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Etudes

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Bac à lauréats ? A quoi peut encore servir le baccalauréat, diplôme dévalué, puisqu’on le donne à tout le monde ?

Bac à lauréats ?

Pas loin de 90 % des élèves vont l’obtenir, pour s’apercevoir qu’il n’est qu’une hypocrisie et une supercherie… La télé nous montre tous les ans les mêmes images : des lycéens qui font la queue devant des feuilles A4 placardées à la porte des lycées de France et de Navarre. Il y a ceux qui exultent, et quelques-uns, plus rares qui font la tête : il va falloir qu’ils en passent par le rattrapage. Au bout du compte, ils auront presque tous obtenus un diplôme qui ne leur servira à rien. Que peut-on faire avec son bachot ? Hypocrisie tout du long, mensonge public. Le bac, faudrait le donner à tout le monde Peut-être, pour économiser du temps et de l’argent, faudrait-il, en effet, le donner à tout le monde, sans épreuve.

Les autres ont bien compris : dans les lycées l’esprit de compétition fait des ravages. Article en accès libre. Envoyer More Sharing Services. Cpge_chronique_1. Les CPGE, LA filière sélective. 20 aphorismes sur l’enseignement. Rencontres pédagogiques Franco-Finlandaises. Qui sommes-nous ?

Rencontres pédagogiques Franco-Finlandaises

Nous sommes dix-sept personnes à participer à ce projet. Nous avons en commun notre appartenance à l’Éducation Nationale et notre désir de favoriser la réussite scolaire de chaque élève. En cumulant nos expériences, nous nous sommes mutuellement confortés dans une conviction commune. Cette réussite scolaire ne s’obtiendrait jamais par la simple injonction au travail des élèves et de leurs enseignants, ni par la menace de sanctions en cas de résultats ou de comportements non conformes aux attentes.

La réussite est le fruit d’une expérience personnelle et heureuse, à travers laquelle l’enfant puis l’adolescent découvre que son travail , sa réflexion et les connaissances qu’il acquiert peuvent lui permettre de mieux comprendre le monde dans lequel il vit. Vive l’école ! Le documentaire-fiction, de 27’, présente le parcours scolaire d’« Alicia » dans une cité scolaire de la banlieue nord d’Helsinki accueillant des enfants de 1 à 16 ans. Martine CoulombeL'auteure est mère de famille. Elle habite Otterburn Park.

Dans ma voiture, j'entends parler des journées de la persévérance scolaire.

Martine CoulombeL'auteure est mère de famille. Elle habite Otterburn Park.

J'arrive à la maison, j'ouvre le journal et voilà le même discours qui se répète: les parents ont un rôle prédominant dans la réussite scolaire de leur enfant. C'est vrai. Pourtant, quand je lis cela, je me sens toujours coupable en tant que mère. C'est que mon fils ne réussit pas bien à l'école. Alors, c'est ma faute? Mon fils vient d'avoir 18 ans. Pourquoi ne réussit-il pas? De mon côté, j'aurai tout fait, tout essayé pour qu'il ne décroche pas.

Qu'est-ce qu'un parent comme moi peut faire de plus? À chaque réunion de parents, on me disait les mêmes choses à son sujet: manque de concentration, trop bavard, travaux mal faits... Ce diplôme du secondaire, s'il le décroche, sera notre réussite à nous deux, parce que ce n'est sûrement pas les professeurs, les directeurs ou le ministère de l'Éducation qui auront aidé mon fils à «traverser» sa vie scolaire.

Et si c'était à refaire? L%27erreur%20en%20p%C3%A9dagogie1. Histoires d'universités.