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Etude de Gestion

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La FNAC en Bourse et le tsunami numérique : Challenges. La FNAC s’introduit en bourse. Faute de trouver un repreneur, PPR a décidé de trouver de la liquidité sur les marchés. Mais, après l’échec de Virgin, le marché se pose des questions sur l’avenir de la FNAC. Certaines entreprises ont surfé sur la vague numérique comme Apple, Barnes et Nobles, Amazon, Samsung ou Netflicks. Et quelques unes ont été balayées et ont disparu, comme HMV, Kodak, Borders ou le Virgin Megastore. Question-clé pour l’introduction en bourse de la FNAC: est-il trop tard pour sauver la FNAC du tsunami numérique ? Face au numérique, il n’y a pas de fatalité du succès ou du déclin. La FNAC était un véritable media, un « agitateur culturel », combinant en un seul lieu, de façon unique, livres, musiques, vidéos, et matériel photo, télé, hifi. En quelques années le concept a été dégradé, et Internet a mis l’enseigne KO debout. Puis est arrivé Internet.

Deuxième assaut : ITunes, qui combiné à Amazon, a érodé les ventes de CDs. Arrive l’Ebook, avec Amazon. L’économie numérique va t’elle tuer le commerce classique ? Une petite interview d'Atlantico sur l'économie numérique que je vous soumet : Le placement de Virgin Stores en cessation de paiement demandé vendredi matin est la démonstration de l’incapacité de certaines entreprises à s’adapter à la réalité de la révolution de la consommation sur Internet. - Ne s’agit-il pas là d’un exemple de destruction créatrice nécessaire à la restructuration numérique de l’économie française ?

L'économie des services et de la vente classique est heurtée de plein fouet par l'économie numérique qui représente un quart de la croissance de l’économie française en 2010. L'économie de l'internet ne connait pas la crise et progresse toujours un petit plus chaque année, chaque progression de ses parts de marché se fait au détriment du commerce classique. Actuellement, les entreprises présentes sur Internet croissent deux fois plus vite que les autres et exportent deux fois plus. - Faut-il s'en inquiéter ? La France vous semble-t-elle s'adapter à une cadence acceptable ?

Télécharger, c’est voler. Enfin... parfois. Je fais suite à un très long commentaire posté chez Alexandre de chez Éconoclaste sur la problématique du téléchargement. Dans son analyse, Alexandre (on ne se connaît pas du tout, c’est pour ça que je l’appelle par son prénom) essaie de montrer que télécharger, ce ne peut être du vol : puisqu’aucun coût de production et de distribution n’est supporté par le détenteur du droit d’auteur dont le morceau est téléchargé. Ce à quoi je réponds c’est faux, parce que c’est aussi vrai que faux. Et donc ce n’est pas vrai. Donc faux. Vous suivez ? ;-) Cher Alexandre, je suis dans l’ensemble relativement d’accord avec toi, ie j’adhère à la plupart des arguments, parfois moins avec leur justification.

Prenons l’exemple de : On a déjà dit que le téléchargement ne dépossède pas un individu d’un bien coûteux, puisque aucun coût de production et de distribution n’est supporté par le détenteur du droit d’auteur dont le morceau est téléchargé. Je ne suis pas tout à fait d’accord. Tu parles d’un vol... Alors ? Streaming. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le streaming (terme anglais, de stream : « courant », « flux », « flot »), lecture en continu, diffusion en flux[1], lecture en transit[2] ou diffusion en mode continu[3], désigne un principe utilisé principalement pour l'envoi de contenu en « direct » (ou en léger différé). On peut également songer à la locution lecture seule, déjà utilisée en informatique. Très utilisée sur Internet, elle permet la lecture d'un flux audio ou vidéo (cas de la vidéo à la demande) à mesure qu'il est diffusé. Elle s'oppose ainsi à la diffusion par téléchargement de fichiers qui nécessite de récupérer l'ensemble des données d'un morceau ou d'un extrait vidéo avant de pouvoir l'écouter ou le regarder.

Principe de fonctionnement[modifier | modifier le code] La lecture en continu fonctionne selon le protocole client-serveur[4]. Deux sortes de lecture existent, l'une est dite « en progressif », l'autre « en continu ». Lecture progressive[modifier | modifier le code] Le téléchargement illégal est positif et Aurélie Filippetti n'y a rien compris.

A la suite de l'annonce de la fermeture du site Redlist, Olivier Ertzscheid, chercheur et auteur du blog Affordance, a fait le tri dans les commentaires qu'y ont laissé les Internautes. Il en tire une réflexion sur le rapport contemporain à la culture et au numérique qu'il a publiée sur son blog. Slate la republie ici dans son intégralité. Par un message intitulé «Les meilleures choses ont une fin», en date du 4 juin 2013, le webmaster du site Redlist indique que suite à une plainte et à une perquisition, on lui demande «de retirer l'intégralité du contenu illégal sur RedList. Et je n'ai plus d'autre choix malheureusement. Les liens ne sont plus accessible (sic) et il n'est plus possible d'en ajouter.» De Redlist à Blacklist. Redlist est un agrégateur de liens permettant de récupérer films, ebooks, séries, jeux, le tout en direct download (DDL), en renvoyant vers d'autres sites «hébergeurs» lesquels sont eux toujours en ligne.

La raison du plus fort ... est parfaitement déraisonnable. Une nouvelle victime du tsunami numérique : la FNAC. Le Nasdaq est revenu à ses plus hauts niveaux, Apple est la première capitalisation boursière mondiale, Facebook vaut 100 milliards de dollars, Zynga, Linkedin et Groupon ont réussi des entrées en bourse fracassantes. Le numérique est le secteur économique qui connaît la plus forte croissance et fait naître le plus de jeunes entreprises. Il rebat les cartes dans tous les secteurs et impacte la plupart des entreprises. Certaines entreprises ont surfé sur la vague numérique comme Apple, Amazon, Samsung ou Facebook. D’autres ont été affaiblies comme Universal Music ou Sony.

Et quelques unes ont été balayées et ont disparu, comme le distributeur de disques HMV, le producteur de films photo Kodak, ou le libraire Borders. Face au numérique, il n’y a pas de fatalité du succès ou du déclin. C’est un outsider de la musique, Steve Jobs, qui en lançant l’Ipod et ITunes, a montré que l’on pouvait faire payer pour la musique à condition d’offrir un système complet, simple et pertinent. Le téléchargement ne nuit pas aux ventes. La grande question que tout le monde se pose: «Le téléchargement nuit-il aux ventes de CD et DVD?» , a trouvé une réponse. Une étude réalisée par des chercheurs de l’Université Paris XI vient d’être rendue publique, aujourd’hui mardi 20 décembre.

Les conclusions montrent que le copiage n’a «globalement aucun effet» sur l’achat de CD et DVD. Il s’agit sans aucun doute d’une petite révolution. Les industriels font pression, depuis l’apparition du P2P (peer-to-peer) afin que celui-ci soit réglementé ou interdit, persuadés que le téléchargement par Internet est à l’origine du ralentissement des ventes de CD et DVD. Pour Fabrice Rochelandet, maître de conférence à Paris-XI et Fabrice Le Guel, ingénieur de recherche dans la même université, l’échange et le partage concernent toutes les catégories sociales. Il est alors légitime de se demander d’où vient le ralentissement des ventes de CD et DVD. Faut-il donc protéger davantage la diffusion des œuvres à caractère culturel?

Source : AgoraVox. Étude Hadopi : le streaming devance le téléchargement sur Internet. Légal ou pas, le streaming séduit bien plus en France que le téléchargement, avec un fort penchant pour l'offre gratuite. Voilà ce que révèle l'étude commandée par la Hadopi. Confiée à Opinionway, l'étude porte sur la consommation de biens et services culturels dématérialisés des Français.

Réalisée sur la période du 26 mars au 3 avril, l'enquête s''appuie sur le témoignage de 11 280 personnes âgées de 15 ans et plus. Le streaming a le vent en poupe 84% des internautes français utilisent le streaming pour, principalement, écouter de la musique (28%), regarder des films (20%) ou des séries (18%) ou encore pour les jeux vidéos (10%) et les livres (8%). 49% optent pour le téléchargement.

La musique en tête des œuvres consommées Largement devant les films et les séries, la musique est consommée gratuitement à 68%. Youtube, agrégateur de contenu Les séries passent, elles, par d'autres "canaux" nommés Dpstream.net (14%), M6Replay (13%) et Pluzz/France TV Replay (13%). Illégal - The Way of Music. Téléchargement : le vrai du faux.