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Ki2kitsuney

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Dossier Manga : Scantrad : une page se tourne... - Scantrad : les éditeurs contre-attaquent. Scantrad, entre flicage, offres légales et ouverture - Le Comptoir de la BD - Blog LeMonde.fr. Le marché du manga accuse un ralentissement mondial et il semblerait que les éditeurs désignent le piratage à grande échelle connu sous le nom de scantrad comme l'une voire la cause principale de cet état de fait.

A y regarder de plus près, comme s'en est donné la peine Xavier Guilbert sur le site de référence du9.org, il s'agit clairement de trouver un bouc-émissaire, sans prendre la peine (ou ne pas vouloir le faire) de constater que la courbe des ventes et la fréquentation des sites de scantrad ne sont pas inversement proportionnelles, ce qui peut légitimement interroger. En outre, dans cette opération de communication, les éditeurs ne semblent pas prendre en compte un phénomène croissant, inéluctable, et qui pousse à la réflexion : un très large public est friand de lecture de manga en ligne, gratuits et traduits de préférence dans une langue qui lui soit accessible.

Sur ce point, il existe de nombreuses initiatives de par le monde. Sébastien NAECO. Après Mininova, OneManga rentre dans le rang - Le Comptoir de la BD - Blog LeMonde.fr. L'opération d'intimidation des éditeurs japonais en direction des sites de publication gratuite n'aura pas mis longtemps à produire un premier effet spectaculaire : le site de référence du scantrad OneManga annonce qu'il va retirer toutes les planches de manga scannées sous licence dont ils n'ont pas l'autorisation de publication en ligne, pour ne proposer que du contenu légal.

Il est très vraisemblable que la perspective d'incessants recours judiciaires et les coûts associés aient fait plier les responsables du site. Le blog de digiBiDi nous informe aussi de la fermeture du site de lecture gratuite de comics sous licence HTML Comics, ce qui accrédite l'idée d'une mise au pas ygénéralisée de la part des autorités. Après le site Mininova qui a supprimé tous les torrents vers des contenus illégaux, c'est donc un autre symbole de la diffusion gratuite illicite d'oeuvres numériques et numérisées qui va vivre une évolution importante. Sébastien NAECO. Scantrad : une page se tourne… | Paoru.fr: PLUME, KWEEH & ROCK'N ROLL ! Sharebar Je vous propose aujourd’hui un dossier sur un monde et un marché en pleine évolution : le scantrad. J’ai écrit cet article il y a quelques semaines, pour Total Manga, mais comme la blogosphère lit en premier lieu son propre contenu et qu’elle a de multiples avis sur ce sujet, j’ai décidé de vous le proposer sur Paoru.

L’outil blog n’est pas le plus simple pour cet article conséquent, mais j’espère néanmoins qu’il vous plaira… bonne lecture ! Depuis de nombreuses années, les éditeurs de mangas du monde entier s’inquiètent de l’expansion du scantrad et des scanlations, autrement dit de la copie et de la distribution illégales de leurs œuvres via internet. Mais, jusqu’ici, les ayants-droit japonais s’étaient contentés d’une indignation sans suite.

Cependant, la donne a changé : le marché US du manga flanche et les éditeurs nippons sont bien décidés à étendre leur activité à l’international. Ils sont donc sortis de leur immobilisme… et contre-attaquent. « À nos lecteurs :