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ACCAPAREMENT

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Diaporama : Qui est derrière l’accaparement des terres ? Un diaporama sur quelques-uns des investisseurs responsables d’acquisitions massives de terres et ceux qui les soutiennent Chaque jour apporte son lot d’histoires concernant les achats de terres agricoles par des sociétés : Des géants malaisiens de l’huile de palme achètent des terres pour y installer des plantations en Afrique de l’Ouest ; des banquiers de Wall Street acquièrent des élevages de bétail au Brésil ; des hommes d’affaires saoudiens signent des transactions foncières aux Philippines. Les dernières données sur l’accaparement des terres indiquent qu’en moyenne les sociétés étrangères s’emparent de 10 millions d’hectares chaque année depuis 2007. Un nombre restreint de personnes prend ainsi possession d’une proportion toujours plus grande des terres agricoles du monde et des ressources en eau qui vont avec.

Et le reste de l’humanité se retrouve lésé, voire totalement dépossédé. L’accaparement mondial des terres agricoles n’existe que parce qu’il est voulu. Les amis de Gandur : Accaparement des terres. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’accaparement des terres (land grabbing selon le néologisme introduit en anglais), désigne l'acquisition controversée de grandes étendues de terre agricole auprès des pays en développement, par des entreprises transnationales et gouvernementales. Le terme fait référence principalement aux investissements à grande échelle (et principalement étrangers) à la suite de la hausse des prix alimentaires mondiaux et des inquiétudes sur la sécurité alimentaire. Des ressources en eau sont généralement cruciales, et par conséquent on observe une tendance associée à l'accaparement de l'eau (en).

D'abord salué par les investisseurs[1] et quelques pays en développement comme un nouveau chemin vers le développement agricole, ces investissements ont été critiqués par certains gouvernements et organisations de la société civile à cause des effets négatifs sur les communautés locales. Échelle des investissements[modifier | modifier le code] Au Canada, la fin de la résignation pour les peuples autochtones, par Philippe Pataud Célérier (Le Monde diplomatique, mai 2014) « Nourrissez ceux qui ont faim !

Mangez les riches ! » Pancarte au poing, une quinzaine de personnes défilent devant l’entrée du Pidgin, un restaurant flambant neuf de Downtown Eastside, « le code postal (1) le plus pauvre du Canada », dit-on ici. Ce vieux quartier central de Vancouver est traversé par deux grandes artères, les rues Main et Hastings : « Pain and Wastings » (« Souffrance et désolation »), ironisent ses habitants, dont beaucoup d’autochtones. Habituellement, près d’un millier de sans-abri, l’œil hagard et le pas mécanique derrière les roues de leur chariot, déambulent dans cette dizaine de blocs enchâssés entre les quartiers touristiques de Gastown et de Chinatown.

. « Idle no more ! Le mouvement Idle No More a été lancé fin 2012 par quatre femmes de la Saskatchewan, une province des Prairies (Centre-Ouest). Dès 1990, la crise d’Oka a montré les limites de cette garantie juridique. Disparitions le long de l’autoroute des larmes Il s’agissait de tuer l’Indien dans l’enfant. Accaparement des Terres (agriculture, Mali, Philippines, Burkina Fasso, Benin, Bresil, Cambodge)

Accaparement des terres : demain, à qui appartiendra la planète. Basta ! : Quelle est l’ampleur du phénomène d’accaparement des terres dans le monde ? Michel Merlet [1] : La Banque mondiale fait état de 56,6 millions d’hectares concernés en 2011 (presque la superficie de la France, ndlr), sur la base de données très partielles. L’observatoire Land Matrix [2], qui répertoriait 80 millions d’hectares en 2012, n’annonce plus aujourd’hui que 35,8 millions. Ces chiffres ne prennent pas en compte tous les phénomènes. Mathieu Perdriault [3] : L’ampleur exacte de ces phénomènes est sans doute impossible à établir.

M. Le terme « accaparement » est contesté par les entreprises concernées… M. Dans nos travaux avec le comité technique « Foncier et Développement » de la Coopération française, nous parlons d’« appropriation » et de « concentration des terres » : ces termes désignent mieux les phénomènes qui posent problème. Les entreprises, elles, parlent « d’investissements »... M. M. M. M. D’où vient cette notion de droit de propriété absolu ? M. M. M. L’agriculture industrielle, un dramatique extractivisme. L’appropriation privative des « communs », que sont la terre et l’eau, par l’agriculture productiviste est due à la recherche effrénée de profits et non pas à la volonté de nourrir la planète, sinon elle aurait depuis longtemps réussi : la faim et la malnutrition auraient disparu.

Cette dépossession colossale est sans commune mesure avec la prédation de nos ancêtres cueilleurs-chasseurs par unité humaine. De plus elle ne prend pas plus en compte les besoins des générations futures, bien au contraire. Les effets néfastes des pesticides, qui sont des perturbateurs endocriniens, sont transmis par nos chromosomes à nos descendants. Enfin, nous sommes de plus en plus nombreux à devoir partager les ressources de la terre, mais cette agriculture extractivo-productiviste n’est évidemment pas pérenne. Son besoin en énergies fossiles est énorme. 1. À ce jour, 187 pays en sont membres (les mêmes qu’à la Banque mondiale). Cliquez pour plus. Les pertes liées au libre-échange 4 moyens d’analyse. #SOSForêt : 30 jours pour sauver la forêt française !

« Les inondations sont bénéfiques pour la biodiversité et contre la sécheresse » Les inondations récurrentes ne sont pas le seul fait de la nature. L’homme a oublié comment fonctionne un fleuve, qui a besoin de zones inondables pour se réguler. En construisant sur ces zones et en voulant contenir les cours d’eau, l’homme augmente les risques et va au-devant de dégâts énormes. Explications du chercheur Karl Matthias Wantzen. « Le fleuve est composé de deux parties : celle où l’eau coule et celle où l’eau déborde. La zone d’inondation est très importante. » Karl Matthias Wantzen est professeur d’écologie à l’université François Rabelais de Tours.

Reporterre - Pourquoi les crues deviennent-elles si dévastatrices ? Karl Matthias Wantzen - L’homme a toujours cherché à s’implanter sur les bords de rivières. Beaucoup pensent que ce n’est qu’un cours d’eau, mais il est composé de deux parties : celle où l’eau coule et celle où l’eau déborde. Sur ces zones ont été construites des villes, des manufactures.

A quoi les zones inondables servent-elles ? Photo : Fin des ressources naturelles. Le grand calendrier de l’épuisement des ressources naturelles, avec un zoom matière par matière. D’ici la fin du XXIe siècle, on peut attendre la fin du pétrole, platine, gaz, hafnium, or, sable… Rédigé par Jean-Marie, le 12 jan 2011, à 16 h 16 min Avec l’explosion démographique et l’émergence de nouveaux géants économiques, l’impact de l’humanité sur l’environnement augmente régulièrement. À tel point qu’on entrevoit l’épuisement de certaines ressources naturelles, renouvelables et non renouvelables. Lesquelles ? Quand ? Petite visite des ressources de notre bonne vieille planète. Des ressources naturelles en voie de disparition annoncée Quelles ressources sont menacées par la pression humaine ? 7 milliards d’habitants consomment la planète La démographie est implacable : plus nous sommes, plus la pression que nous mettons sur nos ressources naturelles augmente.

Une démographie dynamique L’empreinte écologique de l’humanité explose Lire la suite : L’épuisement des ressources du sol.