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REPETTO

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Repetto se lance dans le parfum. Repetto prévoit 150 emplois en 4 ans. Le fabricant de chaussons de danse et de chaussures Repetto a inauguré aujourd'hui à Coulaures (Dordogne) son propre centre de formation, et son président a indiqué avoir l'intention d'embaucher 150 personnes dans les quatre ans. L'entreprise de luxe, qui fait déjà travailler 170 personnes dans son usine périgourdine de Saint-Médard d'Excideuil, veut ainsi "répondre à la demande", a indiqué le PDG Jean-Marc Gaucher.

Repetto a déjà 80 boutiques dans le monde, installées dans une quinzaine de pays, projette de s'installer en Chine, et s'est déjà très largement développé en Asie cette année, avec des ouvertures à Dubai, aux Philippines, en Corée du sud et au Japon. Le chausseur a l'intention de doubler la surface de ses ateliers afin d'y produire 6.000 à 7.000 paires par jour dans quatre ans, soit presque trois fois plus qu'actuellement. Dix jeunes femmes sont déjà en formation depuis le mois de septembre au Centre de Formation aux Métiers Repetto, quatre en "montage" et six en "piquage".

Le chausseur Repetto veut tripler la production de son site en Dordogne et embauche. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nicole Vulser - Saint-Médard-d'Excideuil (Dordogne) Envoyée spéciale "Je n'avais jamais eu de CDI", dit fièrement Aurore, 34 ans, qui vient d'intégrer l'usine de fabrication de chaussures Repetto à Saint-Médard-d'Excideuil (Dordogne). "Avant, j'avais travaillé comme intérimaire dans des tas de trucs différents : pièces de voiture, ramassage des fraises, décoration, peinture... C'était toujours des petits boulots, des missions, je cherchais un vrai job, à long terme", explique-t-elle. Comme Stéphanie (37 ans) et Nathalie (45 ans), Aurore vient de terminer une formation de quatre mois et demi et toutes trois débutent tout juste sur le site de production, au piquage et à la finition.

Annie, du haut de ses 42 ans de maison, supervise leur travail et leur donne des coups de main. Ces nouvelles recrues sont les premières d'une longue série. Les maçons sont déjà à l'oeuvre pour agrandir l'usine et multiplier sa surface par trois d'ici à septembre. L'usine Repetto s'agrandit sur place. Epuis plusieurs mois, des bruits couraient sur un possible départ de l'entreprise Repetto de Saint-Médard-d'Excideuil, voire de la Dordogne (on évoquait Limoges). Les ateliers de la célèbre marque de ballerines, trop à l'étroit dans ses ateliers périgordins, n'arrivaient plus à fournir à la demande de clientes du monde entier.

Finalement, une solution a été trouvée pour une extension de 3 000 mètres carrés sur place, malgré le terrain exigu et les risques d'inondation pour la route d'accès. Elle a été annoncée la semaine dernière au personnel par le PDG Jean-Marc Gaucher. La fabrication, le stockage et le magasin d'usine devraient ainsi pouvoir se développer sur le site historique de la marque. 140 embauches sur cinq ans « Nous avons d'abord trouvé une solution de réorganisation du travail qui permet de dégager de la surface », explique Paul Gilles, le directeur de l'usine.

Un atout pour la région. REPETTO SE DIVERSIFIE DANS LE TEXTILE - Cuir - Chaussures. Repetto va lancer son premier parfum. Interparfums et Repetto ont annoncé mercredi avoir signé un contrat de licence pour la création de lignes de parfums sous la marque du célèbre fabricant français de ballerines et de chaussons de danse.

Interparfums, qui conçoit les parfums Burberry, Lanvin, Van Cleef & Arpels, Montblanc (groupe Richemont ) ou Jimmy Choo, précise qu'une première ligne de parfums Repetto devrait voir le jour dans le courant de 2013. Avec cette licence exclusive, d'une durée de 13 ans, Interparfums ajoute une dixième marque à son portefeuille. La société poursuit une stratégie de diversification visant à alléger le poids de Burberry, qui pèse pour plus de 50% de son chiffre d'affaires, et qui détient, jusqu'au 31 décembre 2011, une option de rachat de sa licence.

Créée en 1947 par Rose Repetto à la demande de son fils, le danseur Roland Petit, Repetto est devenue une marque emblématique du monde de la danse. Les chaussons Repetto dansent dans le monde entier - Cuir - Chaussures. Trop à l’étroit sur son site industriel de Saint-Médard-d’Excideuil en Dordogne, la célèbre marque de ballerines Repetto (30 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2010, 270 salariés dont 150 dans l’usine périgourdine) procédera à une extension de l’usine sur 3000 mètres carrés et compte embaucher 150 personnes sur quatre ans.

Rencontre avec Jean-Marc Gaucher, le PDG. Après avoir envisagé une extension de l’usine hors de la Dordogne, vous avez finalement décidé d’étendre le site. Qu’est-ce qui vous a retenu ? Certainement pas les pouvoirs publics ! Dans notre conversation, il m’a répété quatre fois qu’il était énarque. Lorsque j’aurais payé l’investissement de ma poche qui se monte à 3 millions d’euros, je m’offrirai des pages de publicité et je ferai savoir la réalité des choses. Pour ne rien arranger, il se trouve que l’usine ne fait pas partie de la ZRR [zone de revitalisation rurale, NDLR], donc je n’ai droit qu’à 10 % d’aides par rapport au montant total de l’investissement. Les mythiques Repetto, découvrez les modèles mythiques des collections. L'Atelier Repetto - Création et personnalisation de modèles mythiques.

Le savoir-faire de la Maison Repetto. Repetto lance une ligne de prêt-à-porter. L'histoire de la Maison Repetto. Repetto. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Repetto est une marque de chaussures de danse créée en 1947. Après le succès international des ballerines et le développement d'une ligne de maroquinerie en 2011, elle lance l'année suivante une ligne de prêt-à-porter[2] et en 2013 signe un accord de licence exclusif avec Interparfums pour lancer son premier parfum[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Cette demoiselle est chaussée de BallerinesRepetto. Rose Repetto crée en 1947, à la demande de son fils Roland Petit[4], alors jeune danseur, qui revient courbatu de ses cours, souvent épuisé et parfois même rougi de filets de sang au niveau de ses pieds, des chaussons plus adaptés. Neuf ans plus tard, elle crée les ballerines « Cendrillon » qu’elle dédie à Brigitte Bardot, ancienne danseuse. Dans les années 1970, Serge Gainsbourg devient ambassadeur de la marque en portant ses fameuses « zizi » blanches à lacets (créées à l'origine pour la danseuse Zizi Jeanmaire)[9].

La ballerine Repetto, l'autre perle du Périgord. LE «MADE IN FRANCE» - Immortalisées par Bardot et Gainsbourg, les chaussures du fabricant de Saint-Médard-d'Excideuil ont bien failli disparaître. Avant de conquérir le monde depuis dix ans. «Avoir une usine qui embauche, dans la période où l'on est, c'est une chance extraordinaire», s'exclame avec son accent chantant Jean-Jacques Boyer, maire de Saint-Médard-d'Excideuil, une commune de 600 habitants nichée en Dordogne. L'édile est conscient de sa bonne fortune.

Repetto, qui fabrique dans sa ville pointes de danse et ballerines de ville, dont les mythiques modèles Zizi et BB, portés par Serge Gainsbourg et Brigitte Bardot, revient en effet de loin. Rose Repetto s'est installée en 1967 sur les bords de la Loue, dans le Périgord. Vingt ans plus tôt, la mère du chorégraphe Roland Petit s'était lancée dans la confection de chaussons de danse dans un atelier situé non loin de l'Opéra de Paris. La clé d'un tel succès? La seule qualité des produits ne suffit pas à expliquer l'essor de Repetto. Processus de production - Sur les pas de Repetto. Virginie Fauconnier | 15 Oct. 2012, 17h50 | MAJ : 18 Oct. 2012, 17h23 L’atelier de confection Repetto est installé dans le village de Saint-Médard-d’Excideuil, en Dordogne, depuis 1967. Au milieu du bruit assourdissant des machines et des effluves de cuir, plus d’une centaine d’artisans s’exécutent avec minutie, fabriquant près de 550 ballerines chaque jour.

Malgré l’ampleur de la tâche, l’entreprise a su conserver une ambiance chaleureuse et familiale. Gilles Comby, chef d’atelier, ne dira pas le contraire : sa femme et ses trois enfants ont tous travaillé dans la maison. En 1956, Brigitte Bardot commande des souliers pour les besoins du film Et Dieu créa… la femme, de Roger Vadim. La BB était née. A son poste, celui qui se dit simple cordonnier vérifie amoureusement la conformité des ballerines. Il est devenu « maître en réparation » voilà cinq ans : depuis, pas une paire de ballerines ne quitte l’atelier sans son approbation. > Venez débattre et poser vos questions sur nos forums ! Le chausseur Repetto veut tripler la production de son site en Dordogne et embauche.

Repetto : Excideuil. Saint-Médard d’Excideuil Christophe Fauvel, président du Medef de la Dordogne représentant les entrepreneurs auprès de l’Etat et des organisations syndicales, a accompagné les dirigeants d’entreprises pour une visite de l’usine Repetto pilotée par Paul Gilles, directeur de l’établissement. C’est ici, au cœur du Périgord, que sont fabriquées, chaque jour, environ deux mille quatre cents paires de chaussures Repetto envoyées vers la France mais aussi Hongkong, Tokyo, Dubaï, etc. Jean-Marc Gaucher, PDG de Repetto depuis1999, privilégie la fidélité des employés et le « produire français ». Paul Gilles a détaillé la bonne santé de l’usine, reprise et relancée à la fin des années 1990. Depuis, le chiffre d’affaires a été multiplié par dix. Le cousu-retourné, ce savoir-faire unique reconnu dans le monde entier, est la marque de fabrique de Repetto, attaché à la tradition. Si la pointe reste le cœur de métier, Repetto devient une marque à la mode et a mis un pied dans l’univers du luxe.

Les ballerines Repetto accélèrent le pas en Asie. VIDÉO - Jean-Marc Gaucher, PDG de Repetto, est l'invité de l'émission LCI-Le Figaro, Impressions d'entrepreneurs, en partenariat avec HP. «Je voulais faire une marque mondiale, je voulais développer des produits exclusifs et positionner la marque dans l'univers du luxe, je voulais également que la marque Repetto résonne dans la tête des petites filles et des professionnels de la danse.»

Telles sont les ambitions affichées par Jean-Marc Gaucher en 1999 lorsqu'il reprend l'entreprise, alors au bord de la faillite. Aujourd'hui détenteur à 100 % de la célèbre marque de chaussons de danse, l'entrepreneur affiche un chiffre d'affaires de 60 millions d'euros et emploie 340 salariés. La clé de cette dynamique? Jean-Marc Gaucher, dont la société réalise plus de 50 % de son chiffre d'affaires à l'export, est plus que jamais décidé à conquérir de nouveaux marchés. » Retrouvez les dernières offres d'emploi avec Cadremploi. Mode : Repetto se diversifie dans les parfums et le prêt-à-porter. Première collection de prêt-à-porter de son histoire avec 19 pièces numérotées, inauguration de boutiques, rue Saint-Honoré à Paris, Dubaï, etc., lancement dans quelques jours d'un parfum avec Interparfums : Repetto est en plein effervescence.

Le 16 novembre dernier, Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif avait tenu à inaugurer l'agrandissement de l'usine de Saint-Médard-d'Excideuil, en Dordogne, qui a doublé presque sa surface (7 500m2). Tout un symbole. Pourtant, en 1999, lorsque Jean-Marc Gaucher, a racheté Repetto, la marque créée en 1947 par Rose Repetto, mère du danseur Roland Petit, affichait un déficit cumulé de 100 millions d'euros. Homme de défis, l'ex patron-fondateur de Reebok en France en a fait une autre entreprise, sans connaître le milieu de la danse... 80 boutiques dans le monde entier L'aventure n'a pas été sans difficultés. Des salariés recrutés sans CV, mais après un test de dextérité sur-mesure. Repetto : le savoir-faire d'une organisation - Travailler sur des sujets du bac - Management des organisations. Repetto : le savoir-faire d'une organisation - Travailler sur des sujets du bac - Management des organisations.

Le chausseur Repetto veut tripler la production de son site en Dordogne et embauche. Repetto étend son usine de chaussures haut de gamme et parie sur la formation - Les Echos. Repetto, le grand retour du french glamour. La mise sur orbite de Reebok en France dès 1983, c'est lui. Le sauvetage de Repetto, c'est lui aussi : en rachetant ses 15 Meuros de dettes en 1999, Jean-Marc Gaucher mettait le pied dans un univers qui lui était totalement inconnu. Il suffisait que ce soit "une belle marque", dit-il. Créée en 1947 par Rose Repetto, mère du danseur et chorégraphe Roland Petit, la marque déclinait depuis le décès de sa fondatrice en 1984. Oubliées les images glamour d'une Brigitte Bardot portant les fameuses ballerines dans le film "Et Dieu créa la femme" et d'un Gainsbourg chaussant le modèle homme à lacets baptisé "Zizi".

Dès 2000, Jean-Marc Gaucher internationalise la marque et se place sur le créneau du luxe. Idée de génie, il fait appel au styliste japonais Issey Miyake pour dessiner une collection de ballerines de ville. Le chemin ne s'arrête pas là. Le savoir-faire unique (200 tâches par chausson) est relayé par une école de formation qu'il a fondée en Dordogne, à proximité des ateliers. Des marques du luxe s'unissent pour former des chômeurs. L'initiative est inédite en France: dans les métiers du cuir haut de gamme, où l'on peine à trouver de la main d'oeuvre qualifiée, 13 entreprises dont Hermès et Repetto vont former des artisans, chacune à leur tour, sur une plateforme commune financée sur fonds publics.

Ce "Pôle d'excellence aquitain des métiers du cuir et du luxe" a été inauguré vendredi à Thiviers dans le Périgord et une première formation y est prévue dès novembre. Pour les régions partenaires du projet, à savoir l'Aquitaine, le Limousin et le Poitou-Charentes où sont implantées beaucoup d'entreprises du cuir et du luxe, le but est à la fois social et industriel: il s'agit de reconvertir des demandeurs d'emploi et de participer au développement d'entreprises du terroir. Objectif: former plus de 100 personnes par an. Laurent Duray, PDG de CWD, spécialisée dans la fabrication de selles d'équitation, est "emballé": "Il était très compliqué pour nous de former des recrues au sein de notre unité de production.