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Numérique et travail

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Dépenser pour travailler, le lot commun des profs. Temps de lecture: 9 min Savez-vous vous servir d'une plastifieuse?

Dépenser pour travailler, le lot commun des profs

En avez-vous une chez vous? Si c'est le cas, il y a de grandes chances que vous soyez professeur·e des écoles. J'ai dû chercher un peu pour savoir à quoi ressemblait la machine. Jusqu’où peut aller la liberté d’expression des salariés sur les réseaux sociaux ? Cet article est tiré de l’article de recherche : Pereira, B (2017), « Entreprise, loyauté et liberté d’expression des salariés sur les réseaux sociaux numériques », Gérer et Comprendre, no. 130, décembre, pp.67-75.

Jusqu’où peut aller la liberté d’expression des salariés sur les réseaux sociaux ?

La liberté d’expression est intimement liée à l’État de droit et fait l’objet d’une consécration internationale et nationale (Déclaration universelle des droits de l’homme, ONU, 1948 ; Convention européenne des droits de l’homme, 1950 ; Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 1789). Elle s’exerce sous toutes ses formes, et en conséquence à travers les réseaux sociaux numériques. On comprend dès lors que les salariés jouissent de cette liberté au sein et en dehors de l’entreprise. Licenciement Facebook : insulter son employeur dans un groupe fermé n’est pas une faute grave. Par Frédéric Chhum, Avocat. C. cass. 12 /09/2018, n°16-11690 Dans un arrêt du 12 septembre 2018 (n°16-11690), la Cour de cassation a confirmé le caractère sans cause réelle et sérieuse du licenciement pour faute grave notifié à une salariée qui a dénigré son employeur sur son compte Facebook.

Licenciement Facebook : insulter son employeur dans un groupe fermé n’est pas une faute grave. Par Frédéric Chhum, Avocat.

La Cour de cassation a considéré que les propos litigieux n’étaient pas fautifs car ils avaient été diffusés à un cercle restreint de 14 personnes et que ces propos avaient en réalité un caractère privé. I. Les faits. Quel est l’impact du RGPD sur les activités d’enseignement et de recherche ? Applicable depuis quelques mois, le texte européen est devenu incontournable notamment pour les entreprises mais aussi pour les universités et écoles, grandes productrices et consommatrices de données que ce soit au titre des enseignements, des activités pédagogiques mais aussi en termes de recherche.

Quel est l’impact du RGPD sur les activités d’enseignement et de recherche ?

Tous ces établissements ont ainsi nommé un Délégué à la protection des données à caractère personnel qui a pour mission d’identifier tous les traitements de données à caractère personnel et de les documenter à travers la tenue d’un registre. Comment l’école doit-elle traiter les connexions de son personnel hors ses murs ? Quelles sont les conséquences du texte pour les enseignants et les chercheurs ? Quelle responsabilité en cas de connexion aux ressources de l’entreprise via une interface de navigation personnelle ? L'Union européenne et l'épineux problème de la dépendance aux logiciels Microsoft. La Commission européenne reconnaît la dépendance de la communauté aux logiciels Microsoft (Office, Windows, Outlook).

L'Union européenne et l'épineux problème de la dépendance aux logiciels Microsoft

Elle envisage des alternatives libres, moins coûteuses, mais reste pour l'instant liée à la firme de Redmond, comme le révèle l'enquête des journalistes d'Investigate Europe. La Commission européenne le sait : ses services informatiques, comme ceux des administrations nationales de la communauté, du Portugal à la Finlande, sont entièrement dépendants aux licences Microsoft (Office, Office 365 pour le cloud, Windows, Outlook…). Elle l’admet publiquement et promet des changements… mais maintient pour l’instant le statu quo. Ainsi, en 2013, elle a condamné Microsoft à une amende de 561 millions d’euros pour ne pas avoir proposé d’alternative par défaut au navigateur Internet Explorer sur Windows, malgré la promesse formulée par l’entreprise en 2009 pour échapper à une condamnation pour abus de position dominante.

Bruno Devauchelle : La captologie et le miracle de l'attention. Captologie (science pour capter l'attention), nomophobie (addiction au téléphone portable - no mobile phobia), affordance (capacité d'un objet à suggérer son usage) ... trois mots créés récemment (1996, 2008, 1977), dont souvent nous ignorions jusqu'à l'existence, et sont pourtant le reflet d'un questionnement de plus en plus important sur le vivre ensemble et plus généralement pour l'éducation.

Bruno Devauchelle : La captologie et le miracle de l'attention

Plus simplement, une attention soutenue et durable est-elle largement partagée dans la population ? Peut-on éduquer l'attention ? Les jeunes Français ont le blues sur leurs compétences technologiques. E.learning, temps et GRH. Article en lien Plus (+) de numérique, plus (+) de e.learning est un mot d’ordre d’actualité, j’y souscris volontiers mais … je voudrais répondre en écho. « D’accord mais donnez nous plus (+) du temps !

E.learning, temps et GRH

». Le temps, un concept suffisamment généraliste pour qu’il devienne un mot valise et qu’il se vide par là même de sa substance. Je me propose donc en préalable de préciser les contours de ma pensée. Il ne s’agit pas d’un plus de temps consacré à la réflexion : « Il faut que nous attendions pour analyser la question, pour être sûr, dès fois que … » Le numérique est dans notre écosystème technologique, c’est un fait !