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Edition numérique

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En 3030, les gens devraient continuer de lire. «Les bouquins ne mourront pas et dans plusieurs siècles encore, les gens continueront de lire mais différemment.» La théorie exposée par Brendan I. Koerner dans The Atlantic s'appuie sur sa propre expérience de la commercialisation des premières tablettes numériques (iPad et autres). L'auteur cherche à définir les futures tendances de lecture et d'écriture qui découleraient des caractéristiques de ces tablettes.

Il définit aussi le comportement des lecteurs et des écrivains qui essaieraient de s'adapter à ce nouveau support. Une réflexion personnelle qui se découpe ainsi: 1/Le triomphe des notes de bas de page Les habitudes de lecture ont évolué. 2/Auteur et styliste Traditionnellement peu engagé dans l'élaboration du «look» de son livre, l'auteur est confronté à une nouvelle responsabilité. 3/Moins de confusion Dans les romans fleuves, beaucoup de lecteurs se sentent perdus face la complexité d'une intrigue, la multiplication des protagonistes et des lieux. 4/La revanche de Dickens.

Le livre va-t-il sombrer dans la mer numérique ? Quelque chose comme une lettre ouverte au Bélial pour le lancement de sa plateforme numérique. Créer soi-même ses ebooks  • Version du 30 avril 2015 Ce tutoriel, découpé en trois parties, parle de livres numériques. Il présente les raisons de gérer soi-même les droits numériques de ses livres, il montre comment on fabrique un livre numérique à partir de son fichier texte (Word ou autre), et détaille les étapes (très simples) permettant de le vendre dans la boutique Amazon.

Vous avez simplement besoin d’un ordinateur (PC ou Mac) et de programmes disponibles sur Internet. Vous n’avez même pas besoin de posséder une liseuse. Vous trouverez donc sur cette page trois fichiers PDF à télécharger : •L’aventure du livre numérique pour un auteur. •Comment fabriquer un livre numérique à partir d’un fichier. •Comment vendre un livre numérique sur Amazon. Plus un document (au format Word ou RTF) pouvant servir de modèle pour la mise en page de son texte numérique. Ces documents sont publiés sous licence Créative Commons 2.0. Je suis intéressé par tout commentaire, suggestion ou critique qui me permettra de les améliorer. Un éditeur, ça sert à quoi ?

Jeudi 01 décembre 2011 Je n’en ai pas parlé parce que Novem­bre, c’est le NaNo et que cette année, ben j’ai quand même eu du mal à boucler mes 50000 mots, mais le 30 Novem­bre à 23h59 se ter­mi­nait un autre projet-défi-titanesque et lit­téraire. En réal­ité, il s’est fini à 21h (heure française) mais pour voir ça en direct, il fal­lait être sur twit­ter (parce que ça bouge en temps réel con­traire­ment aux blogs/Facebook plus sta­tiques). Bizarrement, j’étais présente sur Twit­ter quand le défi a été lancé et quand il s’est ter­miné (ne croyez pas que j’y passe ma vie, mais le hasard joue un rôle très bizarre dans mon exis­tence… à croire que je suis née sous le signe du hasard tant il me tombe dessus de manière par­ti­c­ulière­ment régulière) Le défi La-grange.net (appelons-le comme ça vu que ça n’avait rien d’organisé, c’était plutôt le genre de défi lancé comme ça un jour d’un type à l’autre) Le réel tra­vail d’un éditeur La Licence libre L’auteur qui échappe à l’éditeur L’innovation.

eBouquin. Le club des lecteurs numériques. Oeuvres ouvertes. Google-BNF, le pacte des sous. C’était un des grands bastions de résistance aux velléités quasi hégémoniques de Google dans le domaine du livre. Et il est peut-être sur le point de céder. La Bibliothèque nationale de France (BNF) serait, d’après le quotidien la Tribune de mardi, sur le point de signer un accord avec le géant du Web pour la numérisation de sa collection. Une grande victoire pour Google quand on se souvient de la virulence avec laquelle, en 2005, Jean-Noël Jeanneney, alors président de la BNF, avait combattu la firme américaine. Dans une tribune publiée par le Monde («Quand Google défie l’Europe»), puis dans un essai du même nom, il avait pris une position sans ambiguïté : il fallait numériser, mais sans se compromettre avec Google.

C’est Denis Bruckmann qui a allumé la mèche dans le quotidien économique. Du côté de la BNF, on explique s’être un peu étranglés à la lecture de la double page de la Tribune : «Il n’y a aujourd’hui vraiment rien de concret de ce côté-là. Lire les réactions à cet article. Impact du numérique sur la lecture : colloques — Éducnet.