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Middle East Developments

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La fin des chrétiens d'Orient. Une assemblée extraordinaire, appelée «synode», réunit autour du pape à Rome, du 10 au 24 octobre, près de trois cents évêques et patriarches originaires du Moyen-Orient, représentant des communautés chrétiennes fragiles, certaines au bord de l’épuisement et presque en état de survie. Le conflit israélo-palestinien qui s’éternise, les guerres et l’insécurité, la menace iranienne, la situation économique désastreuse et l’islamisation galopante allongent les listes de ces chrétiens arabes qui veulent fuir la région plutôt que croire, comme en Irak, aux fragiles promesses de paix et de développement.

On estime à un peu plus de dix millions le nombre des chrétiens présents au Moyen-Orient. L’exactitude du chiffre est loin d’être garantie, tant l’exode est massif depuis deux décennies et grande la précarité de ces communautés. Publicité Des communautés de plus en plus marginalisées Les chrétiens irakiens ont été les plus éprouvés dans la période récente. Citoyens de seconde zone Henri Tincq. ANALYSE : Les chrétiens d'Orient broyés par l'histoire, actualité Où va le monde : Le Point. Le carnage perpétré dimanche à Bagdad dans l'église Notre-Dame du Perpétuel Secours n'est pas un incident isolé. Il s'inscrit dans un processus qui semble inexorable : l'éradication progressive de la présence chrétienne entre Nil et Euphrate. Les pressions exercées contre les chrétiens revêtent rarement un tel degré de bestiale violence. Il s'agit, le plus souvent, de tracasseries administratives, de mesures insidieuses, de réglementations tatillonnes sur la pratique religieuse ou les lieux de culte.

Mais le résultat est le même : quand ils le peuvent, les chrétiens quittent leurs terres ancestrales pour aller en Occident, où leur intégration ne pose généralement pas de problème. Les chrétiens d'Orient rasent les murs Globalement, la situation des chrétiens d'Orient est néanmoins catastrophique. Les gouvernements de la plupart des pays musulmans veulent surtout éviter les vagues : ils recommandent à leurs chrétiens d'être discrets, de raser les murs.

Il n'en a pas toujours été ainsi. En Afghanistan, une guerre privatisée. En juin 2009, l’Afghanistan comptait 74 000 contractors («mercenaires») pour 55 000 soldats américains (dont 7% sont armés, soit environ 5 200 Occidentaux, auquel il faut rajouter 2 000 ressortissants du tiers-monde et près de 20 000 employés afghans). La nouvelle politique impulsée par Obama ne va faire qu’accroître leur nombre. A mesure que le marché irakien se ralentit, les sociétés militaires privées basculent leurs activités en Afghanistan. Un phénomène de migration qui apparaît clairement à la lecture des statistiques. Si l’on s’en tient aux projections actuelles, le contingent privé pourrait atteindre un volume compris entre 120 000 et 140 000 privés pour 120 000 à 130 000 militaires réguliers (dont 100 000 Américains) d’ici à la fin 2010, soit un pic démographique analogue à celui qu’a connu l’Irak en 2007-2008, au plus fort des violences. Un coup de filet retentissant avait eu lieu en 2007 et abouti à l’arrestation de plusieurs dirigeants occidentaux.

Turkey's Zero-Problems Foreign Policy. Throughout modern history, there has been a direct relationship between conflict and the emergence of new ways of arbitrating world affairs. Every major war since the 17th century was concluded by a treaty that led to the emergence of a new order, from the Treaty of Westphalia in 1648 that followed the Thirty Years' War, to the Congress of Vienna of 1814-1815 that brought an end to the Napoleonic Wars, to the ill-fated Treaty of Versailles that concluded the first World War, to the agreement at Yalta that laid the groundwork for the establishment of the United Nations in 1945. Yet the Cold War, which could be regarded as a global-scale war, ended not with grand summitry, but with the fall of the Iron Curtain and the collapse of the Soviet Union.

There was no official conclusion; one of the combatant sides just suddenly ceased to exist. Two decades hence, no new international legal and political system has been formally created to meet the challenges of the new world order that emerged. Tarek Aziz condamné à mort, malheur aux vaincus. Tarek Aziz vient d'être condamné à mort par une "haute cour pénale" irakienne dont le fonctionnement s'apparente plutôt à la loi du talion qu'aux principes de droit enseignés dans nos facultés. La peine capitale est infligée à cet homme malade de 74 ans pour un motif des plus flous, "son rôle dans l'élimination des partis religieux. "Il ne s'agit évidemment pas de justice mais d'une pure vengeance politique. Jadis, Tarek Aziz était reçu dans toutes les capitales occidentales avec les honneurs dus à son rang.

Il était le numéro deux et la figure présentable du régime de Saddam Hussein. On lui déroulait le tapis rouge à Paris, on l'appréciait à Washington. Un pion sacrifié "Vous appréciez beaucoup en France les dirigeants du Golfe. Militant baassiste de la première heure, laïc convaincu, fin diplomate, Tarek Aziz a effectivement été solidaire jusqu'au bout de Saddam Hussein. Iran's Near Abroad - By Haley Edwards. TBILISI, GEORGIA -- Road signs along the highway heading east to Tbilisi, the Georgian capital, note Tehran -- almost 800 miles away and separated by the entire country of Azerbaijan -- as an upcoming destination.

On a recent road trip, a Georgian friend of mine swerved to the shoulder, pointing and laughing, so we could take pictures of it. But, however much the inclusion of Tehran may be a source of amusement, it is also a symbol of Iran's recent efforts to expand its influence in the South Caucasus -- efforts that Georgians have cautiously embraced. Unlike its rabblerousing in much of the Middle East, Iran's involvement in Georgia, Armenia, and Azerbaijan has been guided not by religious ideology, but by pragmatic economic and geopolitical goals. In fact, judging from Tehran's vigorous diplomacy this past summer, Iran may prove to be a decisive stabilizing force in the long-volatile South Caucasus. So what's with the Caucasian love affair? Sheer pragmatism. Syrians’ New Ardor for a Turkey Looking Eastward.