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Art

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New Music Generation. [LIVE REPORT] Farewell Poetry 17/01/2012 par Gwladys Nous avions interviewé Farewell Poetry car leur démarche artistique nous intriguait.

New Music Generation

Nous avons été subjugués par leur performance scénique… Farewell Poetry c’est : Une identité musicale et visuelle pouvant être qualifiée d’étrange, de déstabilisante, entre nostalgie, interrogation et inquiétude. Nous sommes confrontés à tout un univers artistique, mêlant les supports de création, établissant un lien infime entre la performance et l’expérience musicale. Farewell Poetry est selon nous, l’un des collectifs musical les plus intéressants du moment. Le live ! Comme nous le disions plus haut, Farewell Poetry est plus qu’un simple groupe musical, c’est un véritable laboratoire de recherches, travaillant, expérimentant, tentant d’aller au bout de ses idées ! Cette vérité peut être constatée à la simple écoute de leur album mais nous a littéralement explosée au visage lors de leur live du 5 décembre 2011 au Café de la Danse !

Bruit du frigo ~ Contact. Contact. Vendredi c’est Graphism S02E47. Cette semaine sera graphique, photo, typo et vous apportera une pincée de graffiti, une once de réalité augmentée et un projet de diplôme. Complété par une bande dessinée sur Steve Jobs, et un WTF musical de derrière les fagots ;-). Bonjour à toutes et à tous et en route pour le dernier épisode de Vendredi c’est Graphism édition 2011 ! Rassurez-vous, pas d’actualités réchauffées, pas de retour sur l’année 2011 mais du design neuf, du graphisme frais et des actualités toutes belles.

Au programme, je vous propose un petit détour photographique mêlant imagination et réel, le retour de Kidult, de la réalité augmentée typographique, un projet de diplôme en pointillés, une bande dessinée sur Steve Jobs, et un petit WTF musical de derrière les fagots ;-). Bon vendredi… et bon “Graphism” ! Geoffrey On commence notre revue de la semaine avec le travail photographique de Lukasz Wierzbowski. Source On continue avec le retour de Kidult et cette seconde partie en vidéo publiée cette semaine. Source source. Jacques Villeglé. La contestation n'a pas de monument. « Tout l’univers n’est qu’un magasin d’images et de signes auxquels l’imagination donnera une place et une valeur relative : c’est une espèce de pâture que l’imagination doit digérer et transformer... ».

Jacques Villeglé. La contestation n'a pas de monument

En citant ces lignes de Baudelaire dans Urbi et Orbi, un livre qui retrace et théorise son parcours, Jacques Villeglé tend à donner à l’artiste le statut de regardeur des images du monde, qu’il s’approprie et métamorphose à sa manière. « Collectionneur et ravisseur » d’affiches jusqu’en 2000, il s’est ensuite emparé exclusivement des graphismes sociopolitiques. À partir de sigles trouvés au hasard des rues dès 1969, il a formé un véritable alphabet, tissant au fil des années une œuvre riche, chaque fois renouvelée. Un film nous mène dans le tourbillon de sa création et nous fait voir son propre regard en marche : Un mythe dans la ville (1974-2002).

L’artiste entretient un lien ténu avec la sculpture. L’inscription – Le monument. Jacques Villeglé - Biographie Jacques Villegle peintre, oeuvres Villeglé tableaux, expositions. L'artiste français Jacques Villeglé, de son vrai nom Jacques Mahé de la Villeglé, naît à Quimper le 27 mars 1926.

Jacques Villeglé - Biographie Jacques Villegle peintre, oeuvres Villeglé tableaux, expositions

Portrait de Jacques Villeglé - Image tirée d'une vidéo pour l'Encyclopédie audiovisuelle de l'art contemporain - Auteur : Pantalaskas, 1995 En 1943, Jacques Villeglé découvre "l’Anthologie de la peinture en France de 1906 à nos jours" de Maurice Raynal. La reproduction, en noir et blanc, de l’oeuvre de Joan Miró, "Amour", ainsi que la déclaration attribuée par Raynal à l’artiste catalan "Je veux assassiner la peinture" le frappent tout particulièrement. En 1944, Jacques Villeglé fait son premier bref séjour à Paris, et s’inscrit en septembre à la section peinture de l’École des beaux-arts de Rennes. Il rencontre Raymond Hains en 1945. En 1947, Villeglé est admis à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Nantes, qu’il fréquente jusqu’à fin 1949. Au début des années 50, Villeglé assiste aux récitals lettristes, appréciant notamment François Dufrêne et Gil J. Villegle. Le projet Omodaka.

Mortal Engine by Chunky Move. In the Heart a Dalí Elephant. Stéphane Ragot. Patria obscura. Fernando Vicente - Ilustración. Fernando Vicente Vanitas.