l’ampleur dans les années à venir? Eléments de réponse ci-dessous. De moins en mieux Commençons par le commencement. Les raisons invoquées pour justifier cette envie ? Consommer mieux, ça veut dire quoi ? Ceux qui affirment vouloir consommer moins mais mieux passent-ils à l’acte pour autant ? Extrait de l’étude de l’Obsoco Mais, pour l’Obsoco, les choses progressent : « Le développement des sites de location entre particuliers (par exemple, Zilok) et l’engagement récent de grandes enseignes de la distribution dans la location (par exemple, Leroy Merlin ou M. Une économie de la débrouille 2.0 Une tendance durable ?