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ÉCRITS SACRES

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Visuddhimagga (La voie de la pureté) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Visuddhimagga (La Voie de la pureté) est le plus reconnu des commentaires theravadin du canon bouddhique pâli. Il fut rédigé par Buddhaghosa en 430 apr. J. -C., en magâdhi. Introduction[modifier | modifier le code] Dans son discours, le Rathavinitasutta, Gautama Bouddha expose la parabole des Sept relais.

Cet enseignement de sept puretés fut d'abord repris par le commentateur Upatissa. Contenu du livre[modifier | modifier le code] Le livre comporte quatre parties, traitant respectivement des sujets suivants : la discipline, l'éthique (sila),la concentration méditative (samadhi),le terrain de la sagacité ou de la sagesse,la sagacité ou sagesse (prajña). Discipline[modifier | modifier le code] La discipline, l'éthique, est la première partie de l'entraînement bouddhique, qui permet de cultiver la première pureté.

Concentration[modifier | modifier le code] Terrain de la sagacité[modifier | modifier le code] Sagacité[modifier | modifier le code] Dzogchen : techniques d'éveil spirituel du bouddhisme tibétain. Tantra de kalachakra : support de l’enseignement kalachakra. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le tantra de kalachakra (sanskrit: कालचक्र; IAST: Kālacakra; telugu : కాలచక్ర tibétain: དུས་ཀྱི་འཁོར་ལོ།; Wylie: dus-kyi 'khor-lo) est avec son commentaire vimalaprabha (sk. « lumière immaculée », tib. dri-med ‘od) le principal support de l’enseignement kalachakra du bouddhisme tibétain. Kalachakra signifie cycle temporel, ou la roue du temps. C’est un texte particulièrement important dans la tradition gelugpa, connu aussi chez les sakyapa et les kagyupa ; le kalachakra était l’enseignement tantrique principal de l'école jonang.

Il appartient à la classe la plus élevée des anuttarayoga tantra. Ce texte introduit au Tibet au XIe siècle se détache des autres tantras de sa classe par un langage assez clair et le recours fréquent à des termes ou notions hindous (puranas, sankhya) ou jaïns[2]. Le tantra a exercé une grande influence sur la cosmologie et le calendrier tibétain[6]. La déité du kalachakra représente un bouddha et son omniscience. Sūtra Avatamsaka : décrit la Réalité Ultime, le Dharmadhatu.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Le Sūtra Avatamsaka, Soutra de l'ornementation fleurie ou Soutra de la guirlande (de fleurs), (ch. Huáyánjīng 《華嚴經》 ; jap. Kegonkei 華厳経) occupe une place très importante dans le bouddhisme mahāyāna chinois, japonais et tibétain.

Versions[modifier | modifier le code] Exceptionnellement long, il serait issu du regroupement au IIIe siècle en Asie Centrale de différents textes, dont seuls quelques fragments en sanscrit subsistent de nos jours, l'intégralité étant disponible en chinois. Version dite "en 60 rouleaux" (《六十華嚴》), traduite aux alentours de 420, Jin Orientaux, sous la direction de Bouddhabhadra (佛陀跋陀羅 359- 429). Deux parties du Sūtra Avatamsaka existent également sous forme de soutras individuels : Influence sur la pensée[modifier | modifier le code] Sutra : écrits spéculatifs ou philosophiques rédigés sous forme d'aphorismes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Un sūtra[1] (prononciation soutra— sanskrit सूत्र / sūtra signifiant « fil ») est ce qu'on nomme en Occident un « classique », un « canon » voire, simplement, un « livre ».

Le terme s'applique à des écrits spéculatifs ou philosophiques rédigés sous forme d'aphorismes. Soit l'appellation est métaphorique (ce sont les « fils de la pensée », la « trame des idées »), soit elle est métonymique (on entend : « les fils qui servent à coudre les pages ensemble »). Par métonymie, on nomme aussi sūtra les livres contenant de tels écrits. Enfin, par extension, le terme en vient à désigner toutes sortes de traités, grammaires, analyses. Le sūtra comme texte[modifier | modifier le code] Dans l'hindouisme, les sūtras font partie de la smṛti.

Voir aussi[modifier | modifier le code] Bardo Thödol : les états de conscience après la mort. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les thödols[modifier | modifier le code] Page d’un livre des morts bönpo Le nom de l’ouvrage, composé de bardo (état intermédiaire), de thö (entendre) et de dol (libérer), signifie libération par l’audition pendant les stades intermédiaires [entre la mort et la renaissance]. Entendre le texte récité, ou le connaître par cœur, peut aider le défunt à se libérer du samsara au moment de la mort.

Le nom de thödol s’applique à différents textes dont la récitation aux morts a le pouvoir de libérer des renaissances. Il existe par exemple un livre des morts associé au Bonpo : La lampe qui illumine la libération par l’écoute pendant les bardos (wylie : sNyan brgyud bar do thos grol gsal sgron chen mo), qui ressemble au livre des morts tibétain et pourrait l'avoir précédé de deux siècles[1]. En 2005, une traduction plus complète est publiée en anglais[2],[3], laquelle est traduite en français en 2009[4],[5]. Origine[modifier | modifier le code] Abhidhamma : la classification des phénomènes et de la métaphysi. Abhidhamma : cosmologie, analyse psychologique, classification des phénomènes et de la métaphysique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Abhidhamma Pitaka (pâli, sanskrit : Abhidharma) — littéralement « La corbeille des commentaires », « La doctrine spéciale » ou encore « au-dessus de l'enseignement » — est la section du canon pâli, le Tipitaka, consacrée aux exposés psychologiques et philosophiques de l’enseignement du Bouddha.

Plus précisément, l'Abhidhamma traite de la cosmologie, de l'analyse psychologique, de la classification des phénomènes et de la métaphysique. L'approche historique fait penser qu'il a été rédigé après les deux premières corbeilles, contrairement à la vue traditionnelle qui date sa rédaction du premier concile. Composition[modifier | modifier le code] Abhidhamma du Theravada[modifier | modifier le code] L'abhidhamma theravadin se compose de sept traités : Abhidhamma Sarvastivadin[modifier | modifier le code] L'abhidhamma Pitaka de l'école Sarvastivada se compose également de sept traités. Voir aussi[modifier | modifier le code] Portail du bouddhisme. Maha-satipatthana sutta. Le Grand Discours sur l’instauration de l’attention de quatre manières Evam me suttam.

Un jour le Bienheureux était parmi les Kurus[1], à Kammasadhamma, une ville marchande des Kurus. Là, l’Eveillé s’adressa aux bhikkhus ainsi : « Bhikkhus ! », et ils répondirent « Seigneur ! ». Ceci est le seul et unique moyen, bhikkhus, pour la purification des êtres, pour vaincre la peine et les lamentations, pour mettre fin à la souffrance et à la douleur, pour marcher sur le sentier de la vérité, pour la réalisation du Nibbana : c'est-à-dire l’instauration de l’attention de quatre manières. Et quelles sont ces quatre manières ? A. Modifier Et comment un bhikkhu demeure-t-il en observant le corps dans le corps? Ici, un bhikkhu, étant allé dans une forêt, ou au pied d’un arbre, ou dans une pièce vide, s’assoit jambes croisées, maintient son corps droit et fixe son attention sur le devant (la zone autour de la bouche).

B. Modifier C. D. E. F. A. B. C. Le Tipitaka en Français. Le Tipitaka est divisé en trois parties : Vinaya Pitaka Modifier Le Vinaya Pitaka traite des règles de discipline monastique définies par le Buddha. Il comprend cinq livres : Le Parajika explique les règles les plus importantes Le Pacittiya explique les autres règles de la vie monastique Le Mahavagga raconte les premiers pas de la sangha, et donne d'autres précisions sur l'organisation de la communauté Le Culavagga contient diverses autres information, notamment comment les femmes ont été acceptées dans la sangha Le Parivara est une sorte de manuel expliquant les quatre premiers livres Suttanta Pitaka Le Suttanta Pitaka regroupe les discours (suttas) faits par le Buddha en diverses occasions (82 000 en tout).

Le Suttanta Pitaka est divisé en cinq sections, appelées nikayas : Digha Nikaya Modifier Le Digha Nikaya comporte 34 longs discours faits par le Buddha. Majjhima Nikaya Le Majjhima Nikaya comporte 152 discours de taille moyenne. Samyutta Nikaya Anguttara Nikaya Khuddaka Nikaya. Tipitaka : textes fondateurs sur lesquels s'appuie le courant bouddhiste theravâda2. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Edition standard du Tipitaka thaïlandais Le Tipitaka (en pali Tipiṭaka, en sanskrit tripiṭaka : tri = trois, piṭaka = corbeille) ou Trois corbeilles est le canon bouddhique pāli[1].

Il s'agit d'un très vaste recueil de textes fondateurs sur lesquels s'appuie le courant bouddhiste theravâda[2]. Son nom viendrait du fait que les textes anciens, rédigés sur des feuilles de palme, auraient été rangés dans des paniers. Il aurait été mis par écrit pour la première fois au Sri Lanka au Ier siècle av. Usages dérivés du terme[modifier | modifier le code] Le terme Tripitaka peut aussi désigner de façon plus large tout canon bouddhique : Tripitaka chinois, Tripitaka japonais, Tripitaka Koreana etc..

Sa traduction chinoise Sanzang (三藏) était en Chine un titre honorifique accordé aux moines érudits censés maîtriser l’ensemble du canon. Composition - Les Trois Corbeilles[modifier | modifier le code] Le Vinaya Pitaka[modifier | modifier le code] Mahayana sutras : doctrine du Bodhisattva et d'autre part du concept de vacuité. Mahāyāna sūtras are a broad genre of Buddhist scriptures that various traditions of Mahāyāna Buddhism accept as canonical. They are largely preserved in the Chinese Buddhist canon, the Tibetan Buddhist canon, and in extant Sanskrit manuscripts. Around one hundred Mahāyāna sūtras survive in Sanskrit, or in Chinese and Tibetan translations.[1] History and background[edit] Origins and early history[edit] The origins of Mahāyāna are not completely understood.[2] The earliest views of Mahāyāna Buddhism in the West assumed that it existed as a separate school in competition with the so-called "Hīnayāna" schools.

Both adopt one and the same Vinaya, and they have in common the prohibitions of the five offences, and also the practice of the Four Noble Truths. Scholarly views on historicity[edit] These texts are considered by Mahāyāna tradition to be buddhavacana, and therefore the legitimate word of the historical Buddha. John W. Still others such as D.T. Beliefs of Mahāyāna Buddhists[edit] Sutta Pitaka : enseignements du Bouddha transmis oralement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Sutta Pitaka ou Suttanta Pitaka (pali), Sūtra Piṭaka ou Sutra Pitaka (sanskrit) सूत्र पिटक, « La corbeille des enseignements », est la deuxième des trois divisions du canon pali Tipitaka sur lequel se base le courant theravada.

Elle contient de nombreux suttas (enseignements) répartis en cinq sections (nikaya), dont quatre sont intégrées sous le nom d’agamas dans le canon mahayana. Ces suttas seraient les enseignements du Bouddha transmis oralement, puis couchés par écrit probablement au Ier siècle av. J. Datation[modifier | modifier le code] La tradition rapportée dans le canon lui-même fait remonter la compilation du Tipitaka à un concile peu après la mort du Bouddha, durant lequel le Sutta Pitaka aurait été récité par Ananda, son assistant. Composition[modifier | modifier le code] La collection renferme plus de dix mille suttas, dont 8777 très courts contenus dans l’Anguttara Nikaya. Les cinq sections du Sutta Pitaka : Vinaya : pratiques de la communauté monastique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le vinaya s’est tout d’abord transmis durant quelques siècles par voie orale, se diversifiant selon les lieux et les écoles, bien qu’on considère en général les différences comme mineures. Sa partie principale est constituée de l’ensemble des nombreuses règles qui régissent la vie monastique, appelé patimokkha en pali et pratimoksha en sanscrit. On trouve également dans le vinaya des règles additionnelles, les sanctions en cas d’infraction, les modalités de résolution des conflits, des textes expliquant l’origine des articles du patimokkha, des précisions sur leur application. S’y ajoutent quelques sutras et des biographies de grands disciples. Vinayas actuels[modifier | modifier le code] Trois vinayas sont encore en usage de nos jours : Les monastères appartiennent en général à un courant déterminé et préfèrent recevoir des personnes ayant reçu l’ordination de leur lignée. Naissance du vinaya selon la tradition[modifier | modifier le code]

Textes sacrés du bouddhisme. Introduction Les textes sacrés bouddhistes Theravada ont été écrits à partir de 35 av. J-C. Ils sont composés de 3 recueils appelés "Tripitaka" dont la traduction est "Triple Corbeille":Vinaya, Sutra, Abhidarma. Les textes Mahayana ont ensuite pris une grande importance, en particulier certains sutra comme le Sutra du Lotus. Un texte plus tardif, concernant le bouddhisme tibétain, doit être absolument mentionné: le "Bardo Thödol", plus connu en occident sous le nom de "Livre des Morts tibétain". Vinaya Vinapitaka (en pâli) ou Vinaya (sanskrit), dont la traduction est "corbeille de la discipline".

Abhidarma Abhidammapitaka ou Abhidarma (sanskrit), dont la traduction est "Doctrine particulière", est un ensemble d'enseignements et d'analyses des sermons du bouddha, élaboré entre 300 av. Suttapitaka ou Sutra Hinayana Chaque sutra commence par: "Ainsi ai-je entendu", puis décrit le lieu, la saison et les circonstances du sermon. Sutra du Mahayana Les sutra les plus connus sont: Bibliographie. Textes du bouddhisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les différents courants du bouddhisme s'appuient sur de nombreux textes compilés après la mort du Bouddha, celui-ci n'ayant rien écrit.

La transmission des paroles du Bouddha s'est faite oralement pendant trois à quatre siècles environ, avant que les suttas du canon pāli ne commencent à être écrits. La base du canon bouddhique est constituée de textes en pāli, sanscrit, chinois et tibétain ; le bouddhisme au Japon s’appuie aussi de façon importante sur des textes composés en japonais. Les premiers textes bouddhiques furent tout d’abord rédigés en prakrits, langues indo-aryennes vernaculaires proches du sanscrit, dont fait partie le pāli, langue du canon theravada. Les textes du canon mahayana furent rédigés dans une variété de prakrits, puis ultérieurement traduits en une forme hybride de sanscrit[1]. Ces textes se sont longtemps transmis à travers des copies successives. Des origines à l'ekayana[modifier | modifier le code]