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Mystères d'Eleusis, Orphisme

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ORPHISME, Refus du sacrifice sanglant. Le genre de vie orphique se définit par un certain nombre d'interdictions, dont les unes sont alimentaires et les autres vestimentaires.

ORPHISME, Refus du sacrifice sanglant

Ne pas se laisser ensevelir dans des vêtements de laine, porter des habits de couleur blanche, ne pas entrer en contact avec un cadavre, autant de refus de ce qui appartient au monde de la mort. Sur le plan alimentaire, le régime orphique se caractérise essentiellement par le refus de manger « ce qui est animé » et par le souci de consommer seulement ce qui n'est pas « vivant ». Les Grecs définissaient ce végétarisme par une formule en apparence énigmatique : « Orphée a enseigné aux hommes à s'abstenir de phonoi . » Littéralement, phonos signifie meurtre. Religion grecque antique.

Dans la doctrine religieuse de l'orphisme, Orphée est vénéré, non adoré ; il est homme et seulement un peu divin.

Religion grecque antique

Tel un prophète, il se situe en marge des dieux. L’orphisme apparaît comme une religion concurrente, rivale, contestataire par rapport à la religion grecque classique. Il repose sur une pensée cosmogonique et théogonique très particulière, où l’œuf cosmique est à l’origine de tout par l’intermédiaire d’un être multiforme et bisexué (Phanès, ou Éros, ou Protogonos), créateur du soleil et de la lune, père de la nuit. Orphisme (religion) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Orphisme (religion)

Pour les articles homonymes, voir Orphisme. L’orphisme était un courant religieux de la Grèce antique connu par un ensemble de textes et d'hymnes, ainsi que par quelques attestations archéologiques : outre Les Lamelles d'or[1], on en connaît certaines représentations ou descriptions au travers de gravures, tablettes ou autres vestiges retrouvées dans des tombes. Le mythe d'Orphée, d'origine obscure et très ancienne, dont l'épisode le plus célèbre est la descente aux Enfers du héros à la recherche de son épouse Eurydice, donna naissance à une théologie initiatique. La doctrine orphique est une doctrine de salut marquée par une souillure originelle ; l'âme est condamnée à un cycle de réincarnations dont seule l'initiation pourra la faire sortir, pour la conduire vers une survie bienheureuse où l'humain rejoint le divin.

Pythagore et L'Orphisme. Pythagore et l'Orphisme Mystique de la Grêce antique L'orphisme est un mouvement religieux qui est apparu en Grèce à partir du sixième siècle avant JC. Il a été instauré par Orphée, qui aurait vécu avant Homère. Orphism (religion) Orphic mosaics were found in many late-Roman villas Orphism (more rarely Orphicism) (Ancient Greek: Ὀρφικά) is the name given to a set of religious beliefs and practices[1] originating in the ancient Greek and the Hellenistic world,[2] as well as by the Thracians,[3] associated with literature ascribed to the mythical poet Orpheus, who descended into Hades and returned.

Orphism (religion)

Orphics also revered Persephone (who annually descended into Hades for a season and then returned) and Dionysus or Bacchus (who also descended into Hades and returned). Orpheus was said to have invented the Mysteries of Dionysus.[4] Poetry containing distinctly Orphic beliefs has been traced back to the 6th century BC[5] or at least 5th century BC, and graffiti of the 5th century BC apparently refers to "Orphics".[6] The main elements of Orphism differed from popular ancient Greek religion in the following ways: Demeter. Religion grecque antique. Les Éleusinies ou « mystères d'Éleusis » sont une fête en l’honneur de la déesse Déméter (Cérès) qu'on célébrait tous les 4 ans chez les Céléens et Phliasiens, et tous les ans chez les Phénéasiens, les Lacédémoniens, Parrhasiens et Crétois, mais plus spécialement chez les Athéniens à Eleusis, ville d'Attique, d'où ils furent transférés par Adrien à Rome ; ils subsistèrent jusqu'au règne de Théodose Ier.

Religion grecque antique

C'était, de toutes les fêtes grecques, la plus célèbre et la plus mystérieuse : aussi l'appelait-on les Mystères par excellence. Les uns attribuent l'établissement des premiers à Eumolpe (fils de Poséidon et de Chioné, fille de Borée), les autres à Orphée. Article Eleusinia du dictionnaire Daremberg et Saglio (1877) - I. Origine et histoire des mystères d'Eleusis.

Persée. Eumolpe. Eleusinian Mysteries. Votive plaque depicting elements of the Eleusinian Mysteries, discovered in the sanctuary at Eleusis (mid-4th century BC) The rites, ceremonies, and beliefs were kept secret and consistently preserved from a hoary antiquity.

Eleusinian Mysteries

The initiated believed that they would have a reward in the afterlife.[5] There are many paintings and pieces of pottery that depict various aspects of the Mysteries. Since the Mysteries involved visions and conjuring of an afterlife, some scholars believe that the power and longevity of the Eleusinian Mysteries came from psychedelic agents.[6] Mythology of Demeter and Persephone[edit] The Mysteries are related to a myth concerning Demeter, the goddess of agriculture and fertility as recounted in one of the Homeric Hymns (c. 650 BC). Les mystères d'Eleusis. Religion grecque antique. Déméter et le serpent d'Eleusis Après ces neuf jours de procession arrivait au Télestérion ; le myste assis sur un trône (la thrônosis) buvait le kykéon et sacrifiait un porcelet au milieu d’un vacarme épouvantable, rythmé par la musique, des danseurs qui l’entouraient.

Religion grecque antique

Nous ne savons pas grand chose des rituels secrets qui se déroulait dans l'obscurité. Le secret a été bien gardé. La cérémonie se faisait durant la nuit. Les initiés s'assemblaient près du temple, dans une enceinte assez vaste pour contenir un peuple nombreux. Les Athéniens faisaient initier leurs enfants dès le berceau. ÉLEUSIS, Le sanctuaire. Les Mystères d'Eleusis. La cité sera un état indépendant sous la conduite des Eumolpides, avant d'être annexé par les Athéniens au VIIème siècle avant Jésus-Christ.

Les Mystères d'Eleusis

Les Grecs y construiront le sanctuaire des "Grandes Déesses" dédié à Déméter (la déesse du blé) et sa fille Korê, assimilée à Perséphone qui symbolisait la réapparition de la vie à chaque printemps. Les mystères, d'origine préhellénique, plongeaient ses racines dans de vieux rites chthoniens liés à la fertilité et à la fécondation de la terre. Diogène Laërce. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pour les articles homonymes, voir Diogène. Diogène Laërce (en grec Διογένης Λαέρτιος / Diogenês Laertios) (ou Diogenes Laertius ou Diogène de Laërte[1]) est un poète, un doxographe et un biographe grec né à Laërtès, en Cilicie, au début du IIIe siècle après J. -C. On ne sait que peu de choses sur Diogène Laërce. Le fait est d'autant plus ironique qu'il représente souvent l'unique source que nous ayons sur la vie et les doctrines de nombreux philosophes. Biographie[modifier | modifier le code] Sibylle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sibylle

Une sibylle est une « prophétesse », une femme qui fait œuvre de divination. Différences entre sibylle et pythie[modifier | modifier le code] La Pythie[1] a un statut institutionnel, elle est associée au sanctuaire de Delphes. La sibylle donne une divination occasionnelle, indépendante, nomade. La Pythie n'est que le porte-parole du dieu, elle répond aux questions qui lui sont adressées, alors que la sibylle parle à la première personne, revendique l'originalité de sa prophétie et le caractère indépendant de ses réponses.