background preloader

Impression 3D

Facebook Twitter

Un plâtre en 3D, léger et aéré pour réparer les os cassés. L'impression 3D fait un nouveau pas dans le secteur médical et propose un concept novateur : le Cortex, un exosquelette léger et aéré qui se substitue au plâtre lourd et fermé. Imaginée par un étudiant de l’Université Victoria de Wellington nommé Jake Evill, l’imprimante 3D Cortex pourrait bien être la solution libératrice aux fractures.

Si l'objectif de maintenir en place un os qui s'est déplacé reste inchangé, il s'agit bien de mettre au point un principe d'immobilisation moins contraignant que le bon vieux plâtre lourd et hermétique, qu'il faut garder plusieurs semaines. L'imprimante permet de créer un plâtre sur mesure à partir de radiographies des endroits fracturés. La Cortex est censée pouvoir renforcer les endroits fragilisés par une densité de matière plus importante.

"Pour le moment, l’impression 3D prend environ trois heures, là où un plâtre classique est fait en trois à sept minutes, mais nécessite entre un et trois jours à se solidifier complètement. Impression 3D : Osteoid, le plâtre imprimé se dote d'ultra-son. Le plâtre Osteoid, conçu en impression 3D, est capable de guérir les zones fracturées ou les os cassés grâce à un système d'ultra-son. Aucun rapport avec l'astronomie, l'Osteoid est bien le nom donné au plâtre aérien créé par le designer industriel turc Deniz Karasahin. Cet exosquelette s'inscrit dans la veine du Cortex, le plâtre sur mesure crée en impression 3D à partir de radiographies des endroits fracturés. Si le Cortex est censé pouvoir renforcer les endroits fragilisés par une densité de matière plus importante, l'Osteoid va encore plus loin. Doté d'un système d'ultra-son baptisé LIPUS (Low intensiy Pulsed UltraSound), le plâtre promet de réduire de 38 % le temps de guérison à raison de 20 minutes d'utilisation quotidienne.

Crédit photo adesignaward.com. Récompensé pour son utilité et son élégance, l'Osteoid a remporté le premier prix A’Design décerné lors de la compétition internationale du design 3D. Impression 3D : HP prépare une grosse annonce en juin. L'imprimante 3D recycle les bouteilles de lait. Fabriquer des filaments de plastique — matière première des imprimantes 3D — à partir de bouteilles de lait, telle est la dernière trouvaille des chercheurs de l'université du Michigan. Voilà une idée écologique, originale et économique. En partant du constat qu'enterrer les bouteilles de lait dans un site d'enfouissement ou les recycler est tout aussi onéreux que de produire les filaments de plastique, pourquoi ne pas utiliser ces bouteilles pour produire de la matière qui servirait à fabriquer des pièces à partir de plastique recyclé ?

La plupart des imprimantes 3D actuelles fonctionnent en effet sur un principe d'extrusion à chaud d'un fil de plastique (de type ABS, à base de pétrole, ou PLA, d'origine végétale). Ce dernier est ainsi déposé couche après couche sur un plateau, de manière à fabriquer toutes sortes d'objets.

Si l'idée de pouvoir recycler le plastique afin de produire des objets à partir de déchets est séduisante, elle n'est pas sans contrainte. ProDesk3D : l'impression 3D grand public arrive en couleur. BotObjects présente la ProDesk3D, première imprimante 3D couleur tournée vers le grand public. C'est une nouvelle étape pour le marché des particuliers. Ces derniers peuvent d'ores et déjà précommander la machine pour 3499 €.

L'annonce du produit date un peu, mais le projet semble aujourd'hui bien réel (vidéo à l'appui). Rappelons qu'en terme de gestion des couleurs, on trouve à l'heure actuelle des imprimantes 3D comme la Replicator 2X ou la CubeX, capables de reproduire des objets en (seulement) deux couleurs, car elles sont équipées de deux buses d'extrusion chacune. Cette nouvelle imprimante ProDesk3D utilise la technologie de modélisation par dépôt de fil en fusion, connue sous le nom de FDM (Fused Deposition Modeling). Comme illustré sur la photo, la ProDesk 3D utilise 5 cartouches de PLA (acide polylactique) de différentes couleurs (noir, blanc, cyan, magenta et jaune) réutilisables et une sixième cartouche de PVA (PolyVinyl Alcohol).