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Combien de journalistes en France ? Publié le 9 janvier 2009 Les statistiques de la CCIJP au 4 janvier 2011 (source: bulletin de l'APCP n°4, février 2011, CCIJP) Les statistiques annuelles de la Commission de la carte d'identité des journalistes professionnels (CCIJP) permettent de visualiser (voir tableau ci-dessous) les effectifs de la profession et leur évolution. Si le nombre de cartes s'est accru en dix ans de 4265 (+13 %), il est pour la première fois en diminution ( de 1%) par rapport à l'année précédente ! La crise qui a frappé les médias, en particulier la presse écrite, s'est répercutée en 2010 et traduit des évolutions structurelles de l'emploi chez les professionnels de l'information. Quels en sont les éléments majeurs ? La première baisse du nombre des cartes. Elle est due pour partie à la diminution des effectifs dans un certain nombre de rédactions, et à la faiblesse des embauches.

Le nombre de femmes a augmenté. La précarité en légère hausse. Où sont passés les diplômés des écoles reconnues ? Les « marques annonceurs » jugent les « marques médias » 9 avril, 2012 1 commentaire Matière à réflexion : Bernard Petitjean et Corinne da Costa – Seprem Etude & Conseil Le concept de « marque média » est, depuis plusieurs années, au centre des réflexions et de la communication des éditeurs de médias traditionnels, qui y voient un moyen efficace de se valoriser face à des annonceurs sensibles aux atouts d’Internet et du hors média.

Les annonceurs sont-ils sensibles à ce discours et, si oui, qu’attendent-ils des « marques médias » ? Désormais, on sait. A l’occasion de la Journée de la Presse Magazine, Limelight Consulting a réalisé pour le SPM, en partenariat avec le Club des Annonceurs, une intéressante étude consacrée à la perception des « marques médias » par les « marques annonceurs » et à ce que les secondes attendent des premières. Bernard Petitjean (bpetitjean@seprem.fr) et Corinne da Costa (cdacosta@seprem.fr) «Le quotidien de référence, c’est Internet» Dans son bureau-aquarium, avec vue magistrale sur la «newsroom», la très vaste salle de rédaction du Washington Post (WaPo), Marcus Brauchli, le directeur de la rédaction, a pris le temps d’expliquer à Libération comment il s’ingénie pour adapter cette vieille maison à l’ère de l’Internet et des réseaux sociaux. Ancien correspondant du Wall Street Journal(WSJ) en Asie et bref rédacteur en chef du WSJ avant sa reprise par Murdoch, Marcus Brauchli, 50 ans, dirige la rédaction du WaPo depuis septembre 2008.

L’interview n’a toutefois été accordée qu’à condition de se concentrer sur les «innovations numériques» du journal, plutôt que sur son actuel plan de réduction d’effectifs… Comment organisez-vous vos journées pour gérer à la fois l’édition imprimée et vos différents produits numériques ? Il y a trois ans et demi, quand je suis arrivé, notre première conférence de rédaction avait lieu vers midi. Comment faites-vous le tri entre ce qui va en ligne et ce que vous réservez pour l’imprimé ? Le nouveau défi des Relations Presse Responsables. 5 avril, 2012 2 commentaire Stéphanie Gentilhomme – Fondatrice de l’agence RendezVous RP. Le monde de la communication est, depuis 2000 et le retentissant « No Logo » de Naomi Klein, en crise de sens.

Le public montre une défiance croissante à l’égard des messages de la publicité et de la communication d’entreprise. Dans ce contexte, les agences de communication, accusées de différents maux, sont désormais placées face à leurs responsabilités sociétales et environnementales. Le secteur a récemment rattrapé le retard qu’il avait par rapport aux entreprises et leur démarche RSE – la France est même en pointe au niveau mondial- grâce à diverses initiatives émanant d’organismes officiels et de collectifs : ARPP, Observatoire Indépendant de la Publicité, AdWiser, Association pour une Communication plus responsable, et la récente norme internationale ISO 26000 appliquée aux métiers de la communication. 2 – Quelle est l’influence de mon message sur la société à moyen et long terme ?

« Paris Match » élu magazine de l'année 2011. Évolution, audience et cible de FranceSoir.fr. La vraie maladie de la presse française. Alors, ils sont morts ou pas les journaux papiers ? Non, mais ils sont sérieusement malades, et pas forcément de ce que l'on croit. La semaine dernière, c'était un peu le check-up, le bilan de santé de de notre bonne vieille presse traditionnelle. Le 22è Observatoire de la presse de l'OJD mais également la publication de la fameuse étude Audipresse One étaient rendus publics. Un peu comme un malade recevant le même jour les résultats de deux prises de sang. Et le résultat est sans appel : la presse française est bien malade, elle souffre d'une belle schizophrénie aigüe… Pour s'en rendre compte, il suffit donc de regarder les résultats des deux analyses. D'un côté, nous avons l'OJD, l'organisme qui certifie la diffusion de la presse. Gobalement, la presse papier voit sa diffusion payée reculer de 2,26% entre 2010 et 2011, toutes familles confondues.

Et lorsque l'on entre plus dans le détail, ce n'est pas plus rose. La presse économique ? Forces et limites du “ journalisme participatif ” 16 mars, 2012 1 commentaire Matière à réflexion : Bernard Petitjean et Corinne da Costa – Seprem Etude & Conseil Internet n’est pas que le média qui contient tous les autres (écrit, audio, vidéo). C’est aussi et surtout celui qui permet d’aller beaucoup plus loin dans l’interactivité que les courriers des lecteurs, les appels des auditeurs et les votes des téléspectateurs. D’où le concept de « journalisme participatif » (ou citoyen) dont les traductions méritent d’être regardées de près.

Dans un récent article qu’il a donné aux « Cahiers du Journalisme » (N° 22/23 – Automne 2011), le Professeur Franck Rébillard, responsable du Laboratoire « Communication Information Médias » de l’Université Paris 3, apporte de précieux éléments pour l’analyse de cette nouvelle façon d’aborder l’information qu’il définit comme « l’intervention de non professionnels dans la production et la diffusion d’informations d’actualité sur Internet ». ONE_Resultats_2011_official_opt.pdf (Objet application/pdf) Les réseaux sociaux, source de trafic pour les médias. L'Allemagne est-elle (aussi) un modèle pour la presse ? C'est à la mode de se comparer tout le temps à l'Allemagne. Pour certains, cela tourne même quasiment à l'obsession : Et pour la presse et les journalistes, cela donne quoi si l'on se compare à l'Allemagne ? Là aussi nos voisins réussisent-ils mieux que nous, ou, comme en France, les journaux et la profession traversent-ils une grave crise ?

Pour le savoir, j'ai posé la question à Valérie Robert, enseignante et chercheur à l'université Paris3 Sorbonne-Nouvelle, qui vient de signer La presse en France et en Allemagne, une comparaison des systèmes aux Presses de la Sorbonne Nouvelle (13€, on le trouve ici). Et le constat pourrait donner envie à quelques confrères de traverser le Rhin pour s'installer : plus de journaux, un meilleur réseau de diffusion, une presse décentralisée qui n'est pas installée seulement dans la capitale et du coup, beaucoup plus de lecteurs... La presse allemande se porte-t-elle mieux que la presse française ? Plus de journaux, donc plus de journalistes ? La presse pro plébiscitée comme moyen d'information. La Fédération nationale de la presse d'information spécialisée (FNPS*), présidée par Christian Bruneau, vient de publier son étude, réalisée par l'Ifop (**), sur l'image de la presse professionnelle auprès des actifs de catégories moyennes et supérieures.

Les résultats ont de quoi réjouir les titres de presse professionnelle : 88 % des interviewés déclarent être “bien informés”. Certes, seulement 18 % se disent “très bien informés” sur l'actualité de leur secteur d'activité. Les agriculteurs se disent à 96 % bien informés, les professions libérales ou cadres à 90 %, les professions intermédiaires à 87 % et les artisans ou commerçants à 85 %. La principale source d'informations dans le domaine professionnel reste la presse (30 % la consultent en premier lieu), devant Internet (26 %). La presse spécialisée bénéficie d'une bonne image globale auprès de ses lecteurs réguliers : 94 % en ont une bonne opinion. (**) Méthodologie : Etude réalisée par l'Ifop pour la FNPS. [Etude] Les synergies entre réseaux sociaux et médias traditionnels. Hopscotch, agence de relations publiques et de communication digitale, vient de publier les résultats de son premier baromètre réalisé par Like Me I’m Famous.

Objectif : souligner la complémentarité entre les réseaux sociaux et les médias dits « traditionnels ». Au total, 40 médias ont été passés au crible. Principal constat de l’étude, il n’existe pas de corrélation directe entre audience globale et puissance communautaire. Partant de ce constat, l’étude s’est attachée à analyser 3 indicateurs clefs. Ainsi, en terme de puissance communautaire, le leader en volume sur Facebook est France 24 avec 642 261 fans au 31 janvier 2012, devant Le Parisien (300 259 fans) et Le Monde (275 261 fans). Sur Twitter, Le Monde arrive en tête (581 915 followers), suivi de 20 Minutes (296 429 followers) et de Libération (218 085 followers). Au delà du nombre de fans, un focus a été réalisé sur la vivacité des médias sur les réseaux.

Côté engagement conversationnel, les résultats sont aléatoires. Le Top 50 des sites d'infos en janvier. Médias sur Twitter: Sud Ouest #twittermonamour. Une alarmante confusion des genres entre Relations Presse et publicité : Hervie au pays des communicants. J’ai remarqué un phénomène qui me pose pas mal question depuis quelques temps. En tant que Responsable de la Comm, je suis de plus en plus souvent démarchée par des titres de presse. Vous allez me dire, jusque là, rien de nouveau sous le soleil. Sauf qu’en l’occurrence, les barrières entre pub et rédactionel, censées être très étanches, le sont de moins en moins.

D’ailleurs, j’ai remarqué cette technique commerciale, on m’appelle pour me présenter un futur dossier en lien avec mon activité et on me propose d’y apparaître… contre rétribution financière finissent-ils par lâcher. Habituée que je suis maintenant à ce petit jeu du chat et de la souris, j’ai pris l’habitude de couper court à la conversation en demandant très vite de quel côté il est : commercial ou rédaction. Ca nous permet de tous gagner du temps. Je veux bien croire qu’on ne soit là qu’à un petit niveau. Le transmédia est-il un barbarisme ? - techtoc.tv, web-tv communautaire rich media – video. You are a lecturer, journalist, blogger, speaker and you need the source video file? You can buy: Fee: 1800€ Video file command Fee: 1980€ In the first two cases be careful: you can purchase the file for a single use (for archiving, integration of excerpts in a film company, integrating on your blog in a format and / or another player that you selected): you can not then claim as a commercial file: please read terms and conditions prior to purchase that will appear below.

NB. Be careful, you're about to acquire the source file that permits generating this video techtoc.tv. This does not in any way correspond to an assignment of copyright or opening any proprietary and / or commercial exploitation of this file. This video is dedicated to use for backup and comfortable viewing in a private setting (under archive, for example if you appear in the film and want to keep track of quality, or to mount a DVD with your response). Thank you for your understanding. Remember to check your mailing address. La France au 67ème rang des pays en termes de libertés économiques. La France vient d’être classée au 67ème rang des pays en termes de libertés économiques par le très libéral "think tank" américain "Heritage Foundation", dans un classement établi en partenariat avec le Wall Street Journal.

Ce classement annuel, établi depuis plus de dix ans, comprend 179 pays, classés sur une échelle de 100 points, dans les catégories suivantes : la liberté du travail, la liberté économique, la liberté du commerce, la liberté fiscale, le niveau de dépenses publiques, la liberté monétaire, la liberté d'investissement, la liberté financière, la garantie des droits de propriété et la corruption. Les meilleurs élèves mondiaux selon l'Heritage Foundation sont : Hong-Kong, Singapour, l'Australie, la Nouvelle-Zélande et la Suisse, des pays qui traversent la crise depuis 2008 sans trop souffrir.

Motif invoqué : "La détérioration de la liberté d’entreprendre et de la gestion des finances publiques". Lu sur Nouvelles de France. Alors, DSK a-t-il sauvé la presse en 2011 ? Alors, DSK a-t-il sauvé la presse comme il l'aurait dit en souriant il y a peu ? Pour le savoir vraiment, il faut se plonger dans les chiffres, encore et toujours, en comparant les audiences du web et les diffusion du papier à partir des chiffres OJD (visites mensuelles, comparatif 2011-2010) de cette années un peu folle. Sur le web,il n'y a pas à tortiller, c'est l'explosion des sites d'infos.

En 2011, les audiences des journaux ont très souvent affiché des progressions à deux chiffres, seule L'Equipe devant se contenter d'un +7% Sur les 13 sites qui font partie du classement*, 12 ont donc vu leur audience progresser et un seul baisser (le JDD). Les meilleures progressions sont à mettre au crédit de La Tribune et du Nouvel Obs qui enregistrent des poussées de fréquentation supérieures à 40% Le classement complet : Toujours sur le web, mais du côté des quotidiens régionaux, on voit bien que 2011 marque un coup d'accélérateur dans le développement numérique. Et sur le bon vieux papier ? La mesure en relations publiques : le rôle clé de l’analyse de presse.

SQPRP > RP.COM > La mesure en relations publiques : le rôle clé de l’analyse de presse Regards RP La mesure en relations publiques : le rôle clé de l’analyse de presse L’évaluation est aujourd’hui devenue incontournable dans les organisations et celles-ci développent un nombre sans cesse croissant d’indices permettant de mesurer l’efficacité de leurs interventions. Avec plus ou moins de succès, comme le note Maya Beauvallet dans son livre Les stratégies absurdes. C’est sur ces questions que se sont penchés professionnels et chercheurs à Barcelone en 2010 à l’occasion du deuxième Sommet européen sur la mesure. Comme l’affirme Grunig, l’analyse de presse n’est pas LA solution, mais, utilisée avec précaution, il s’agit de l’un des meilleurs outils à la disposition des communicateurs.

Validité de la méthodeDe nombreux critères doivent être respectés afin que l’analyse du contenu des médias permette de livrer des résultats à la fois scientifiques et exploitables. Quantité vs qualité? L’IPO de Facebook illustrée [infographie] Carte interactive des médias web français.