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Informatique et internet

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Sélection Enfants. Approches numériques de la culture. L'évolution du Web. La forme de l'humaine condition numérique. La forme de l’humaine condition numérique Je ne m’exclus pas de ce que je vais écrire, évidemment. Chacun "porte en soi la forme entière de l’humaine condition" (Montaigne, Essais, Livre III, chapitre 2, "Du repentir").

Or je tourne autour de la question du jeu social, et des réseaux sociaux, et de la façon dont il se duplique, se répète sur Internet dont il faut chercher ailleurs la radicale nouveauté. Précisément, il me semble que bien des reproches que l’on adresse à Internet sont le fait, non d’Internet, mais du jeu social et de la conduite de soi dans le jeu social. Ainsi, on lit communément qu’Internet développerait une sorte de penchant incontrôlé à l’égocentrisme. "Mais est-ce raison que, si particulier en usage, je prétende me rendre public en connaissance ? Qu’en conclure ? Quand Montaigne explique l’«homo numericus» «La forme de l’humaine condition numérique» est le titre du dernier article (billet serait par trop réducteur) qu’Isabelle Pariente-Butterlin (@IsabelleP_B) vient de livre sur son site Aux bords des mondes.

Il serait inconvenant de le résumer au risque d’en perdre, à défaut du fond, toute la saveur. Commencez donc par faire un petit tour aux bords des mondes avant de revenir ici et de... lire la suite. La référence est empruntée à Montaigne : «Chaque homme porte la forme entiere, de l’humaine condition» Les Essais, III, 2. Michel de Montaigne (source: Wikimedia Commons) Car c’est bien sur la philosophie de Montaigne que l’auteure s’appuie pour combattre la critique qu’on fait d’Internet (qui pousserait au mieux à s’exposer, au pire à s’exhiber).

Les excès (ou dangers) relèveraient plutôt du jeu social que d’Internet lui-même. On fait reproche à Internet de ce qu’on devrait reprocher à notre monde. Feu le minitel (1980-2012) Emily Turrettini: Internet, mémoire et intelligence. GOOGLE - Cet éditorial publié dans le New York Times le 4 août dernier, signé par Daniel M. Wegner, professeur de psychologie à Harvard, réchauffe le coeur et rassure. Le fait de pouvoir consulter Google pour avoir la réponse à n'importe quelle question change certes notre façon d'utiliser notre mémoire, mais ne nous rends pas idiots pour autant. Contrairement à la théorie -évoquée par le journaliste américain Nicholas Carr dans un article célèbre datant de 2008 intitulé Google rend-il stupide? Et qui nous fait encore frémir aujourd'hui- selon laquelle nos clics incessant sur le Web nous rendent idiots et seraient en train de modifier les circuits de nos cerveaux, en vérité, il n'en serait rien.

Pour Wegner, dont la vision est plus optimiste, les connaissances emmagasinées dans notre cerveau et les connaissances se trouvant sur Internet ne sont plus clairement délimitées. Dans un test, Wegner a évalué deux groupes afin de connaître les effets de l'ordinateur sur la mémoire. Memory and the Cybermind. Forum de Brest : Serge Tisseron : Les quatre grands bouleversements du numérique. Invité à s'exprimer sur les mutations profondes qu'engendre le développement de l'univers numérique, en particulier auprès des enfants, le psychiatre et psychanalyste spécialiste de la relation à 'écran a rappelé les grands bouleversements de nos modes de représentation induits par les nouvelles technologies.

Et il a souligné, inlassablement, les responsabilités des adultes à l'égard des enfants pour que ce changement s'opère comme un développement profitable et épanouissant. Premier bouleversement : d'ordre cognitif, il consiste dans l'estompe des structures spatio-temporelles et discursives des représentations. Les espaces virtuels n'obéissent pas à la logique matérielle du monde extérieur et le temps du numérique ignore la chronologie successive et irrévocable du temps de l'expérience. Troisième bouleversement : d'ordre symbolique, il passe par l'usage d'autres modalités de symbolisation que le langage conceptuel classique. Propos recueillis par Jeanne-Claire Fumet. Teachers Easy Guide on How to Evaluate Web content for Classroom Inclusion.

As our students grow dependant on Internet being a primary source for their information, it becomes of urgent necessity that we, as teachers and educators, should know how to evaluate web content and decipher credible resources from spam and irrelevant ones. Regrettably enough, some of the teachers who are using technology in their instruction still don't come to grips with the mechanisms used to sift through internet content. There is a crude analogy to this situation . A teacher who does not evaluate the web content he shares with his students is like a person driving a car without having a driver license, he can still drive his car but he does not know the real dangers he is putting himself to in doing so.

Update : This article is available for download in a Slideshare presentation below Being able to evaluate online content is a skill detrimental to the 21st century education. 4- Check out if the page is dated and if so , is it current enough ? Is there an author ? Webliography : Éduquer aux réseaux sociaux. Pourquoi il faut apprendre à coder à tous nos élèves. {*style:<i>Surtout, je renvoie au dossier tiré du séminaire PRECIP : Enseigner l’écriture numérique ? Certainement bien meilleure argumentation que la mienne. Màj n°6 : on m’a signalé cet article “ Coding – The new latin ” de Rory Cellan-Jones, à lire ! </i>*} …et pas seulement à cliquer, …et pas seulement aux élèves de la série scientifique qui en plus est la voie royale. Je suis de plus en plus convaincue de l’importance et de l’utilité d’apprendre à coder à nos élèves, et particulièrement à ceux de la filière Littéraire. <p>Contrôler les écrans</p> Je parle en tant qu’ancienne élève de la filière A2, vous savez celle où il y avait le moins de maths possible…J’emploie donc le mot « coder » dans son sens le plus large, c’est-à-dire pouvoir toucher un peu ou tout entier aux fonctionnalités pour les maîtriser, ou au moins les comprendre.

Enfin, c’est un langage universel, et c’est la maîtrise parfaite de celui-ci qui fait que l’on peut le lire. Imprimer ce billet. NetPublic - Accompagner l'accès de tous à l'Internet. Qu’est-ce qu’apprendre à l’heure d’Internet ? Usage des réseaux sociaux chez les 8-17 ans (étude CNIL) et 9 conseils aux parents. Que font les enfants sur les réseaux sociaux ? Qu’échangent-ils ? Avec qui ? Leurs pratiques sont-elles toujours « amicales » ?

Se sentent-ils protégés ? Principaux constats de l’étude Près de 20% des moins de 13 ans ont un compte sur un réseau social 48% des enfants de 8-17 ans sont connectés à un réseau social (Facebook). 18% des moins de 13 ans sont déjà connectés, et leurs parents sont au courant à 97%. Seule la moitié (55%) des 8-17 ans discutent avec leurs parents des réseaux sociaux, principalement du temps d’utilisation plus que des usages… Une moitié (49%) d’entre eux sont « amis » avec leurs parents.

Les enfants et les adolescents livrent leurs identités et beaucoup d’informations personnelles Pour les enfants et les adolescents, la relation sur le réseau n’est pas virtuelle. Un tiers des enfants ont été choqués ou gênés par des contenus Isabelle Falque-Pierrotin, Vice-Présidente de la CNIL indique : « L’éducation numérique, c’est aussi le rôle des parents d’aujourd’hui !

Réseaux sociaux 2012 : le guide ultime. Valider l’information sur Internet (dossier de ressources) Identité numérique : guide d’activités pour les juniors (Commission scolaire de Sainte-Hyacinthe) L’identité numérique interroge et questionne : pas seulement chez les adultes mais également chez les enfants et les adolescents. C’est en sens que la Commission scolaire de Sainte-Hyacinthe au Québec (Canada) propose un dispositif pédagogique : Mon identité numérique pour aider les jeunes dans le cadre de l’école et en dehors de cet univers : « à prendre conscience que leur liberté d’expression comporte des contraintes et des obligations. Les amener à identifier les impacts de leurs publications en ligne sur eux et les autres et à explorer les règles, les codes et les normes qui entourent l’utilisation des médias sociaux. Les amener à se construire une représentation de l’identité numérique qu’ils souhaitent développer ».

Construire son identité numérique avec responsabilité et réflexion : 5 activités Avec un déroulé complet, il est proposé 5 activités concrètes : Activité 1 : Les comportements dans la vie concrète et virtuelle Sondages sur les comportements Licence : InternetActu.net. Trop de livres : quelles distinctions de valeurs faisons-nous entre les pratiques et les technologies. La lecture de la semaine, il s’agit d’un passage dans un magnifique article du dernier numéro de la Hedgehog Review. L’article s’intitule “Pourquoi Google ne nous rend pas stupides… ni intelligents”. On le doit à Chad Wellmon. Il s’agit d’une critique du fameux livre de Nicholas Carr, Internet rend-il bête ? (issu de son fameux article, “Est-ce que Google nous rend idiot ?”). Je n’ai traduit qu’une seule partie de l’article, intitulé “Trop de livres”. “Comme l’historienne Ann Blair l’a montré récemment, notre inquiétude contemporaine quant à l’overdose d’informations résonne avec une complainte historique pouvant se résumer à “il y a trop de livres”.

Les analogies historiques nous offrent des perspectives non seulement sur l’histoire de certaines angoisses, continue l’auteur, mais aussi sur les manières dont les hommes ont, de tout temps, été impactés par leurs technologies. Xavier de la Porte.

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