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NATURE

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Ils ont trouvé une grotte si vaste qu’elle contient une forêt et un fleuve! Terre – Grotte : En 2010, le National Geographic a filmé l’intérieur d’une grotte trouvée au Viêt Nam en 2009. Han Son Doong fait partie du parc national de Phong Nha-Kẻ Bàng, près de la frontière avec le Laos. Elle est actuellement considérée comme la plus vaste galerie souterraine au monde. On pourrait y édifier tout un quartier d’immeubles de quarante étages. C’est l’une des vingt nouvelles grottes découvertes au Viêt Nam ces dernières années.

Elle fait partie d’un réseau de quelque 150 grottes dans la cordillère annamitique. Une rivière souterraine l’a creusée voilà deux à cinq millions d’années. Magnifique, je vous propose quelques minutes d’images splendides …. Dans cette vidéo, au début, il y a une modélisation de la grotte… à voir! Cliquer sur l’icône ‘sous-titres’ en bas à droite, traduire les sous-titres, choisir français, ok. Terre – Grotte : En 2010, le National Geographic a filmé l’intérieur d’une grotte trouvée au Viêt Nam en 2009.

En vidéo : les plus belles images sous-marines primées à Marseille. D'abord contemplatif, le film d'Elisabeth Lauwerys nous entraîne dans le bleu de l'océan pour y admirer ses merveilles mais aussi ses mystères. Dans de superbes scènes, nous entrevoyons la stratégie de chasse des barracudas et les aventures de la tortue caouanne. © Elisabeth Lauwerys, Oceans Below Pour leur film Le Cœlacanthe, plongée vers nos origines, que nous avons présenté il y a quelques jours sur Futura-Sciences, Gil Kebaïli et Laurent Ballesta ont reçu le prix spécial du jury au 40e Festival mondial de l’image sous-marine à Marseille.

Il est vrai que le documentaire est remarquable à plus d’un titre : scientifique car les observations de cet animal dans son milieu sont rarissimes, sportif tant sont grandes les difficultés d’un tel tournage à plus de 100 m de profondeur dans le canal du Mozambique, et technique car, comme nous l'expliquait Laurent Ballesta, l'objectif était de réaliser des images « parfaites ». A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. L'extrême en vidéo : un lac cristallin engloutit un parc naturel. Cet arbre restera immergé durant au moins deux mois. Le lac Vert est un lac éphémère, il innonde la prairie autrichienne, de mai à juin. © Marc Henauer, www.nitrogenic.com L'extrême en vidéo : un lac cristallin engloutit un parc naturel - 2 Photos En Autriche existe un site dont le caractère change complètement suivant la saison. À partir de l’automne, on peut s’y promener et nombre de sentiers pédestres sont tracés.

Le cadre est superbe, le site est au pied de la chaîne alpine autrichienne, dont les sommets culminent à plus de 2.000 m d’altitude. Mais à la fin du printemps, il n’est plus possible de marcher. La région est noyée sous 12 m d’eau pure et cristalline. Le lac Vert engloutit chaque année ce site de randonnée. La vidéo décryptée : un lac éphémère dans un site géologique exceptionnel Des bancs, des arbres, des pontons, des sentiers... : ce paysage rappelle celui d’un parc naturel où l’on peut randonner.

Le lac Vert, entouré de forêts, se trouve au pied du massif du Hochschwable. En image : les sites irremplaçables de notre monde. Escudo de Veraguas est une petite île de 3,4 km2 située dans la mer des Caraïbes, et appartenant au Panama. Elle abrite deux espèces endémiques, le paresseux nain et l'artibée solitaire (une chauve-souris), et bon nombre d'autres espèces. © contraquien, Flickr, cc by nc sa 2.0 En image : les sites irremplaçables de notre monde - 4 Photos Dans le monde, certaines régions sont irremplaçables. Sans elles, un grand nombre de mammifères, des oiseaux et des amphibiens seraient voués à disparaître.

Pour la première fois, une équipe de recherche internationale fournit la liste des régions les plus importantes pour la protection de ces espèces. Publiée dans la revue Science, l’étude identifie 78 régions jugées irremplaçables. À partir des données de plus de 173.000 aires protégées dans le monde et de la Liste rouge de l’UICN – qui répertorie plus de 21.500 espèces considérées comme en danger –, les chercheurs ont calculé le caractère irremplaçable de chaque aire protégée. Sur le même sujet. L’Odyssée sauvage est arrivée à bon port, sur le lac Baïkal. L'Odyssée sauvage durant la dernière journée : le traîneau glisse sur la glace cristalline du lac Baïkal. Les chiens doivent trouver leur équilibre... © Taïga L’Odyssée sauvage est arrivée à bon port, sur le lac Baïkal - 2 Photos Samedi 15 mars 2014, Nicolas Vanier, glissant sur son traîneau sur la glace du lac Baïkal, atteignait l’île d’Olkhon où l’attendaient son équipe, son fils de dix ans et une petite foule.

Commencée le 21 décembre 2013, l’Odyssée sauvage, nom de cette équipée hors norme au milieu de l’hiver sibérien, prenait donc fin dans des conditions plus faciles qu’elles ne furent souvent, mais toujours avec les pièges. Au moment de l’arrivée au bord du lac immense (c’est le plus grand réservoir d’eau douce liquide en surface de la planète), la région a été balayée par une violente tempête devant laquelle l’explorateur a d’abord pensé faire demi-tour, « mais les chiens se sont battus pour effectuer cette étape de 80 km ». « Les chiens ont été héroïques. » © Taïga. Des diamants dans l’Antarctique ? Des indices le suggèrent… L’Antarctique est le continent le plus sec, le plus froid et le plus venteux de la planète. Il est à 98 % recouvert de glace (épaisseur moyenne de 1,6 km).

Bref, ces conditions ont de quoi refréner les ardeurs des personnes désireuses d’aller y chercher des diamants. © Rita Willaert, Flickr, cc by nc 2.0 Des diamants dans l’Antarctique ? Des indices le suggèrent… - 2 Photos Les diamants se forment dans le manteau terrestre, à plus de 150 km de profondeur. Jusqu’au 17 décembre 2013, des dépôts de ces roches ignées avaient été trouvés sur tous les continents, hormis en Antarctique. Les dépôts se situent autour du mont Meredith, dans la partie nord des montagnes Prince Charles. Les kimberlites doivent leur nom à la ville sud-africaine de Kimberley. La question doit être posée : une ruée vers le diamant est-elle à craindre ? Deuxièmement, un traité international interdit actuellement toute exploitation minière en Antarctique.

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