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La Presse

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Parliament's moral duty on assisted dying. There has been a lull in the media recently about the rights and wrongs of assisted dying, but the conflict is sure to break out again with the imminent publication of the report from Lord Falconer's commission, established to consider changes to the law.

Parliament's moral duty on assisted dying

The commission was set up in the autumn of 2010 and has been subject to repeated accusations of bias in favour of reform. It is true that Lord Falconer is known to be dissatisfied with the law as it stands, as indeed anyone should be. For as things are, assisting in or encouraging suicide remains a criminal offence, indeed a crime tantamount to murder, but the director of public prosecutions has compiled a list of considerations that will make prosecution unlikely (but not impossible) when a person helps another to die at his or her own request. This cannot be a good state of the law. The commission has carried out its work thoroughly and conscientiously. End the ban on assisted suicide, report will urge the government.

An apartment in Zurich, which belongs to Dignitas, an organisation that helps terminally ill people with assisted dying. Photograph: Gaetan Bally/Corbis Helping terminally ill people to commit suicide should be made legal under strict new safeguards, a major independent report is expected to recommend this week. The eagerly awaited advice from the Commission on Assisted Dying, chaired by Lord Falconer, a former lord chancellor, is likely to criticise the current legal framework and suggest that, in some cases, those who encourage or assist another to die should no longer be threatened with prosecution. The report is expected to recommend that assisted dying be legalised only for a very limited category of terminally ill patients and under procedures that are rigorously monitored. It is likely to suggest tight controls on how and when lethal medicines are prescribed for use in assisted suicide. Warnock says today that the status quo is not satisfactory. Les sondages en faveur de l'euthanasie se multiplient.

Un nouveau sondage favorable à l'euthanasie a été dévoilé.

Les sondages en faveur de l'euthanasie se multiplient

Il s'agit d'une étude publiée ce vendredi par le magazine VSD et réalisée par l'institut Harris Interactive. 92% des personnes interrogées se disent favorables à une loi autorisant l'euthanasie active pour les patients atteints de maladies incurables. Parmi elles, 54 % d'entre elles veulent que l'euthanasie soit liée à « l'existence de douleurs que la médecine ne peut plus soulager ». Confrontés à une telle situation, 83 % des Français demanderaient un recours à l'euthanasie pour eux-mêmes. Cette étude d'opinion intervient après celle éditée par le journal Sud-Ouest le 20 août et effectuée par l'Ifop.

Ce sondage montrait que 49 % des Français pensent que la loi devrait permettre aux médecins à mettre fin sans souffrance à la vie de personnes atteintes de maladies insupportables et incurables, si elles en émettent le souhait. 45 % y seraient favorables dans certains cas seulement. Le gouvernement opposé à la légalisation de l'euthanasie.

La commission des Affaires sociales du Sénat a adopté la semaine dernière une proposition de loi qui autorise les patients atteints de maladies incurables à recourir à "une assistance médicalisée permettant, par un acte délibéré, une mort rapide et sans douleur".

Le gouvernement opposé à la légalisation de l'euthanasie

Le texte né de la fusion de trois propositions de loi issues de trois groupes politiques différents (Parti socialiste, UMP et Parti communiste-Parti de gauche) doit être examiné mardi par la chambre haute en séance plénière. Malgré des votes en commission dépassant les clivages partisans, le groupe UMP du Sénat, qui n'y dispose pas seul de la majorité, a annoncé son intention de voter contre le texte. Tout en disant comprendre la souffrance des malades et de leurs familles, le Premier ministre estime dans une tribune publiée lundi par Le Monde qu'une telle loi serait une erreur. "La question est de savoir si la société est en mesure de légiférer pour s'accorder le droit de donner la mort. Le gouvernement opposé à la légalisation de l'euthanasie. Le gouvernement français s'opposera à la proposition de loi légalisant l'euthanasie adoptée la semaine dernière par la commission des Affaires sociales du Sénat, a annoncé lundi Xavier Bertrand.

Le gouvernement opposé à la légalisation de l'euthanasie

Le ministre de la Santé s'exprimait sur un texte qui doit être examiné par la chambre haute en séance plénière mardi. "Je ne suis pas favorable à ce texte, je serai moi-même au Sénat demain soir pour défendre la position du gouvernement", a déclaré Xavier Bertrand sur BFM TV et RMC. "Je ne suis pas favorable à l'euthanasie. " "Ce n'est pas une conception partisane qui doit l'emporter ici", a-t-il ajouté, prônant l'application de la loi Leonetti de 2005 prévoyant le développement des soins palliatifs.

"Certains nous disent : les Français sont majoritairement favorables à l'euthanasie", a fait valoir Xavier Bertrand. En Europe, l'euthanasie est légale en Belgique, aux Pays-Bas, en Suisse et au Luxembourg.