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Sécurité du net

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Europe : l'offre légale ne souffre pas du piratage. L'internaute, cet être mystérieux qui ne fait que faire ce qu'on n'a pas prévu. Après une série de rapports et d'études qui pointent régulièrement que les gros téléchargeurs sont aussi de gros acheteurs de musique, une étude menée par le service scientifique de la Commission européenne s'est intéressée à la relation entre la consommation de musique illégale et légale au sein de la sphère dématérialisée, afin de mieux mesurer l'impact du piratage sur l'accès légal. Le CD et sa lente érosion générationnelle est donc pour une fois laissé de côté pour se concentrer sur le numérique, les auteurs pointant néanmoins que les ventes physiques représentent encore «la part du lion» des revenus de la musique, et que «des déplacements» d'intention d'achat entre le CD et le téléchargement illégal existent. C'est un tout autre dossier.

JRC79605 by torrentfreak Lire les réactions à cet article. Sophian FANEN. La Hadopi étudie la vidéo sur YouTube mais ne tire pas de conclusions. YouTube est la plateforme de streaming la plus populaire, ce ne sont pas les derniers chiffres annoncés qui le démentiront, aussi la Hadopi a-t-elle décidé qu'il était temps de s'intéresser à ce site communautaire de vidéos. L'autorité a cherché dans une étude de son "Département recherche, études et veille" (Drev) à "qualifier et à quantifier les contenus effectivement présents sur YouTube.

" La méthode utilisée est celle dite de l'échantillonnage par random walk, ou marche aléatoire, qui a permis d'analyser plus de 3000 vidéos. Pour l'Hadopi, "l'échantillonnage par random walk offre généralement une bonne représentativité statistique mais souffre d'un biais qui peut conduire les vidéos les plus suggérées à être surreprésentées (...) ". 22,60% de créations amateurs Biais "pleinement assumé" par le Drev, qui estime qu'il "rapproche les résultats de l'analyse de la perception que peuvent avoir les utilisateurs des suggestions de vidéo".

Confusion entre légal et payant. L'Hadopi analyse les vidéos partagées sur Youtube. 13% des vidéos partagées sur la plateforme sont des clips musicaux, dont 14% sont des versions non officielles, selon une étude publiée par l'Hadopi. Ayant décidé d'examiner de plus près l'activité de la plateforme de partage de vidéos, l'Hadopi vient de publier une étude visant à "qualifier et quantifier les contenus effectivement présents sur Youtube". Se basant sur l'analyse d'environ 3300 vidéos, la haute autorité a notamment établi une répartition de ces vidéos par catégorie.

Sans surprise, les médias et les clips musicaux figurent en très bonne place (22,18% et 13,00% respectivement), mais 14,26% des clips musicaux sont identifiés par l'Hadopi comme des versions "originales non officielles", auxquelles s'ajoutent 21,06% de captations non officielles de concerts, pour seulement 1,16% d'enregistrements officiels de concerts. L'étude précise toutefois que parmi les clips musicaux les plus visionnés, les clips officiels sont en large majorité. Riot vous espionne sur les réseaux sociaux. Aussi simple à utiliser que le moteur de recherche Google, Riot (Rapid Information Overlay Technology) est toutefois beaucoup plus effrayant. Conçu par Raytheon, une société américaine spécialisée dans les systèmes de défense, le logiciel est destiné à l'espionnage, comme on peut le voir dans une vidéo de présentation datant de 2010 qui vient d'être rendue publique par The Guardian.

Ce qui y est montré peut faire froid dans le dos. En effet, en entrant le nom d'une personne sur le moteur de recherche, le logiciel récupère une grande quantité d'informations laissées sur les divers réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Gowalla ou Foursquare). Il est ainsi possible d'obtenir un aperçu complet de la vie et des activités d'un individu, tels que ses relations ou les lieux qu'il fréquente géolocalisés sur une carte, grâce aux check-in ou aux données de localisation intégrées aux photos prises à l'aide de son smartphone.

Nick est à la salle de gym, le lundi, à 6h du matin (L'essentiel Online/man) Droit à l'oubli vs droit à l'information. Qui n'a pas été « taggé » un jour à son insu sur une photo à caractère personnel, mentionné dans un statut gênant après des débats politiques enflammés, ou filmé en train de faire une entrée fracassante dans le « lipdub » d'une start-up depuis longtemps disparue ? Et qui n'a pas eu envie, faute d'avoir suffisamment protégé ses données à l'instant T, de faire table rase de ce passé virtuel encombrant en faisant valoir le « droit à l'oubli » ? Pour la Commission européenne et le Parlement européen, il est légitime de mettre en place de nouveaux garde-fous pour que les grands opérateurs privés du web, tels Facebook ou Google, ne puissent pas conserver et commercialiser ad vitam æternam les données personnelles des utilisateurs de leurs plateformes.

De quoi tirer un trait définitif sur la conservation dans la durée des listings des candidats au baccalauréat, des registres du cadastre, des dossiers bancaires ou RH... Photo : Archive par abbyladybug (CC BY-NC 2.0) Le cloud, pas encore complètement maîtrisé par les fournisseurs de composants informatiques ? Le rythme de l’innovation et les besoins croissants des clients ont pour conséquence l’accélération des cycles de développement des produits. Et les fournisseurs de composants s'y perdent. Le cloud est une variable qui n’est pas encore totalement comprise par les fournisseurs de composants informatiques (OEM pour Original Equipment Manufacturer), nécessaires au développement des appareils connectés. VDC a donc mené une étude afin d’aider ces entreprises à mieux comprendre comment devenir compétitives dans l’écosystème à venir. Et la première barrière au fait de se démarquer sur le marché, pour VDC, résiderait dans le choix de fournisseurs de technologies cloud car ceux-ci représentent un éventail qui a tendance à créé un climat de confusion et d’incertitude chez les OEM.

Sans pour autant oublier le facteur sécurité. Les entreprises sont face à une multitude de fournisseurs pour la mise en place du cloud Ne pas oublier le facteur sécurité afin de protéger la marque et de rester compétitif. Où habitez-vous vraiment ? OrangeLabs et OWNI pour l'opendata ! Diffamation sur Internet : les Français connaissent-ils la loi ?

01net le 27/03/13 à 12h21 Diffamation sur Internet : les Français connaissent-ils la loi ? La démocratisation du web a des effets pervers comme nous le constatons chaque jour dans l’actualité des high-tech. Hier, 26 mars, à Lille, le cabinet Jurisexpert a organisé une rencontre pour faire un point sur la diffamation sur Internet et l'état du droit en la matière avec des avocats spécialisés. D'entrée on en en retiendra que pour Blandine Poidevin, avocate dans les nouvelles technologies, « dans 80 % des cas, les demandes visent avant tout le retrait des propos, les procédures devant les tribunaux restent minoritaires ». Mais qu'il s'agisse de se protéger de telles attaques ou à l'instant de déverser sa mauvaise humeur contre son voisin ou son supérieur hiérarchique sur internet, mieux vaut y réfléchir.

La loi française n'est applicable... qu'en France Pour briser les idées reçues, il ne faut pas oublier que sur Internet tout n'est pas permis et que l'anonymat n'existe pas. Neutralité du net : le Conseil national du numérique fait sa loi. C omme cela avait été annoncé la semaine dernière, le Conseil national du numérique (CNNum) a rendu ce matin à la ministre déléguée à l'Economie numérique, Fleur Pellerin, son avis sur l'«effectivité du cadre juridique actuel dans le but de protéger la liberté d’expression des internautes».

Autrement dit: que doit faire le gouvernement de la «Net neutralité» , ce principe fondateur d'Internet qui veut que le réseau des réseaux doit transporter tous les contenus sans discrimination et au mieux de ses capacités au moment où elles sont transportées? L'avis du CNNum est clair: «Le principe de neutralité doit être reconnu comme un principe fondamental nécessaire à l’exercice de la liberté de communication et de la liberté d’expression et [il est nécessaire] de l'inscrire dans la loi au plus haut niveau de la hiérarchie des normes.» Ce qui passerait pour lui par une modification de la loi de 1986 pour l'intituler désormais «loi relative à la liberté d'expression et de communication».