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Et pourtant, elle tourne

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La coccinelle asiatique, une alliée envahissante. LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Vahé Ter Minassian En France, la première alerte remonte au 17 octobre. Ce jour-là, Mme Quiquenpois, du village de Boissy-le-Châtel, près de Coulommiers (Seine-et-Marne), contacte Pierre Coutanceau, correspondant local de l'observatoire permanent pour le suivi d'Harmonia axyridis : des coccinelles se sont agglutinées sur une de ses fenêtres. Sans l'intervention de son mari, ces deux cents à trois cents insectes allaient pénétrer dans la chambre à coucher ! Comment expliquer ce phénomène? Comme chaque année, à partir de mi-octobre ou mi-novembre, les appels de ce genre vont se multiplier chez les spécialistes d'Harmonia axyridis. Depuis que cette coccinelle originaire d'Asie s'est soudain acclimatée à l'Europe avant de l'envahir presque totalement, leur charge de travail s'est considérablement alourdie.

Plusieurs générations par an Qui aurait pu prévoir un tel scénario ? En 1982, l'Europe à son tour se lance dans une tentative. La banquise arctique pourrait disparaître d'ici quatre ans [l'été] La fonte des glaces de mer du pôle Nord s'accélère au point qu'elles pourraient avoir totalement disparu, en été, entre 2015 et 2016, selon Peter Wadhams, de l'université de Cambridge. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric La fonte de la banquise arctique s'accélère au point qu'elle pourrait avoir totalement disparu en été d'ici à quatre ans.

C'est la mise en garde de l'un des plus grands spécialistes du sujet, Peter Wadhams, dans le Guardian, lundi 17 septembre, alors que la superficie des glaces de mer de l'hémisphère Nord est sur le point d'atteindre son plus bas historique. Wadhams, qui dirige le département de physique de l'océan polaire à l'université de Cambridge, en Angleterre, a passé de nombreuses années à recueillir des données sur l'épaisseur de la glace grâce aux mesures de sous-marins parcourant l'océan Arctique.

"UNE CATASTROPHE MONDIALE" en 2015 OU 2016 Peter Wadhams appelle alors à "des mesures urgentes" pour limiter l'augmentation des températures. L'homme, ce gros tas de microbes... Array. Array. L'homme, ce gros tas de microbes... - LMOUS Plus de 10 000 espèces de microbes ont été détectées lors du dernier recensement... humain (dont certaines souches hautement pathogènes). Notre corps est composé de dix fois plus de microbes... que de cellules humaines ! Une grande étude publiée aujourd'hui dans Nature nous réconciliera-t-elle (enfin) avec nos bactéries, champignons et autres petites bestioles microscopiques peu ragouteuses, mais ô combien utiles... ? Dix fois plus nombreux que nos propres cellules, nos microbes représentent de 2 à 3 kilos de notre masse corporelle.

Bric-à-bractéries Un consortium international de 200 chercheurs (doté de 173 millions de dollars de budget) a taquiné le microbiome de 242 volontaires sains, âgés de 18 à 40. Elevage de bactéries en batteries Seconde découverte : contrairement à leurs attentes (c'était l'objectif principal du projet), les chercheurs ne sont pas parvenus à caractériser des populations microbiennes types. Dans le Pacifique, un continent de déchets plastiques… et un insecte. Par Quentin Mauguit, Futura-Sciences L'immense plaque de déchets flottant sur le Pacifique nord offre un environnement apparemment idéal pour un cousin de nos araignées d’ eau douce : Halobates sericeus . La pollution géante par les microsplastiques, dont la quantité a été multipliée par 100 depuis 40 ans, se transforme-t-elle en un bienfait pour la nature ? Probablement pas. Une explosion démographique de cet insecte marin pourrait mettre à mal tout un écosystème .

La rencontre de quatre grands courants océaniques dans la Pacifique nord alimente une gigantesque gyre (appelée North Pacific Subtropical Gyre ou NPSG), tournant dans le sens des aiguilles d’une montre. Les chiffres caractérisant la « grande plaque d'ordures du Pacifique » sont impressionnants. Contre toute attente, ce nouvel environnement, situé entre Hawaï et la Californie, est propice à la vie. Les œufs d' Halobates sericeus , de couleur jaune, ont approximativement la taille d'un grain de riz. Ce sujet vous a intéressé ?

Fukushima : les déchets vont errer dans le Pacifique durant 10 ans (dessin Mercenier) : Reservoirblog. Un bateau japonais balayé par le tsunami a dérivé au large du Canada. Un bateau de pêche japonais qui dérive à vide au large de la côte Pacifique du Canada pourrait bien être l'avant-garde des 1,5 million de tonnes de débris, dus au tsunami du 11 mars 2011 au Japon, qui se dirigent actuellement vers l'Amérique du Nord. Le 20 mars, les services du ministère canadien des Transports ont localisé un bateau de pêche japonais vide, à 150 milles nautiques au sud des îles de la Reine-Charlotte, proches de la côte de Colombie britannique. Les restes d'habitations de villes côtières japonais,- dont des réfrigérateurs, des machines à laver, des téléviseurs, des toits ou des filets de pêcheurs, progressent vers l'est à travers le Pacifique et pourraient atteindre les côtes nord-américaines plus tôt qu'on ne le pensait, selon la NOAA (Administration nationale océanique et atmosphérique) américaine. 70% des déchets ont sombré A.C. avec Reuters.

Doit-on ressusciter les espèces disparues. Avez-vous entendu parler de Rheobatrachus silus ? Si la réponse est non, il n’y a rien d’étonnant car cette espèce australienne de grenouille, connue en français sous le nom de grenouille plate à incubation gastrique, est considérée comme éteinte depuis 1983, date à laquelle le dernier spécimen conservé en captivité est mort. L’animal s’avère pourtant fascinant, pour deux raisons. La première tient à son mode d’incubation très particulier : une fois qu’elle avait pondu, la femelle avalait ses œufs et les tenait à l’abri dans son estomac où ils grandissaient durant environ un mois et demi. Pendant toute cette période, la grenouille ne mangeait pas et son estomac cessait de produire de l’acide chlorhydrique qui, autrement, aurait dissous les œufs.

La seconde raison, pour laquelle on reparle de Rheobatrachus silus aujourd’hui, s’appelle le projet Lazare (comme le Lazare que Jésus ressuscite dans le Nouveau Testament). Et effectivement, dans la liste des « bénéfices » dressée par MM. Des scientifiques font revivre une plante morte il y a 32 000 ans. Une équipe de chercheurs russes a réussi à faire revivre une plante morte il y a 32 000 ans à partir de ses graines prisonnières du sous-sol sibérien, rapporte le New York Times. La Silene Stenophylla, qui pousse encore dans la région, avait en effet vu ses graines et ses fruits enfermés et conservés dans la glace. Il s'agit de la plus vieille plante régénérée. Le précédent record étant détenu par un dattier dont la vie est repartie à partir de graines âgées de 2 000 ans retrouvées dans la forteresse de Masada en Israël.

Les scientifiques ont en fait utilisé des tissus de plusieurs des fruits conservés pour ensuite les cultiver dans un environnement biochimique. D'après les chercheurs, l'exceptionnelle conservation de ces tissus tient probablement au fait qu'un écureuil ait creusé une réserve de nourriture où les graines sont venues se loger. La plante nouvellement créée ressemble beaucoup à sa version moderne. Signaler ce contenu comme inapproprié.

CANARD – Expérience océanographique autour de jouets de bain en cavale. La grande course aux canards, à Londres : des centaines de milliers de ces jouets parcourent 2 km dans la Tamise jusqu'à une ligne d'arrivée. AFP PHOTO / Shaun Curry C'est une drôle d'épopée. Une quête qui, en lieu et place du Graal, poursuit des canards en plastique voguant au gré des océans. Donovan Hohn a quitté femme et emploi pour s'y lancer, à bord d'un catamaran, sur les flots de l'hémisphère Nord. Il raconte son épopée dans un livre intitulé Moby Duck, dont le Guardian a publié un long extrait. Tout commence le 10 janvier 1992 dans le Grand Nord, sous les îles Aléoutiennes, qui s'égrènent dans le prolongement de l'Alaska. Toujours est-il que l'anecdote arrive aux oreilles de deux océanographes, Curtis Ebbesmeyer et James Ingraham, de la NOAA (National Oceanographic and Atmospheric Administration).

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Cette boule métallique d'un diamètre de 35 centimètres a creusé un cratère de 3,8 mètres de large et 33 centimètres de profondeur. L'objet est toutefois resté quasiment intact en dépit de la violence du choc. La police scientifique a confirmé qu'elle était creuse et ne présentait aucun danger. Selon toute vraisemblance, cette pièce, construite dans un alliage métallique connu et constituée de deux demi-sphères soudées entre elles, est un fragment d'engin spatial. Les agences spatiales américaines et européenne ont donc été saisies par les autorités namibiennes pour tenter de découvrir la nature et l'origine du débris. 22.000 déchets spatiaux de plus de 10 centimètres recensés.