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R)évolutionnez l’éducation. Facebook lance les albums photos collaboratifs. La fonction existe depuis longtemps sur Picasa ou une app comme Cluster. Lundi, Facebook a, à son tour, lancé un système d'album photos collaboratif. Dans une interview à Mashable, le réseau explique qu'il le teste d'abord avec une poignée d'utilisateurs en langue anglaise sur le Web avant de l'élargir progressivement au reste du monde et à la version mobile. 50 contributeurs Un album photo peut avoir jusqu'à 50 contributeurs, qui peuvent publier un maximum de 200 photos chacun.

Un tel système pourrait se révéler particulièrement utile pour un mariage, un concert ou un voyage entre amis. Les réglages de Facebook piègent la soeur de Mark Zuckerberg. Pas clairs, les nouveaux paramètres de confidentialité de Facebook ? Il faut croire que oui. Car même dans l'entourage de Mark Zuckerberg, le fondateur du réseau social, les changements continuels au niveau de la politique d’utilisation des données, des conditions et des règlements finissent par perturber.

À tel point qu'il n'est pas rare que les usagers se demandent si leur contenu privé l'est toujours. Cette situation, la sœur de Mark, Randi Zuckerberg, l'a expérimentée. Anciennement chargée du marketing et des biens sociaux, la jeune femme a constaté à ses dépens qu'une de ses photos s'est retrouvée sur Twitter sans son accord. Comment cette photo a-t-elle pu se retrouver sur Twitter ? Callie pensait alors que la photographie était publique, puisqu'elle est apparue sur son fil d'actualité.

Digital etiquette: always ask permission before posting a friend's photo publicly. Depuis, les messages publiés par Randi sur Twitter à propos de cet incident ont été supprimés. PC INpact Touch. Mark Zuckerberg, fondateur bien connu de Facebook, s’est exprimé récemment au sujet de la puissance montante des smartphones. Il est intervenu en particulier sur la dernière révision de l’application Facebook pour iOS, en affirmant que le HTML5 était une erreur et que la mouture Android bénéficierait du même traitement. « Nous avons gâché deux ans » Une erreur : c’est ainsi que Zuckerberg a qualifié l’emploi du HTML5 pour créer les applications mobiles de Facebook. Et pourtant, c’est ce même HTML5 qui a permis de créer rapidement plusieurs moutures puisque le code composant le cœur de l’application ne changeait que très peu.

Mais pourquoi une telle différence entre le HTML5 et le natif ? Le HTML5 est un langage interprété. Cela signifie qu’avant que les opérations soient passées à la moulinette du processeur, le langage est d’abord traduit dans une forme exploitable. Conséquence à venir : l’abandon progressif du HTML5 pour l’ensemble des applications Facebook. Vincent Hermann. Pages Facebook : 6 fonctionnalités méconnues. Depuis quelques mois, les Pages commerciales Facebook offrent de nouvelles fonctionnalités aux administrateurs. Certaines d’entre elles permettent de personnaliser les icônes d’applications et d’autres aident à augmenter le rayonnement d’une Page. Je vous présente six fonctionnalités liées à ces espaces sociaux que vous ne connaissez peut-être pas et qui pourraient vous être utiles. 1- Comment personnaliser les applications d’une Page Facebook Les applications ont dorénavant une place prépondérante sur les Pages commerciales Facebook. Elles sont mieux positionnées et plus faciles à accéder. 2- Pages Facebook: rôles d’administrateurs et publications différées Deux nouvelles fonctionnalités importantes ont été ajoutées.

Jusqu’à présent, tous les administrateurs étaient sur un pied d’égalité. 3- Facebook: comment modifier l’URL d’une Page commerciale existante Savez-vous qu’il est possible de modifier l’URL d’une Page commerciale existante? Benoit Descary. Les bleus après la défaite à l'euro 2012. Facebook : derniers chiffres et nouvelles données. Plus performant qu'un test de QI, votre profil Facebook ! Yfrog. Quelle philosophie est inscrite dans Facebook? » Article » OWNI, Digital Journalism. Xavier de la Porte revient sur un article de The New York Review of Books. Son auteur Zadie Smith analyse pourquoi le monde que les utilisateurs de ce réseau social ont créé suscite en elle le malaise.

La lecture de la semaine, il s’agit d’un article de Zadie Smith, qui vient de paraître dans la New York Review of Books [en]. Zadie Smith est une jeune écrivaine britannique, dont le premier roman, Sourire de loup, avait connu un succès mondial et parfaitement mérité. Elle signe pour la New York Review of Books un excellent papier sur The Social Network, le film de David Fincher qui raconte la naissance de Facebook. Zadie Smith fait une longue et très fine critique du film de Fincher, mais, après avoir raconté qu’elle était étudiante à Harvard à peine 9 ans avant Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, elle dit ressentir une forme de malaise devant le monde qu’est en train de fabriquer sa génération.

“Vous voulez être pleine d’optimisme pour votre génération. Une nation sous format. Le bouton like : le symbole d'un monde numérique adolescent. Et si finalement les réseaux sociaux ne produisaient que des fans et des vues sur des vidéos qui ne servaient à rien ? C'est vrai quelle marque, quel produit, quelle enseigne peut se prévaloir de ses fans ou du nombre de vues pour affirmer sans la moindre hésitation que, au bout du bout, tous ces mouvements agitations virtuelles ont développé les bénéfices de leur société ? Qui ? Le bouton "like" de Facebook est l'exemple par excellence de l'ineptie du non-profit virtuel. Le bouton "like" est le truc que tout publicitaire aurait aimé créer : génération automatique de lien sur les pages ad hoc, déplacement d'audience en aller/retour sur Facebook avec effet d'impulsion, signaux faibles avec communication forte, rapidité du geste qui donne encore plus l'illusion de participer à un mouvement de foule digitale - effet rassurant - même plongé au milieu de l'hyper-solitude du bit numérique.

Qu'est-ce que la Chine digitale ?... Qu'est-ce que la Silicon Valley ?... Facebook dépasse Yahoo! et devient le troisième plus gros site web.