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Environnement internationnal

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Prix de l'immobilier: Ce que les agences prévoient pour 2014. IMMOBILIER - L'année 2014 sera-t-elle le bon moment pour acheter une maison ou un appartement? Nous l'avons vu lors des mois précédents, les taux d'intérêt historiquement bas ont contribué à soutenir le nombre de transactions pendant que les prix commençaient à chuter. Les records de prix enregristrés en 2012 n'ont pas été dépassés et le secteur commence à se détendre. La preuve, selon Century 21, le prix moyen au mètre carré a chuté de 1,8%. A Paris, il a même baissé de 3,9% où le marché "purge ses excès", estime Laurent Vimont, président de ce réseau de 900 agences immobilières. On se pose désormais une même question: faut-il attendre encore une nouvelle dépréciation des actifs ou au contraire se jeter sur les offres? Une précision d’extrême importance quand on sait que le marché immobilier actuel est principalement porté par cette facilité de crédit. 1. Une augmentation en douceur des taux permettrait un ajustement des prix progressif. 2. 3.

Pourquoi les prix immobiliers pourraient chuter en 2014. Atlantico : 2014 devrait encore connaître une baisse des prix de l'immobilier selon les spécialistes. Est-ce vrai ? Si oui, quels mécanismes financiers pourraient le permettre ? Quel rôle pourrait jouer la hausse anticipée des taux d'intérêt ? Marc Touati : Comme je l’avais annoncé il y a déjà cinq ans, la baisse des prix de l’immobilier en France était inévitable. Elle a été freinée pendant la crise financière grâce à la baisse des taux d’intérêt. Ce décalage entre la valeur financière de l’immobilier et la richesse des particuliers s’appelle tout simplement une bulle. En outre, s’ils demeurent encore très bas, les taux d’intérêt des crédits immobiliers commencent à se tendre et vont continuer de le faire en 2014, notamment sous l’effet de l’augmentation des taux d’intérêt des obligations d’Etat, elle-même directement liée à la piètre crédibilité du gouvernement à réduire significativement les déficits publics et à restaurer la croissance.

Il y a deux possibilités. Quel avenir pour l’immobilier en France ? Pourquoi les prix pourraient continuer à baisser. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Frédéric Cazenave Faute d'acheteurs, la légère baisse des prix de l'immobilier amorcée depuis deux ans pourrait s'accélérer dans les prochains mois. Les candidats à la propriété semblent, en effet, s'être volatilisés. C'est du moins, ce que laisse apparaître l'indicateur de tension immobilière (ITI) publié aujourd'hui par Meilleursagents.com. Cet indice calcule pour chaque département et pour les 20 premières villes de France le rapport entre le nombre d'acheteurs et de vendeurs. A Paris, par exemple, il y avait 4,4 acheteurs pour un vendeur début 2011, selon les données du site internet. Passez votre curseur sur les départements pour connaître l'évolution de l'indicateur de tension immobilière. « Les trois quart de la France ont un indicateur de tension immobilière inférieur à 0,6.

Si dans tous les départements, le constat est identique, les baisses les plus fortes sont enregistrées en région parisienne. Les prix devraient encore baisser en 2014. Le nombre de logements vendus devrait continuer à diminuer et les prix pourraient reculer de 3 à 4 % selon la Fnaim. Les taux des crédits immobiliers devraient grimper. En 2013, 668.000 logements ont été vendus, soit 5,1 % de moins qu'en 2012, et les prix ont baissé de 2,9 %. L'année s'annonce délicate pour le marché immobilier. La Fnaim (premier syndicat professionnel avec 12.000 adhérents) table ainsi sur un nouveau recul des prix de 3 % à 4 % en 2014, alors que le nombre de transactions devrait encore reculer et tomber à 650.000! «Beaucoup d'incertitudes pèsent sur le marché», reconnaît Jean-François Buet, président de la Fnaim. Les primo-accédants pénalisés «Les taux des crédits pourraient grimper de 0,5 % en moyenne au premier semestre», estime ainsi Philippe Taboret, directeur général adjoint du courtier Cafpi.

Une telle hausse devrait surtout pénaliser les primo-accédants dont le nombre a déjà fondu en 2013. À Paris, le nombre de transactions a fondu de 12,8 % Les prix sont surévalués de 15% en France. Les prix des logements ont pour l'instant peu baissé et restent surévalués de 15%, selon le Crédit agricole. Cette année, le marché devrait continuer à tourner au ralenti et les prix devraient reculer de 4%.

Même si les prix de l'immobilier baissent depuis 2012, ils restent encore surévalués de 15%, selon une étude du Crédit agricole. «Les prix ont pour l'instant peu baissé (-2,1% en 2012 et -2,5% en 2013) et la hausse de 155% cumulée depuis 1998 n'a été que partiellement compensée par la baisse des taux de crédit, l'allongement de la durée des prêts et les hausses de revenu», justifie Olivier Eluère, économiste au Crédit agricole et auteur de l'étude. Le marché s'est toutefois légèrement assagi par rapport à 2008, où les prix étaient alors surévalués de 25%, selon le Crédit agricole.

Les taux de crédit étant alors plus élevés, emprunter pesait davantage sur le revenu des ménages. Cette année, le marché devrait toujours tourner au ralenti. La baisse des prix de l'immobilier pourrait prendre fin en 2015. L'unanimité est de mise chez les professionnels de l'immobilier : les prix de l'immobilier ancien vont continuer à baisser en France cette année dans des proportions qui dépendront en grande partie de l'ampleur d'une remontée des taux d'intérêt d'emprunts. Après un recul moyen d'environ 2% en 2013, la baisse des prix pourrait être un peu plus prononcée cette année, certains évoquant jusqu'à -7%, ce qui s'associe toujours à une simple correction après une période de hausse qui a vu le prix des logements anciens doubler au cours des 15 dernières années, et même parfois tripler en région parisienne.

La baisse pour combien de temps ? Une question vient alors à l'esprit, combien de temps va durer cette correction ? Pas longtemps si on se fie aux prévisions des économistes de l'agence de notation américaine Standard and Poor's, lesquels entrevoient un rebond des prix de 2% en 2015. Pour 2014, ils se situent dans la moyenne des prévisions en penchant sur un repli de 3%. L'immobilier européen au plus bas depuis 7 ans. La purge se poursuit sur le marché de l'immobilier résidentiel en zone euro.

L'immobilier est toujours un baromètre de la santé d'une économie. Et il indique que l'Europe n'a pas encore vu le bout du tunnel. La purge se poursuit en effet sur le marché de l'immobilier résidentiel en zone euro. Selon les dernières statistiques de la Banque centrale européenne (BCE), les prix de la pierre dans les dix-sept pays de la monnaie commune sont ainsi au plus bas depuis mi-2006. L'indice de référence, calculé pour l'ensemble de la zone par la BCE, s'établit en effet à 96,46 points (contre 97,7 fin 2012), à comparer à un plus haut de 102,4 atteint au troisième trimestre 2008. Cette érosion des prix de l'immobilier en Europe recouvre évidemment des réalités contrastées.

Comme en matière de croissance, de déficits ou d'emploi, les évolutions sont parfaitement divergentes selon que l'on parle de l'Allemagne ou des pays de la périphérie en crise profonde. La France s'enfonce dans la crise. ECONOMIE Le secteur du logement neuf en France s'enfonce, mois après mois, dans la crise, faisant redouter que le nombre des mises en chantier ne tombe à près des 300.000 en 2012, loin de l'objectif de 500.000 par an fixé par le nouveau gouvernement... De mal en pis pour le logement. «Tous les ressorts sont cassés. Après la promotion privée, c'est la construction de logements locatifs sociaux qui souffre car les agréments donnés par l'Etat dans ce secteur sont en repli par rapport à l'an dernier», constate Michel Mouillart, professeur d'économie à l'université Paris-Ouest et spécialiste du secteur. Phénomène aggravant Les chiffres publiés mardi par le ministère du Logement confirment ceux des mois précédents et ne laissent pas présager une remontée dans les prochains mois.

Chute des ventes Autre mauvaise nouvelle: les ventes (près de 20.700) de logements neufs par les promoteurs ont chuté de 13,9% au deuxième trimestre 2012, toujours selon le ministère. Relancer le secteur Mots-clés : La France est l'un des pays les plus chers d'Europe. La France est l'un des pays les plus chers d'Europe en ce qui concerne l'immobilier, selon une étude sur 12 pays de l'UE rendue publique mardi par le cabinet Deloitte. La France est, après le Danemark, le pays où le coût total du logement (location, services, réparations, reconstructions...) est le plus élevé: il dépasse de 41% la moyenne de l'UE (un peu plus de 3.200 euros par personne sur l'année).

Le Danemark la dépasse de 70%. C'est aussi en France que les logements neufs sont les plus chers: entre 3.500 et 4.000 euros le mètre carré en moyenne, devant le Royaume-Uni (environ 3.000 euros) et l'Italie (entre 2.500 et 3.000 euros). Parmi les capitales et les grandes villes, Paris est la plus chère avec des transactions dépassant 8.000 euros par mètre carré en moyenne dans le neuf. Le groupe suivant réunit une autre ville française, Marseille, aux côtés de Londres, Rome et Milan, avec des prix d'environ 4.000 euros le mètre carré. Pourquoi les Français vont moins acheter en 2014. IMMOBILIER Les taux d'emprunt historiquement bas de 2013 devraient remonter cette année... Les futurs acquéreurs d’un bien immobilier risquent encore de patienter avant de passer à l’achat et les vendeurs avoir de la difficulté à céder leur bien au meilleur prix.

En dépit d’une baisse des prix de 2,9% fixant le prix moyen du m² à 2.499 euros, selon la Fnaim, la première organisation des professionnels de l’immobilier dont l’étude annuelle était présentée mardi matin, le nombre de signatures dans l’ancien conclues dans l’Hexagone est en baisse de 5,1% en 2013 par rapport à 2012, à 668.000 ventes. L'attentisme malgré les taux bas «L’attentisme est terrible de la part des acquéreurs», assure Jean-François Buet, président de la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim). >>Immobilier: Le haut de gamme parisien a un peu souffert en 2013 Les taux bas, les prix aussi Si les prix pourraient encore fondre de 4%, «le nombre de transactions devrait baisser, à 650.000», estime Jean-François Buet.