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MegaUpload

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Après megaupload. Megaupload est mort : nous entrons dans une ère nouvelle. Nous vous disions cette nuit que nous ne pleurons pas la mort de Megaupload.

Megaupload est mort : nous entrons dans une ère nouvelle

Nous le réaffirmons. Megaupload proposait sur un modèle centralisé la distribution de masse de fichiers copyrightés, sans aucun accord avec les ayants-droit, et en tirait de confortables revenus (on parle d’un chiffre d’affaire de 150 millions de dollars tout de même), grâce aux revenus publicitaires générés par sa régie qui attirait des clients comme le site patypoker.fr pour ne citer que lui. La constellation Mega a donc tiré de bons gros revenus en ne proposant pas grand chose d’innovant, d’anti-Internet, et nous avouons même avoir été particulièrement choqués de voir son représentant français, la semaine dernière, en audition à l’Assemblée Nationale, se faire le chantre du partage, attendu que Megaupload ne partageait pas mais vendait ce qui ne lui appartenait pas. Les données de Megaupload définitivement effacées jeudi - Le Nouvel Observateur. Toutes les données hébergées par le site de téléchargement Megaupload devraient être définitivement effacées à partir de jeudi 2 février, explique les autorités américaines dans un document remis à la justice et consulté par l'Associated Press.

Les données de Megaupload définitivement effacées jeudi - Le Nouvel Observateur

Ce document souligne que des entreprises tierces (dont Carpathia Hosting Inc. ou Cogent Communications Group Inc.) assuraient l'hébergement de millions de fichiers pour Megaupload. Ces entreprises pourront ainsi commencer à effacer ces documents à partir de jeudi 2 février. Affaire MegaUpload, une chance pour la cyberdémocratie ? 01net. le 23/01/12 à 17h50 Depuis l’annonce de la fermeture par la justice américaine de MegaUpload, les Anonymous font couler de l’encre et parler la poudre.

Affaire MegaUpload, une chance pour la cyberdémocratie ?

Ce groupe d’hacktivistes multiplie les attaques en déni de service et les opérations un peu plus élaborées (« défacement » ou récupération de données). On ne compte plus les sites, français, américains, brésiliens, etc. mis hors ligne ou dont la page d’accueil a été remplacée (défacée) : les sites de Vivendi, du ministère français de la Justice, de l’Elysée, du bureau du copyright américain, etc. Certains sites d’artistes ont été defacés, c’est notamment encore le cas, à l’heure où nous écrivons ces lignes, du site de Rihanna.La plupart de ces sites tombent quelques minutes, heures puis reviennent à la vie.

L’impact de la fermeture de MegaUpload sur les pratiques de téléchargement. A peine un mois après un des événements les plus marquants de l’année dans le monde du numérique, l’Ifop a réalisé pour Clubic.com, le site de référence de l’actualité high-tech, la première étude permettant de mesurer « l’impact de la fermeture de MegaUpload sur les pratiques de téléchargement ».

L’impact de la fermeture de MegaUpload sur les pratiques de téléchargement

Voici les principaux enseignements de l’enquête : - Le téléchargement illégal est une pratique qui concerne aujourd’hui un peu plus d’un internaute sur trois (37%). Cependant, seuls 8% des internautes téléchargent illégalement de manière régulière. Les autres le font soit de manière occasionnelle (12%), soit de manière épisodique (17%). - Parmi ces internautes, les effets de la fermeture de MegaUpload sont bien réels. . - Légalité – illégalité, les alternatives s’équilibrent : 49% des téléchargeurs illégaux vont continuer à utiliser des canaux illégaux, 46% vont opter pour une alternative légale, mais dont une part très importante pour l’offre gratuite (32%). High-Tech : Megaupload : le FBI révèle les coulisses du piratage organisé. L'acte d'accusation contre les sept responsables de Megaupload dévoile la face cachée de ce site de téléchargement, accusé d'avoir tiré profit du piratage.

High-Tech : Megaupload : le FBI révèle les coulisses du piratage organisé

Les représentants des ayants droit n'en étaient pas revenu. La semaine dernière, un responsable français de Megaupload a expliqué lors d'une table ronde organisée au Sénat que le site «luttait pour la protection» des droits d'auteur. MegaUpload : la cyberguerre a commencé. Dès jeudi soir après l'annonce de la fermeture de MegaUpload par les autorités américaines, les Anonymous ont attaqué certaines cibles symboliques en représailles.

MegaUpload : la cyberguerre a commencé

Ce n'est pas une première, mais cette fois une cyberguerre a commencé. Mise à jour : Voir notre analyse de l’acte d’accusation C’est sûr, il y aura un avant et un après MegaUpload. Non pas pour le piratage, qui trouvera refuge ailleurs comme il l’a toujours fait depuis la fermeture de Napster en 2001. Non pas pour l’offre légale, pour laquelle les ayants droit trouveront toujours des prétextes à ne pas en favoriser le développement. En s’attaquant à MegaUpload, ça n’est pas seulement un site utilisé par les internautes pour accéder à des contenus illicites qui est visé par une procédure judiciaire. L’affaire MegaUpload fera prendre conscience du pouvoir immense qu’ont les autorités sur le moindre site internet dont ils peuvent provoquer la mort du jour au lendemain, en saisissant ses serveurs et ses noms de domaine.

Lire. Discours de revendication d’Anonymous suite à la fermeture de MegaUpload. WikiLeaks et les Anonymous : un mariage de raison. Le site de Julian Assange et le réseau informel de hackers se sont associés pour publier des millions d’e-mails dérobés à Stratfor, une société de renseignement privée.

WikiLeaks et les Anonymous : un mariage de raison

Qui, il y a encore quelques mois, imaginait que des médias comme Rolling Stone ou La Repubblica utiliseraient des documents piratés par les Anonymous, cette bande de hackers insaisissables, nés sur les rives potaches du forum américain 4Chan ? WikiLeaks, a débuté lundi la publication de près de cinq millions d’e-mails dérobés à Stratfor, une société de renseignement privée américaine, avec une vingtaine de médias partenaires. Ces e-mails, ce sont les Anonymous qui se les sont procurés, lors d’une attaque survenue en décembre. Des Anonymous ont confié à Wired qu’ils avaient décidé de donner les documents à WikiLeaks parce que cette organisation était davantage en mesure « d’analyser et de diffuser » ces informations : « En fait, WikiLeaks est le partenaire idéal pour ce genre de trucs.

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