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Temoignage histoire

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Corée du Nord. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. République populaire démocratique de Corée 조선민주주의인민공화국 (ko) Chosŏn Minjujuŭi Inmin Konghwaguk (ko) La Corée du Nord — en coréen Puk Chosŏn, 북조선 (hangul), 北朝鮮 (hanja) — officiellement la République populaire démocratique de Corée (RPDC) (en coréen Chosŏn Minjujuŭi Inmin Konghwaguk, 조선민주주의인민공화국 (hangul), 朝鮮民主主義人民共和國 (hanja)), est un État qui couvre la partie nord de la péninsule coréenne située en Asie orientale. La capitale du pays est Pyongyang. Elle est limitrophe de la Chine (1 416 km de frontières communes) au nord et de la Russie au nord-est (19 km de frontières), ainsi que de la République de Corée au sud (238 km de frontières).

Cette dernière frontière méridionale est bordée de part et d'autre sur 2 km de largeur par la zone démilitarisée (DMZ), qui est en réalité très fortement militarisée, car surveillée au total par plus d'un million de soldats[1]. Nom[modifier | modifier le code] Géographie[modifier | modifier le code] Les deux villes. Dis au tueur qu'il sera tué, Waleed Yahyia Saadoun tous les livres à la Fnac. Un témoignage explosif et inédit de la vie quotidienne à Bagdad où règnent le chaos et la barbarie depuis la chute de Saddam. Une chronique qui met enfin un visage sur les bourreaux et leurs victimes. Irak, 2003. La chute du régime de Saddam Hussein et l’invasion américaine sonnent le début d’une anarchie sanglante en Irak. Partout, on pille, on viole, on égorge, on éventre, on massacre vieillards, femmes et enfants, de boucheries innommables en terribles représailles, à un rythme infernal.

Nous pénétrons, hallucinés, au cœur de ce chaos meurtrier en suivant jour après jour deux tueurs particulièrement sadiques. "L’homme qui se cache sous le pseudonyme de Waleed Yahyia Saadoun a 39 ans et vit à Bagdad. Génocide au Rwanda. L'ONU estime qu'environ 800 000 Rwandais[2], en majorité tutsi, ont perdu la vie durant ces trois mois. Ceux qui parmi les Hutus se sont montrés solidaires des Tutsi ont été tués comme traîtres à la cause hutu. D'une durée de cent jours, ce fut le génocide le plus rapide de l'histoire et celui de plus grande ampleur quant au nombre de morts par jour. Il convient de souligner qu'un génocide n'est pas qualifié comme tel en raison du nombre de morts, mais sur une analyse juridique de critères définis à l'époque par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide du 9 décembre 1948 de l'ONU.

Cette convention définit qu'un génocide est « commis dans l'intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel ». Racines du génocide[modifier | modifier le code] L'attentat du 6 avril 1994 est souvent qualifié de « déclencheur du génocide ». Période pré-génocidaire[modifier | modifier le code] Mandat Mitterand (1981-1995) Révérien Rurangwa. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Révérien Rurangwa-Muzigura (né le 3 juin 1978) [1] est un écrivain rwandais francophone, et suisse[2]. En avril 1994, lors du génocide rwandais, par Les Hutu"Bantou", il fut grièvement blessé, mais fut en fin de compte le seul rescapé d'une famille de 44 personnes. Biographie[modifier | modifier le code] En avril 1994, durant le génocide rwandais, par Les Hutu "Bantou", il fut grièvement blessé, mais fut en fin de compte le seul rescapé d'une famille de 44 personnes.

En 1996, de retour au Rwanda pour tenter de retrouver d’éventuels survivants de sa famille, il apprend que ses agresseurs, qu’il avait dénoncés auprès de la justice, sont toujours en liberté. Il a publié, en avril 2006, le livre , Génocidé. L'ouvrage a été traduit en suédois et japonais. En 2011, Révérien a obtenu la nationalité suisse[3]. Bibliographie[modifier | modifier le code] 2006, Génocidé. Liens externes[modifier | modifier le code] Articles[modifier | modifier le code] Génocidé: Amazon.fr: Révérien Rurangwa. Dans le nu de la vie par Jean Hatzfeld. Récits des marais rwandais Récits écrits à la suite à ses reportages au Rwanda, et plus particulièrement sur les collines de Nyamata, où Jean Hatzfeld a recueilli les témoignages des rescapés du génocide de 1994.

Avant le génocide, la commune de Nyamata, s'étendant sur 14 collines, avait 120 000 habitants. Dix ans plus tard, ils ne sont plus que 50 000. Cinq Tutsis sur six ont été massacrés. « Au printemps 1994, lorsque débutent les massacres des Tutsis par les Hutus au Rwanda, Jean Hatzfeld est à Sarajevo. Libération lui demande d'aller aux États-Unis couvrir la Coupe du monde de football. . « Ces Tutsis racontent comment ils ont survécu en s'immergeant pendant des semaines dans les marais, en se roulant dans la boue, en se camouflant sous les grands papyrus, et ils le font avec un tel art de la litote et de la métaphore que cela en est presque beau.

Pour donner plus de corps à ses amis Tutsis, Jean Hatzfeld en a fait le portrait, un par un. Sur la Toile À propos de ce livre Dans BiblioMonde. Jean Hatzfeld (journaliste) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Hatzfeld est un journaliste et écrivain français né en 1949 à Madagascar. Reporter au Rwanda à l'époque du génocide, saisi par l'échec collectif des journalistes face à l'évènement et leur incapacité à affronter l'effacement des rescapés, il suspend son activité dans sa rédaction quatre années plus tard pour séjourner près des marais et travailler avec des rescapés tutsis originaires de Nyamata, un village de la région du Bugesera.

Il tente de créer un univers du génocide par une autre littérature où emmener le lecteur. Le premier livre issu de ces récits, Dans le nu de la vie, obtient le prix France Culture en 2001. Il poursuit son travail avec un groupe de Hutus ayant participé au génocide sur les mêmes collines, dans le pénitencier de Rilima. De ces entretiens naîtra en 2003 Une Saison de machettes, qui recevra le prix Femina essai la même année.

La stratégie des antilopes, Jean Hatzfeld. La stratégie des antilopes, Jean Hatzfeld La stratégie des antilopes a pour genèse une décision prise par le gouvernement rwandais début 2003: la libération de quarante mille détenus hutus, dont la grande majorité ont été condamnés pour leur participation au génocide de 1994 contre les Tutsis. Jean Hatzfeld évoque, en laissant une large place aux témoignages directs, la question de l’impossible pardon et de la coexistence forcée des bourreaux et des victimes en un même lieu, alors que les plaies du passé sont loin d’être cicatrisées. Que se dire lorsque l’on se croise sur des parcelles attenantes?

Comment aborder les terribles secrets que l’on partage désormais sur une entreprise presque aboutie d’extermination? La stratégie des antilopes constitue le troisième volet de la saisissante série d’ouvrages que l’écrivain et journaliste Jean Hatzfeld consacre au génocide rwandais. Pour les rescapés, c’est peu dire que la vie, marquée par le sceau de l’infamie, ne sera plus jamais comme avant. Une saison de machettes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hatzfeld s'est tout d'abord entretenu avec des rescapés, dont il rapporte les propos dans Le nu de la vie, puis s'est intéressé à la manière dont les tueurs ont vécu le même événement, en partie suite à des questions de lecteurs. Un ami et interprète rwandais lui a donné l’idée de rencontrer des prisonniers condamnés à de longues peines, qui parleraient plus volontiers que des personnes en liberté et l’a mis en contact avec un groupe d’hommes qu’il connaissait avant le génocide. Hatzfeld les a rencontrés en prison en 2001 et 2002.

Les témoins[modifier | modifier le code] Ils sont dix copains emprisonnés après jugement dans un pénitencier de Rilima. Démarche et réflexions de l'auteur[modifier | modifier le code] Jean Hatzfeld n’a pas été attiré par les génocidaires. La contrainte était peu importante. Les interviews qui ont permis de recueillir ces témoignages étaient individuels et confidentiels. Le titre[modifier | modifier le code] Le Tribunal des vaincus : Un Nuremberg pour le Rwanda. Le Tribunal des vaincus : Un Nuremberg pour le Rwanda ?

(Broché) de Thierry Cruvellier (Auteur) Description du produit Présentation de l'éditeur En 1994, au lendemain du génocide perpétré au Rwanda, l'ONU décide d'en poursuivre et d'en juger les principaux auteurs. Elle crée le Tribunal pénal international pour le Rwanda, établi à Arusha, en Tanzanie. Sur les pas du tribunal pour l'ex-Yougoslavie, il suscite d'énormes espoirs. On parle d'un nouveau Nuremberg. Le début des procès est laborieux. Biographie de l'auteur Thierry Cruvellier est rédacteur en chef de la revue spécialisée International Justice Tribune. J'ai serré la main du diable (livre) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. J'ai serré la main du diable : la faillite de l'humanité au Rwanda est un livre paru en 2003 et rédigé, avec la participation du major Brent Beardsley, par Roméo Dallaire, ancien lieutenant général des Forces canadiennes et commandant de la Mission des Nations unies pour l'assistance au Rwanda (MINUAR) organisée par l'Organisation des Nations unies (ONU).

Roméo Dallaire décrit dans ce livre son mandat en tant que commandant de la MINUAR pour tenter de maintenir la paix au Rwanda avant et pendant le génocide au Rwanda perpétré par les extrémistes Hutus contre les Tutsis et les Hutus modérés. En 1994, le génocide rwandais a fait plus de 800 000 morts en une centaine de jours. Le général canadien Roméo Dallaire a assisté au déroulement des massacres. Arrivé à Kigali le , Dallaire essaie de prévenir les hautes instances de l’ONU qu'il manque de matériel et d'hommes pour mener à bien sa mission. De jour en jour, la situation se dégrade.