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Next generation catalogues: Who owns your data? « The Cataloguing Librarian. In a world where information flows freely and we’re slowly shedding the limitations of our existing ILSs, it’s easy to take for granted that the statistics and data on which many of our services rely upon is ours. We can run reports on it, use it to justify new programs and services, observe trends and justify (or not justify) the existence of extra staff, resources or departments.

Statistics are important and, the longer I work as a cataloguer, the more it’s reinforced. As a result, I’ve become a “data girl”. I love statistics. On any given day, I can take a look at what is happening in our library, what’s “trending” and the most popular searches. Being able to observe dead-end searches, where our users are coming from and the amount of interaction (in a variety of ways) that patrons are interacting with the catalogue is exciting and informative. But, what happens when you don’t have access to your data? Data is powerful. For me, I tend to look at statistics throughout the month. « Web of Data » n’est pas « Data on the Web » – Christian Fauré. Pour positionner le web sémantique, ses principaux promoteurs, dont Tim Berners Lee, parlent de plus en plus de « Web of Data ». Mais quoi ! N’y a t il pas déjà des données sur le web ? Certes, mais ces données sont propulsées et affichées à partir de bases de données dont l’accès est verrouillé par des applications, fussent-elles des « applications web » avec des API ouvertes.

On est encore dans une compréhension du web dans son essence cinématographique : les données sont projetées sur la toile. Et, de fait, le web est un beau spectacle où chacun peut participer en projetant ses oeuvres (textes ou multimedia). Mais dans ce processus cinématographique, c’est l’oeuvre qui fait sens, je veux dire par là que chaque auteur définit ses unités documentaires. Par exemple je n’ai pas accès aux rushes utilisés pour le montage d’un court métrage. La nuance est de taille, mais où se situe-t-elle en dehors du jeu grammatical d’inversion des sujets ? C’est à dire également : FOAF, la première brique du Web sémantique. Par Cyril Fievet le 02/06/04 | 5 commentaires | 6,754 lectures | Impression Le Web d’aujourd’hui a plusieurs défauts, parmi lesquels le fait d’être peu structuré, donc peu adapté au classement automatique des informations qu’il contient.

C’est encore plus vrai pour les personnes, qui sont presque absentes – en tant qu’entités “indexables” – de la Toile. FOAF (“Friend Of A Friend“) est une tentative innovante pour remédier à cela et ajouter un caractère sémantique au Web que nous connaissons. Par Cyril Fiévet. Sommaire Web sémantique : à la recherche du sens Beau concept innovant et promoteur cherche applications concrètes FOAF, les amis de mes amis… Les atouts d’un standard Encadré : Exemple de fichier FOAF Pour aller plus loin Web sémantique : à la recherche du sens Quelques années après avoir créé le Web, Tim Berners-Lee en envisageait l’évolution naturelle : le Web “sémantique”.

XML (eXtended Markup Language) est donc la fondation sur laquelle s’appuie le web sémantique. Le Web à la puissance 2 : le Web 2.0 cinq ans plus tard « Intern. On ne présente plus vraiment Tim O’Reilly et John Battelle. Tim O’Reilly, des éditions O’Reilly, est devenu l’un des gourous incontournables du web. Initiateur – et promoteur – de la notion de Web 2.0 (voir notre traduction), il demeure l’un des plus fins observateurs du changement technologique.

John Battelle, journaliste, auteur de La révolution Google est quant à lui l’un des spécialistes des moteurs de recherche. Ils ont commis, à l’entrée de l’été, un texte important, essayant de définir, 5 ans après l’apparition de la notion de Web 2.0, l’émergence d’un nouveau paradigme, entre le Web 2.0 (celui des plates-formes sociales) et le Web 3.0 (le web sémantique), comme l’explique très bien Frédéric Cavazza. Un terme qui s’efforce de mettre en cohérence l’évolution du web des plateformes 2.0 vers le temps réel, les écosystèmes de données, les objets communicants… C’est là le Web Squared, ce web à la puissance 2, ce web exponentiel (1) que proposent O’Reilly et Battelle. ____________1. Web Squared: Web 2.0 Five Years On - by Tim O'Reilly and John Ba. Five years ago, we launched a conference based on a simple idea, and that idea grew into a movement.

The original Web 2.0 Conference (now the Web 2.0 Summit ) was designed to restore confidence in an industry that had lost its way after the dotcom bust. The Web was far from done, we argued. In fact, it was on its way to becoming a robust platform for a culture-changing generation of computer applications and services. In our first program, we asked why some companies survived the dotcom bust, while others had failed so miserably. Chief among our insights was that "the network as platform" means far more than just offering old applications via the network ("software as a service"); it means building applications that literally get better the more people use them, harnessing network effects not only to acquire users, but also to learn from them and build on their contributions.

Ever since we first introduced the term "Web 2.0," people have been asking, "What’s next? "