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Entretien avec une sériephile : Marjolaine Boutet. Même si vous êtes à peine sériephile, vous connaissez Marjolaine Boutet. Vous avez entendu sa voix à la radio ou dans un podcast, vous avez déjà lu l’un de ses livres ou l’un de ses articles ou bien vous êtes l’un de ceux et celles qui ont la chance de suivre ses cours à l’Université de Picardie où elle est maître de conférence (elle est historienne et spécialiste des mondes anglo-saxons). Enfin bref, elle a dû tomber dans la marmite quand elle était petite. L’occasion faisant le larron, nous profitons de la sortie récente de son dernier ouvrage pour la soumettre à l’un de nos (désormais fameux) entretiens. Cold Case (Affaires Classées) est la série qu’elle a choisi de décrire et analyser dans la collection spéciale des Presses Universitaires de France.

M.B. : Les principales coupables sont des femmes, au premier rang desquelles Meredith Stiehm, la créatrice de la série. M.B. M.B. M.B. : Je n’ai pas trouvé d’échos négatifs à propos de la série dans la presse américaine. Philoséries : "Philosopher avec les séries télévisées" Vendredi 24 juin 2011, 9h-18h15, Salle Jules Ferry 29 rue d’Ulm 75005 Paris Téléchargez le programme en PDF Dans le cadre du cycle « Philosopher avec les séries télévisées », ouvert en juin 2009 par un colloque sur Buffy contre les vampires et poursuivi en 2010 par la journée d’études « Séries d’élite, culture populaire : le cas HBO », nous proposons de faire porter notre troisième épisode sur la série 24 heures chrono. Produit par Joel Surnow et Robert Cochran, ce feuilleton diffusé entre 2001 et 2010 met en scène l’agent spécial Jack Bauer en lutte contre le terrorisme, au sein (et parfois en dehors) de la cellule anti-terroriste de Los Angeles. Légèrement postérieure à Buffy, et particulièrement célèbre pour son caractère addictif, la série est tout aussi marquante pour l’ensemble des années 2000, et présente nombre d’aspects passionnants et controversés, que nous souhaiterions voir abordés.

Comité d’organisation : Sandra Laugier, PhiCo, EXeCO (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) Séries télévisées pour public cultivé, par Dominique Pinsolle et Arnaud Rindel. « Aujourd’hui, en France, il est encore impossible de dire qu’on aime les séries télévisées. » Tel était le constat amer que formulaient, il y a un peu plus d’une décennie, Alain Carrazé et Martin Winckler. deux de leurs plus ardents défenseurs français. Depuis, la situation semble s’être inversée. Les séries ont envahi la presse, font l’objet de colloques universitaires et d’ouvrages soulignant leur profondeur philosophique. Comment expliquer ce soudain « recul des préventions des milieux diplômés à l’égard de la télévision » ? Les origines de ce qu’il est désormais convenu d’appeler la « télévision de qualité » aux Etats-Unis remontent au début des années 1970, lorsque l’apparition du magnétoscope, des chaînes du câble et du satellite met fin au monopole des grands réseaux américains (Columbia Broadcasting System [CBS], National Broadcasting Company [NBC] et American Broadcasting Company [ABC]) sur la diffusion à domicile.

Taille de l’article complet : 2 394 mots. "Mentalist", "NCIS", "Les Experts": pourquoi les séries américaines cartonnent en France. Les séries américaines cartonnent en France, mais ce n'est pas le cas dans d'autres pays européens ("Mentalist"/TF1). Les séries américaines ont un tel succès en France que nous avons du mal à imaginer que nous sommes une exception européenne et que cette situation n’a pas toujours existé.

Une enquête récente du CSA montre, en effet, que nous sommes le seul pays d’Europe dans lequel deux séries américaines sont en tête des audiences des fictions ("Mentalist" et "Dr House") et où six séries du top 10 sont américaines. Le goût pour les séries américaines, une exception culturelle En Italie, les dix premières sont italiennes (avec "Maria de Nazaret" en tête, qui ne nous est pas parvenu), en Espagne "Aquila Roja", en Allemagne "Tatort". Hormis cette dernière, la plupart des séries qui triomphent chez nos voisins ne sont jamais passées en France. Comment expliquer cette exception ? L’argument est un peu court. Le formula show, formule 1 de la télé La victoire au mental Au-delà du réel. Comprendrelatele | Le blog de François JOST. “Homeland” et “Hatufim”, comment crée-t-on deux versions d'une même angoisse ? - Séries TV. Des séries... et des hommes. Lost, fiction vitale. Lost (ABC, 2004-2010), série d’interrogations et de révélations, a révolutionné la construction narrative télévisuelle.

L'ouvrage Lost n’est pas seulement l’histoire d’un avion qui s’écrase sur une île (pas si) déserte.Phénomènes surnaturels, retours dans le passé, bonds dans l’avenir, voyages dans le temps : fresque épique et tragique de 121 épisodes, Lost nous fait vivre la désorientation de ses personnages, met au défi notre compréhension et invite aux visionnages répétés et à l’interprétation en continu. Elle pense notre rapport à autrui, au temps, à la vérité, à la croyance et à la fiction.Cet ouvrage explore comment la série réconcilie postmodernisme et sincérité, distance critique et émotion pure, visions du monde multiples et expérience universelle de vie et de mort.

Série de coïncidences, de miracles et de retrouvailles, fiction vitale qui relie et se relit, Lost a tout simplement révolutionné la construction narrative télévisuelle. Table des matières A propos des auteurs. Appel TV Series-1 - Appel_TV_Series_Religion.pdf. Des séries… Et des meufs ! DSDH : Tout d’abord, les Meufs, pourriez-vous vous présenter chacune à nos lecteurs ? F.D. : Je suis le quota belge. C’est important d’avoir une belge dans son équipe, cela permet d’oser plein de chose et de se dédouaner si ça ne fonctionne pas. « Elle est belge vous comprenez, donc… ». Sans blague, être belge est sans doute la nationalité la plus pratique au monde. Le belge est inoffensif. N.L. : Moi je suis la geekette schizo qui jongle entre diverses formes d’écriture (scénario/roman/poésie/blog), diverses formes d’art (je suis aussi photographe) et des addictions multiples (rock, shoes and chocolate). S.R. : Moi je suis l’ex-journaliste de la bande. DSDH : La « Meuf Team », vous dites clairement pourquoi, mais pouvez-vous nous raconter le « comment » ?

F.D. : J’ai connu Stéphanie à travers son blog «La fabrique des scénarios». N.L. : Je travaillais déjà à quatre mains avec Stéphanie. DSDH : Alors, réglons déjà la question du jour. Meufteam : Oulala c’est quoi tous ces gros mots ?! FRINGE: aux frontières du réel? - 31-Blot_poster_ok.pdf. 01. Accueil/Welcome. Aurélie BLOT.