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Politiques

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L'idée de dissolution s'installe dans les débats politiques. Dissolution suivie d'une cohabitation : cette hypothèse s'installe dans le débat politique où, à gauche comme à droite, on y voit de plus en plus ouvertement une issue possible à la crise française. Qu'ils la jugent suicidaire, improbable ou inévitable, beaucoup évoquent ce sujet qui semblait tabou depuis l'échec de Jacques Chirac en 1997. "Avant l'été, c'était essentiellement un jouet politique du FN, puis une projection contestée de quelques analystes. Cela relève aujourd'hui de la conversation politique courante" et "encore plus avec les malheurs de la majorité socialiste", déclare à l'AFP le politologue Jérôme Sainte-Marie.

Bruno Le Roux, président du groupe PS à l'Assemblée nationale, n'est pas d'accord : "Il faut quand même avoir beaucoup de temps pour parler sans cesse des institutions", s'est agacé le chef de file des députés PS. "Ces débats sur la dissolution, en réalité, n'existent pas. Ils sont faits pour porter sur le devant ceux qui veulent les mener".

Pour M. Livre de Trierweiler : "sans-dents", l'expression qui ne passe pas. Etre uns, ensemble. « Prendre soin de tout homme, de tout l’homme » dans le cadre de l’engagement politique renvoie à une perception globale de l’autre, mais doit aussi nécessairement passer par une perception unitaire de soi-même.

A ce titre, la distinction souvent évoquée entre l’éthique de responsabilité et l’éthique de conviction sonne comme une étrange césure de la personne. Elle est d’autant plus étrange que le concepteur de cette distinction n’entendait pas distinguer deux éthiques concurrentes en considérant qu’une fois parvenu aux responsabilités, l’acteur de la vie politique pourrait se passer de ses convictions. Or l’invocation de cette distinction sonne souvent comme le prétexte à tous les renoncements, sentencieusement revêtus d’une légitimité doctrinale.

Il ne s’agit certes pas d’être naïfs, et de proposer à contretemps des engagements ou des réformes lorsque les conditions politiques les rendent assurément inaudibles. TEM 10 février 2012. Frédéric Gion: Le maire de Neuilly à guic... Marcel a bien du mérite. Ca, c'est fait. J'ai donné 1h30 de mon temps pour regarder le débat des deux leaders socialistes. J'ai sacrifié cette heure et demie. J'ai mis en péril l'équilibre de mon couple et, qui sait, l'hypothèse de tendres étreintes - ne cherchez pas, on ne saura jamais : ces choses-là, ça vient sans crier gare et quand ça crie gare c'est mauvais signe - pour écouter Martine Aubry et François Hollande. Et je veux confesser toute mon admiration pour Marcel. « C'est pas Marcel, c'est moi qui décide ». Puisque cette accroche figure précisément sur l'attribut vestimentaire favori de Marcel, j'en déduis qu'il ne s'agit aucunement de dénigrer Marcel, qui serait trop con pour décider, ce qui devrait m'inciter à ne pas le laisser faire à ma place.

D'ailleurs venant du peuple de gauche et du camp du bien, c'est une considération nécessairement hors sujet. Perso, je me suis solidement barbé, je n'ai pas entravé grand-chose, et je commence à penser que la politique, ce n'est plus pour moi. Et le projet ? A droite, le réveil du cerveau gauche. FRANCE : EXPULSION DE ROMS - La prise de position de religieux relance le débat sur la séparation de l'Église et de l'État, actualité Politique : Le Point. La petite phrase de Benoît XVI sur l'accueil "légitime des diversités humaines", allusion aux expulsions de Roms par Paris, et les critiques du clergé ont ressuscité un vieux débat national, celui de la séparation de l'Église et de l'État.

À front renversé et sur un mode que n'auraient certainement pas renié les radicaux-socialistes, le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, a rappelé "le principe de la séparation totale de l'Église et de l'État". "L'Église prend des positions qui sont dictées par la morale, par ses propres règles", a-t-il observé sur France 2, mais le président de la République et son gouvernement ont le devoir de "faire respecter la règle de droit sur le territoire".

La France prend "plus que sa part à la fraternité universelle" réclamée par le pape, a plaidé, pour sa part, le ministre de l'Immigration Éric Besson. "Aucun magistère religieux n'a d'autorité sur la République" (MoDem) Au centre, François Bayrou a choisi une voie médiane. Raffarin : «des propositions absurdes» Boutin: "La stigmatisation de certaines populations est inacceptable" Que pensez-vous du discours de Benoît XVI, dimanche 22 août?

Christine Boutin: Le discours de Benoît XVI a une symbolique forte, et je suis heureuse de cette prise de position. Parler de "fraternité" et de "tolérance" me semble tout à fait juste. Les propos du pape sont en parfaite cohérence avec la ligne politique du Parti chrétien-démocrate. Il est important que les autorités religieuses et morales s'expriment plus souvent, de façon à ce que le gouvernement puisse assumer ses responsabilités de façon plus éclairée.

Condamnez-vous la politique sécuritaire de Nicolas Sarkozy? On ne peut nier l'exaspération des Français. Mais y répondre par la peur et la stigmatisation de certaines populations est inacceptable. Serait-il possible de voir le Parti chrétien-démocrate se détacher de l'UMP? Bien sûr, c'est un parti indépendant. Le « hold-up » d'Alain Minc - France - la-Croix.com.

26/8/10 - 22 H 19 - Mis à jour le 26/8/10 - 22 H 18 Sur France Inter, mercredi 25 août, Alain Minc, économiste et conseiller politique, invité à commenter les réactions de l'Église catholique sur les Roms, s'est livré à une attaque en règle contre le pape Benoît XVI, lui déniant le droit de s'exprimer sur le sujet : « Pas lui, pas un pape allemand », « insensible à l'histoire dont il est, comme tous les Allemands, un héritier ». Insensibilité que prouverait la « réinstallation d'un évêque révisionniste ». Le raisonnement est absurde - n'est-ce pas précisément en raison de son histoire allemande que Benoît XVI est bien placé pour mettre en garde contre des politiques d'exclusion ? - et la remarque raciste. Dominique QUINIO, directrice de "La Croix" Dans la rubriqueActualité. Les propos d'Alain Minc sur le pape font bondir les catholiques.