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Travail collaboratif

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Mentions Légales. L’Observatoire des réseaux sociaux d’entreprise, fondé par Orange en juillet 2010, réunit de grands groupes confrontés à la mise en œuvre et à l’animation de réseaux sociaux numériques à destination de leurs collaborateurs internes. L’adhésion à ce réseau se fait exclusivement par cooptation. Cet observatoire a pour ambition principale de promouvoir le partage de bonnes pratiques avec de nombreuses questions d’ordre stratégique, éthique, juridique et ce, dans un contexte non commercial et non technique.Nous espérons que cet Observatoire 2.0 nous donnera envie d’apprendre ensemble de nos expériences et de nos succès pour mener au mieux les projets de réseaux sociaux d’entreprise qui nous sont confiés.

Cette aventure humaine est passionnante car si l’union fait la force, le partage fait l’intelligence.Ziryeb MAROUF Vous venez de vous connecter au site Internet www.esnbp.fr. (le « Site ») édité par l’Association L’Observatoire des réseaux sociaux d’entreprise. . - Hébergement : 1&1.fr ; De l’entreprise apprenante à l’entreprise enseignante. Écrit par Jérôme Coignard Dans un article récent publié sur le blog d'Harvard, Bill Taylor mettait en avant l'émergence de l'entreprise enseignante, évolution du modèle classique de l'entreprise apprenante. Selon ses observations, les entreprises les plus innovantes ne se contentent plus d'apprendre en permanence : elles partagent et restituent leurs idées avec leurs concurrents, leurs clients et leurs partenaires. Même si la philanthropie est fréquemment présente dans le monde anglo-saxon des affaires, il s'agit ici d'une démarche pragmatique et réfléchie qui offre quatre bénéfices selon Bill Taylor : 1.

Mettre la pression sur la concurrence 2. Apparaître comme le leader d'opinion de son marché 3. 4. Un concept en phase avec notre époque Pour l'entreprise qui choisit d’adopter cette vision, les effets sur ses processus et pratiques de formation peuvent être profonds et bénéfiques. Un catalyseur pour le Social Learning Formation, enseignement et marque employeur. Organisation apprenante. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une organisation apprenante est une organisation humaine (entreprise, administration, etc.) qui met en œuvre un ensemble de pratiques et de dispositions pour rester en phase avec son écosystème. Chaque entreprise peut être considérée comme un système vivant opérant au sein d'un écosystème. À l'intérieur de l'entreprise, comme dans un organisme multicellulaire, chaque membre est lui-même attentif à cet écosystème.

Dans l'entreprise apprenante, chaque membre apprend les uns des autres. Cette communication transversale permet l'émergence du vivant qu'il soit innovation, intelligence collective ou adaptation permanente à l'environnement. Historique et origines[modifier | modifier le code] Ces recherches ont été reprises par Arie de Geus[4], homme d'entreprise, responsable du Group planning de Royal Dutch Shell, dans son livre The Living Company. Transposition pratique en termes de management[modifier | modifier le code] Elle s’appuie sur : Les médias sociaux. La mutation vers l’économie créative a des conséquences majeures sur la nature de ce que nous appelons les biens. Pendant l’ère industrielle, les biens étaient des ressources, usines et équipements matériels.

La plupart de ces ressources étaient échangées sur des marchés et pouvaient par conséquent être évaluées. S’occuper de la valeur d’une organisation pouvait s’apparenter à gérer des ressources et biens matériels. Aujourd’hui le savoir et les personnes sont considérés comme les biens les plus importants. Mais vu qu’aucun d’eux n’est échangé sur des marchés, leur valeur est difficile à mesurer. D’un point de vue plus moderne, la création de savoir est considérée comme un processus de communication entre les gens. On a supposé que l’apprentissage et le knowledge management impliquent des processus de transmission de contenu. Mais le concept de Shannon et Weaver était destiné à rester purement théorique.

La communication ne représente pas les choses du monde. Traduction: KM : des enjeux historiques. Apparue dans les années 80 et ayant pris son envol dans les années 90, la notion de KM (Knowledge Management) a atteint aujourd'hui un degré de maturité dans les entreprises. Rares sont en effet les entreprises à se désintéresser totalement des moyens à mettre en œuvre pour gérer, partager et capitaliser les connaissances mais également des savoirs-faire. Si l'essor de formations académiques a pu accompagner la création de nouveaux postes dédiés à cette problématique (lire notre enquête : Knowledge Manager, un stratège au service de la connaissance), la montée en puissance du KM est surtout à mettre au crédit d'une prise de conscience généralisée de la part des différents acteurs de l'entreprise.

"Le Web social est devenu un véritable phénomène qui pourrait modifier la relation Homme-Entreprise) (Jean-Yves Prax - Polia Consulting) "L'évolution majeure de ces trois dernières années est, sans nul doute, l'explosion des réseaux sociaux , le Web social. Réseaux sociaux d'entreprise : les solutions KM ont-elles encore un avenir ? Les RSE se dotent de fonctions en gestion de connaissances alors que les solutions KM tentent de se socialiser. L'un va-t-il cannibaliser l'autre ? Qu'elles s'appellent blueKiwi, IBM Connections ou encore Yoolink, les solutions de réseaux sociaux d'entreprise (RSE) ou de "collaboratif social" sont de plus en plus nombreuses à mettre en avant leurs capacités en matière de gestion des connaissances. C'est sans doute tout sauf le fruit du hasard. Car dans de nombreux pays en effet - et tout particulièrement en France - les problématiques de Knowledge Management, ou KM, sont prises à bras-le-corps par les entreprises depuis de longues années.

"Communiquer, échanger ou organiser des évènements sont les fondamentaux des RSE, mais structurer, classer, hiérarchiser et assurer le workflow sont ceux des solutions KM, et aucun RSE ne pourra être identifié comme un outil KM s'il n'intègre pas ces fonctions de base", prévient Jean-Luc Abelin, Knowledge Manager au sein de Lafarge.