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Jean Bricmont

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Raison contre pouvoir. Comment peut-on etre "positiviste"? [Jean Bricmont] Jean Bricmont Publié dans PSYCHANALYSE, QUE RESTE-T-IL DE NOS AMOURS ?

Comment peut-on etre "positiviste"? [Jean Bricmont]

Éd. par Francis Martens, Revue de l'Université de Bruxelles, 2000, 2, Editions Complexes Je voudrais demander au lecteur d'envisager favorablement une doctrine qui peut, je le crains, paraître extrêmement paradoxale et subversive. La doctrine en question est la suivante : il n'est pas désirable de croire en une proposition lorsqu'il n'y a aucune raison de penser qu'elle est vraie. Bertrand Russell (1) La publicité d'un ouvrage récent annonce que celui-ci constitue la réponse de deux psychanalystes à la " propagande scientiste d'une idéologie néo-positiviste " à la Sokal et Bricmont (2). Les remarques qui suivent se situeront à un niveau purement épistémologique ou méthodologique. Je commencerai par expliquer les arguments sceptiques et empiristes qui se trouvent à la base de la démarche scientifique.

Notons que Hume ne dit pas que cette façon de raisonner permet toujours d'arriver à des conclusions correctes. Fashionable Nonsense. Fashionable Nonsense: Postmodern Intellectuals' Abuse of Science (French: Impostures Intellectuelles), published in the UK as Intellectual Impostures, is a book by Alan Sokal and Jean Bricmont.

Fashionable Nonsense

Sokal is best known for the Sokal Affair, in which he submitted a deliberately absurd article[1] to Social Text, a critical theory journal, and was able to get it published. The book was published in French in 1997, and in English in 1998; the English editions were revised for greater relevance to debates in the English-speaking world.[2] As part of the so-called science wars, Sokal and Bricmont criticize postmodernism in academia for what they claim are misuses of scientific and mathematical concepts in postmodern writing. According to some reports, the response within the humanities was "polarized. "[3] Critics of Sokal and Bricmont charge that they lack understanding of the writing they were criticizing. The book's thesis[edit] Fashionable Nonsense examines two related topics: Impostures intellectuelles. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Impostures intellectuelles

Impostures intellectuelles est un ouvrage d'Alan Sokal et Jean Bricmont publié en 1997[1]. L'ouvrage constitue une critique assez dure envers ce que les auteurs regroupent sous le nom de « philosophie postmoderne ». Il vise en particulier des penseurs qui utilisent les concepts ou le vocabulaire des mathématiques ou de la physique, relève des erreurs, dénonce des pensées vides de sens et commente des extraits de livres de Jacques Lacan, Julia Kristeva, Bruno Latour, Gilles Deleuze, Luce Irigaray, Jean Baudrillard, et Félix Guattari[1]. Une nouvelle édition, revue et augmentée, est sortie en 1999. Contexte[modifier | modifier le code] Au cours du XXe siècle, la sociologie des sciences et la philosophie des sciences ont vu se développer des courants relativisant radicalement la valeur des thèses admises en science en tant que vérités. L'objectif de l'ouvrage[modifier | modifier le code] Réactions[modifier | modifier le code]

Science et religion: l'irreductible antagonisme. [Jean Bricmont] Jean Bricmont Si nous prenons en main un volume quelconque, de théologie ou de métaphysique scolastique, par exemple, demandons-nous : Contient-il des raisonnements abstraits sur la quantité ou le nombre ?

Science et religion: l'irreductible antagonisme. [Jean Bricmont]

Non. Contient-il des raisonnements expérimentaux sur des questions de fait et d'existence ? Non. Alors, mettez-le au feu, car il ne contient que sophismes et illusions. Il semble que l'heure soit au dialogue, après des siècles de conflit et de séparation, entre science et foi, ou science et théologie. Pour le dire d'un mot, la racine de l'opposition entre science et religion porte essentiellement sur les méthodes que l'humanité doit suivre pour obtenir des connaissances fiables, quel que soit l'objet de ces connaissances. L'idée selon laquelle il existe une sorte de convergence entre science et religion est ancienne mais cette approche, après avoir été plus ou moins mise de côté pendant des années, connaît aujourd'hui un regain d'intérêt(7). Jean Bricmont. Jean Bricmont sur Meta TV – L’autre dissidence belge (14 mai 2014)