[I/O 2019] Le miroir connecté Artemis de CareOS boosté à l'IA avec Tensor Flow Lite de Google. CareOS, la plateforme santé-beauté pour la salle de bains connectée du groupe français Barracoda, va un cran plus loin avec son miroir Artemis.
La Poste teste un robot livreur de colis qui suit les facteurs. Depuis début juillet 2019, les Montpelliérains peuvent apercevoir Hector, un chariot suiveur qui assiste le facteur dans la livraison du courrier.
Après des tests à Nantes, Paris, Rueil-Malmaison et en Corse, le robot circulera dans le centre-ville de Montpellier pendant un mois. Une nouvelle expérimentation, avant un déploiement à plus grande échelle souhaité au 1er semestre 2020. Un appel d’offres est actuellement en cours. "Les précédents tests étaient des prototypes. Désormais, nous travaillons avec la start-up Effidence située à Clermont-Ferrand sur une version plus aboutie, nous sommes en phase pilote sur Montpellier", précise Jean Louis Carrasco, responsable des livraisons urbaines du groupe La Poste. Un chariot semi-autonome Hector vise à aider le facteur qui n'a qu'à marcher devant pour lui ouvrir le chemin et se servir en courrier pendant sa tournée.
Un robot Adapté aux centres villes... .... et Respectueux de L’ENVIRONNEMENT Reportage sur France 3 Occitanie. Apple s'offre la start-up Xnor.AI, spécialiste de l'intelligence artificielle, pour 200 millions de dollars. Apple se renforce un peu plus sur le volet de l’intelligence artificielle.
Selon les informations de nos confrères américains du site GeekWire, la firme de Cupertino aurait mis la main sur la société Xnor.AI, basée à Seattle, pour environ 200 millions de dollars. Issue de l’incubateur de start-up créé par Paul Allen, l'un des cofondateurs de Microsoft, l’entreprise conçoit des modèles d’apprentissage automatique pour les technologies de reconnaissance vocale et visuelle, elles-mêmes destinées à des produits à faible consommation énergétique.
Ceux-ci ont l’avantage de fonctionner en mode "edge", c’est-à-dire en local sur l’appareil électronique directement… et pas sur le cloud. Faire du deep learning sans le cloud Dans les faits, Xnor.AI a conçu une plate-forme ouverte pour que les développeurs puissent tirer parti de fonctionnalités d'intelligence artificielle même lorsque leurs applications tournent en local sur des appareils électroniques dotés d'une faible puissance de calcul. Google fournit une base de données de 3000 deepfakes pour lutter contre ce phénomène. Le spectre des deepfakes hante les prochaines élections présidentielles américaines de novembre 2020.
En effet, ces trucages vidéos plus vrais que nature sont très difficiles à détecter et représentent un vrai danger pour l'intégrité de l'information en période électorale. Sans de grandes connaissances techniques, il est possible à partir d'un échantillon limité d'imiter le visage et la voix de n'importe qui. Google a bien compris cette problématique et a décidé d'agir. Un supercalculateur français à 16 millions de milliards d'opérations par seconde. Ce 24 janvier, la puissance de calcul dont dispose la recherche française fera un bond significatif grâce à l'inauguration de Jean Zay, une machine capable d'effectuer 16 millions de milliards d'opérations par seconde.
Dire que ce joujou - piloté par l'Institut du développement et des ressources en informatique scientifique (Idris) sur le plateau de Saclay - est attendu avec impatience relève de l'euphémisme. "L'accès au calcul est devenu un préalable à la production de la science", constate Jamal Atif, chargé de mission Science des données et intelligence artificielle au CNRS. "Le grand public ne s'en rend pas compte. Mais une partie de la recherche est bloquée faute d'une puissance de calcul suffisante", confirme Denis Girou, ancien directeur de l'Idris.
C'est notamment vrai dans l'intelligence artificielle (IA), où les algorithmes doivent être pensés d'emblée à grande échelle et où il n'est pas possible de développer une "petite" version en laboratoire. 1er mois d'essai gratuit. Quand l’intelligence artificielle de Google permet de mieux détecter les cancers du sein. Tourisme. L’intelligence artificielle s’invite dans les hôtels. L’Intelligence artificielle (IA) entre peu à peu dans les foyers, via les assistants vocaux et les objets connectés.
Les professionnels de l’hôtellerie surveillent les évolutions du marché et adaptent leur offre afin de personnaliser l’expérience des touristes. Si l’IA a fait son apparition dans les hôtels, l’accueil et le service (humains) demeurent des plébiscités par la clientèle. Service sur-mesure pour touristes ordinaires. Alors que l’intelligence artificielle (IA) entre progressivement dans le quotidien des foyers via les assistants vocaux et autres objets connectés, le secteur du tourisme hôtelier lui ouvre également ses portes depuis quelques années. « Les grandes chaînes d’hôtels comme les plus petits groupes surveillent les évolutions du marché, explique Jean-Michel Chapuis, responsable scientifique du programme de management hôtelier à l’école Ferrandi.
Personnalisation de la chambre d'hôtel L'accueil et le service font la différence. Coronavirus : cette intelligence artificielle a anticipé l'épidémie 10 jours avant l'OMS. Maj. le 17 mars 2020 à 11 h 53 min Le coronavirus a été repéré dès la fin du mois de décembre 2019 par une intelligence artificielle.
Dix jours avant l’OMS (l’Organisation Mondiale de la Santé), un algorithme développé par la firme canadienne BlueDot a en effet identifié les premiers signes de l’épidémie en Chine. Pour y parvenir, l’IA a récolté une impressionnante montagne de données sur Internet. Personne n’avait vu venir la crise du coronavirus en Chine…sauf cette intelligence artificielle conçue par la start-up canadienne BlueDot, rapportent nos confrères de Wired.
Dix jours avant le Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) et l’OMS, le logiciel a détecté les signes avant-coureurs de l’infection dans la ville de Wuhan (Chine centrale). Lire également : le coronavirus en Chine pourrait retarder la production d’iPhone.