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Marketing sportif

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Comment les plus grands sportifs communiquent-ils sur les réseaux sociaux ? Difficile d’être passé à côté de l’affaire Serge Aurier, joueur du PSG qui, au cours d’une session Periscope a insulté Laurent Blanc, son entraîneur. Il semble que le sportif ait oublié que ses paroles pouvaient avoir une portée nationale via l’application de live-streaming. Et si je vous parle de cette affaire aujourd’hui, c’est pour sensibiliser les sportifs, mais aussi toutes personnes utilisant les réseaux sociaux à des fins personnelles ou professionnelles, de l’importance de bien maîtriser ces plateformes.

La fonction de Community Manager ne s’improvise pas. Dans ce cadre, je vous propose une analyse de la communication de grands sportifs français se servant de Facebook, Twitter ou Instagram pour échanger avec leurs fans et gérer leur e-réputation. Le partage de leurs actualités Cela peut très bien être l’annonce de prochains matchs, les futures compétitions ou leurs apparitions en tant qu’invité dans une émission. La recherche d’une communion avec les fans Et sur Facebook : Le marché du naming. Le « naming » : une forme de parrainage originale. La présence concrète du nom sur le lieu de l’événement ainsi que sur tous les supports liés à l’entité parrainée constitue un élément important du contrat de parrainage.

Les supports possibles sont nombreux. Ainsi, pour le parrainage du nom d’un stade, on distingue les supports de base (enseignes au fronton du stade), les supports « sportifs » (pelouse, tribunes, tableau de marque, bancs de touche…), les supports complémentaires (tickets, guichets, sièges, vestiaires, loges, uniformes du personnel…), les supports médiatiques (salle de presse et d’interviews, dossiers de presse, dépliants touristiques, cadeaux publicitaires, sites Internet…), les supports administratifs (formulaires, documents officiels, cartes de visite…), les supports commerciaux (matériels d’exposition, espaces de ventes, produits sous licences…) et les supports urbains (panneaux routiers, plans, parkings…). Euro 2016: n'ayez pas de regrets pour les Bleus, ils n'étaient pas prêts.

Les joueurs mettront des jours, peut-être des mois à s'en remettre. Certains ne surmonteront jamais. Le pays aura probablement besoin d'un bon moment avant de trouver une cause capable de faire converger ses énergies. La défaite de l'équipe de France en finale de l'Euro 2016 a fait le silence, dimanche, dans les cours des immeubles, dans les rues, dans les salons. Le silence de la stupéfaction. L'équipe avait battu les champions du monde, elle avait marqué 11 buts, elle s'était trouvé un Ballon d'Or en puissance avec Antoine Griezmann. On avait même tout prévu pour le défilé, lundi, sans que personne ne s'en étonne. Les historiens qui se pencheront sur le parcours de l'équipe de France à l'Euro 2016 raconteront l'épopée d'une équipe qui n'avait pas pu rassembler toutes les pièces de son puzzle.

Battue en finale même sur le plan physique Évacuons tout l'affect qui a été placé dans cette aventure depuis le 5-2 contre l'Islande. Griezmann a réalisé deux jolies têtes en extension. Le marketing sportif : un secteur d'avenir. PSG : les jolies primes des joueurs en cas de victoire… jusqu’à 1 million d’euros pour la C1 ! - Economie. Le 09/03/2015 à 17:51 Par Le Mag - Le 09/03/2015 à 17:51 S’ils vont au bout en Ligue des champions, les joueurs parisiens empocheraient 1 million d’euros, selon Le Parisien qui a révélé les primes ce lundi. Ils n’ont peut-être pas besoin de ça (enfin, on l’espère) mais c’est une belle carotte.

Comme la saison passée, les dirigeants parisiens ont placé la barre assez haute en cas de bon parcours de leurs protégés en Ligue des champions, comme l’a révélé Le Parisien ce lundi matin. Voici les différentes primes accordées aux joueurs parisiens en Ligue des champions, selon Le Parisien, : – 100 000 euros par joueur pour être sorti des phases de poule. – 250 000 euros pour avoir atteint les quarts de finale. – 400 000 euros en cas de parcours jusqu’au dernier carré. – 700 000 pour une place en finale. – Et 1 million d’euros si les champions de France terminent avec la coupe aux grandes oreilles dans leurs bras en juin prochain.