background preloader

Politique

Facebook Twitter

La crise de la dette publique. De multiples affirmations de « bon sens » sont avancées depuis de nombreuses années par les « experts » comme de postulats économiques incontournables tels : « Les Etats ne peuvent plus longtemps vivre audessus de leurs moyens », « aucun ménage ne pourrait être endetté de la sorte », constats appelant comme une évidence la réduction des dépenses publiques : « Il faut payer la dette »… Qu’en est-il ?

La dette publique est constituée par le total des engagements financiers sous forme d’emprunt pris et en cours à un instant T par les administrations publiques : Etat, collectivités territoriales, et administrations de sécurité sociale. Elle s’élève pour la France à 1 713 Milliards d’euros au 31.12.11 (85,8% du PIB) contre 1 212 milliards d’euros au 31.12.07 (64% du PIB), soit une progression de 30 % en volume et de 21 points du PIB par rapport à la fin de l’année 2007, juste avant le début de la crise. Elle se situe dans la moyenne de la zone euro. Origine de la dette Dette illegitime. Besancenot : "les riches ont lu Marx et croient à la lutte des classes" (CSOJ du 11septembre 2012))

Venezuela: un antimodèle à gauche. Dossier en annexe. Par Marc Saint-Upéry Le dimanche 7 octobre 2012, l’élection présidentielle aura lieu au Venezuela. Les résultats de cette élection auront un impact à l’échelle du «Cône Sud». Les sondages donnent Hugo Chavez, Bonaparte-Bolivar sui generis, gagnant. La droite semble toutefois disposer d’une position bien meilleure que lors de la catastrophe électorale de 2002 et 2003 – suite à l’échec de la tentative de coup d’Etat – ou de 2004, année où sa non-participation assura au «chavisme» l’hégémonie complète dans le Congrès. La droite se réorganisa, mettant de côté l’orientation «golpiste» et de stricte dénonciation de la «fraude» électorale qui ne tenait pas la route.

Une orientation qui a abouti à une avancée significative lors des élections législatives de septembre 2010. Ces élections suscitent un débat dans la gauche européenne, spécialement en France. Résumons. Marc Saint-Upéry est essayiste et traducteur. I. Cité in Nelly Arenas, «El proyecto chavista. . – Là aussi il y a stagnation. Venezuela : «Il faut que les secteurs qui soutiennent la révolution agissent de manière autonome» Entretien avec Gonzalo Gómez Freire (co-fondateur de « Aporrea ») Gonzalo Gómez est cofondateur du site alternatif et populaire d’informations www.aporrea.org , né en 2002 à partir d’un organisme de coordination du mouvement populaire «Asamblea Popular Revolucionaria » créé pour s’opposer au coup d’Etat de droite. Il est également membre de « Marea Socialista », un courant politique, syndical et de jeunesse au sein du Parti Socialiste Uni du Venezuela (PSUV), le parti de Chavez, et est actif dans la centrale syndicale « Unión Nacional de Trabajadores » (UNETE).

Marea Socialista est né en 2006 comme courant politico-syndical dans le syndicat UNT et il a participé au processus de construction du PSUV initié par le président Chavez en 2007. Il s’agit d’un courant marxiste révolutionnaire critique, qui publie un journal et participe aux différentes mobilisations et luttes populaires et ouvrières dans le pays.

L’avant-garde populaire continue à participer activement au processus. Las tensiones del proceso bolivariano: nacionalismo popular, conquistas sociales y capitalismo rentista. Franck Gaudichaud׀ Inprecor/Viento Sur Cuando se acercan las elecciones regionales en la República Bolivariana y después del importante discurso nacional y el reciente anuncio del presidente Chávez de cara a su nueva operación por cáncer (www.rebelion.org/noticia.php...), publicamos este análisis -crítico y fraternal- del proceso de cambio en Venezuela. Este texto, escrito a finales de noviembre (después de una estadía en Venezuela para las elecciones presidenciales), intenta subrayar algunos puntos para el debate, desde la izquierda, temas tal vez más aún vigentes frente a la nueva y difícil coyuntura que se avizora para el pueblo bolivariano.

El domingo 7 de octubre Hugo Chávez festejaba su tercera victoria en las elecciones presidenciales, con el 55,1% de los sufragios, frente al 44,3% a favor de su principal adversario, el candidato neoliberal Henrique Capriles Radonski. La polarización política fue tal que los otros cuatro candidatos en liza quedaron literalmente barridos 1 . Venezuela : Un an après sa nationalisation, la nouvelle SIDOR explore les chemins de la participation. En mai 2008, après 15 mois de lutte, Hugo Chavez annonce la nationalisation de SIDOR, principale aciérie du pays, appartenant au groupe argentin Techint. Un an après, retour sur les changements et les attentes des travailleurs. 15h. William Farias, électricien de maintenance, pointe pour prendre son tour à SIDOR, entreprise qui applique les 3 huit. Casque sur la tête, masque anti-poussière, lunettes, casque anti-bruit, chaussures de sécurité, autant de protections qui semblent pourtant bien dérisoires au regard de la dureté du travail au sein de cette immense usine qui s'étend sur plus de 900 hectares et qui produit 4 millions de tonnes d'acier par an.

«Après 20 ans ici, je ne m'y suis toujours pas habitué», confie-t-il. José Eduardo Pinto, 52 ans, 25 d'ancienneté confirme «j'arrive toujours au travail avec la peur au ventre». Puerto Ordaz, où est située l'entreprise, est une ville où la température dépasse quotidiennement les 30 degrés. De profonds changements. La victoria de Chávez, preocupaciones: Radicalidad vs. Conciliación derechista. Manuel Sutherland | aporrea.org El reelecto Presidente de la República Bolivariana de Venezuela Hugo Chávez, ha ganado su décima cuarta elección (de quince) en un lapso de 14 años.

Este domingo 7 de octubre ha obtenido un sólido 55% (7.936.061 votos) derrotando al millonario empresario de cuarenta años, Henrique Capriles quien obtuvo el 44,39% (6.426.286)[i]. La victoria ha sido saludada con emoción por diversos Presidentes de América Latina a través de las principales redes sociales. El triunfo del chavismo es considerado como la solidificación de la propuesta latinoamericana antineoliberal y progresista[ii]. Pero, nos preguntamos: ¿Han subido o diezmado sus índices de popularidad?

, ¿Qué se viene al futuro? Una victoria con menos votos que en la última ocasión -hace 6 años- Aún cuando el chavismo muestra sonrisas por doquier, muy en el fondo, hay preocupación por el estancamiento en los votos captados por el Presidente Chávez. Capriles Radonski, alguien que ganó perdiendo Ccs. 08/10/2012. Venezuela : les effets de la surévaluation de la monnaie suivie de ceux provoqués par la dévaluation. Depuis 2003, les entreprises qui veulent importer des marchandises et des services doivent acheter des dollars à une administration de l’Etat appelée CADIVI. Cette mesure de lutte contre la fuite des capitaux est utile.

Le problème, c’est que le taux de change entre le bolivar et le dollar a surestimé la valeur du premier. Cela a renforcé un comportement pervers : en effet, pour un capitaliste qui dispose de bolivars en grande quantité, il est plus rentable d’échanger ceux-ci contre des dollars vendus bon marché par l’Etat et d’importer des produits venant des Etats-Unis ou d’ailleurs, plutôt que de les investir dans l’appareil productif du pays. La politique du bolivar surévalué a inhibé l’investissement productif et a favorisé l’activité commerciale tournée vers l’importation frénétique de marchandises et la vente de celles-ci via les grands réseaux privés de distribution. En janvier 2010, le gouvernement a mis en œuvre une dévaluation. En quoi consiste-t-elle ? Le 21 juin 2010. "Venezuela : la révolution bolivarienne sans pétrodollars" (par Lamia Oualalou sur www.mediapart.fr) De notre envoyée spéciale à Caracas.

Dès l'arrivée à l'aéroport international Simon Bolivar de Caracas, on perçoit la différence. Après le contrôle des passeports, les publicités pour les cosmétiques et les jeux électroniques des magasins Duty-Free sont toujours aussi tapageuses, mais les étagères sont vides. On ne peut acheter que du rhum ou des cigarettes produits localement. A la sortie, il suffit de faire quelques pas pour se faire accoster par de jeunes hommes, qui proposent leur service de taxi et plus discrètement de convertir les dollars en bolivars.

Les maisons de change ne manquent pourtant pas, mais on y applique le taux officiel : un dollar vaut 2,15 « bolivars forts », le nouveau nom de la devise vénézuélienne. Rien à voir avec les performances des cinq dernières années : 10,4% en moyenne, qui ont permis une forte réduction de la pauvreté. L'effet d'entrainement sur le reste de l'économie a été remarquable. Le secteur privé choisit le plus souvent de contourner la loi. Ernest Mandel - Démocratie socialiste et dictature du prolétariat. Le débat en cours au sein du mouvement ouvrier international sur les différentes conceptions de la démocratie socialiste et de la dictature du prolétariat est le plus profond depuis les premières années qui avaient suivi la révolution russe d’Octobre 1917.

Il est le produit de la montée des luttes ouvrières dans les pays capitalistes depuis 1968 et des luttes anti-impérialistes, de la crise parallèle du capitalisme et de la domination des castes bureaucratiques sur les États ouvriers bureaucratisés. Il est de même le produit d’une prise de conscience au sein de la classe ouvrière internationale des méfaits du stalinisme et de la bureaucratie en général. Tous ces facteurs ont déplacé ce débat du domaine des polémiques plus ou moins académiques vers celui de la politique pratique proprement dite. 1. Qu’est-ce que la dictature du prolétariat ? Les marxistes-révolutionnaires comprennent la nature de classe de tous les États en tant qu’instruments pour maintenir le pouvoir de classe. 2. 3.

Ernest Mandel (1969): Contrôle ouvrier et stratégie révolutionnaire. Introduction Partout en Europe, les militants ouvriers les plus conscient ont compris la nécessité des REVENDICATIONS TRANSITOIRES pour amener la classe ouvrière à un affrontement global avec le système capitaliste grâce à une élévation de son niveau de conscience. C'est par ce biais et avec le soutien du futur Parti révolutionnaire des Travailleurs, actuellement en construction, que l'ensemble des travailleurs s'empareront du mot d'ordre de CONTROLE OUVRIER. Mais déjà, le patronat réagit contre la nouvelle montée ouvrière: on parle et on fait de la "concertation", de la "cogestion", de la « participation", etc. La bureaucratie syndicale, se sentant en péril dans son rôle de conciliateur social, essaie de s'adapter: malgré sa pratique de collaboration de classe, elle annonce elle-même le mot d'ordre de « contrôle ouvrier". Ce texte, légèrement remanié, est celui d'un exposé fait lors d'une école de cadres de la JEUNE GARDE SOCIALISTE, en avril 1970.

-l'estimation des stocks. Ernest Mandel - En défense de la planification socialiste. Le livre de Alec Nove " The Economics of feasible Socialism " critique la méthode de la théorie économique marxiste. Cette méthode serait sans objet pour la construction du socialisme. Le but de la conception politique marxiste - le socialisme sans production de marchandises - serait un leurre impossible a réaliser.

Toute réponse réelle à ces objections doit suivre l’approche qu’adopta Marx dans son étude de la formation du capitalisme. Rien ne sert de partir d’un idéal final ou d’un but normatif à atteindre : il faut prendre comme point de départ les éléments de la nouvelle société qui se développent déjà dans l’ancienne, les lois et les contradictions internes du mode de production capitaliste et de la société bourgeoise telle qu’elle existe. Quelle a été la tendance historique fondamentale du développement capitaliste à partir de la révolution industrielle ?

1. Qu’est-ce que la socialisation objective du travail ? Le plan Nous avons utilisé le terme " plan ". Pour nous aussi. 2. Ernest Mandel - Autogestion, occupations d'usines et contrôle ouvrier. Cette anthologie est l’introduction du livre "Controle ouvrier, conseils ouvrier, autogestion", Ernest Mandel, Paris, Maspero, 1973. Introduction L’anthologie que voici s’efforce de présenter une vue d’ensemble du mouvement d’idées et d’actions qui, depuis près d’un siècle, incite les travailleurs à enlever au Capital le pouvoir Sur les entreprises et à leur substituer l’organisation de la classe ouvrière, sur les lieux de travail, en tant que maîtresse du processus de production. Cette anthologie est donc éclectique, puisqu’elle rassemble à la fois des analyses théoriques et des récits d’actions révolutionnaires des travailleurs. Elle n’a pas la prétention d’être complète. Les origines historiques de l’idée de l’organisation de l’économie fondée sur des conseils ouvriers (« les producteurs associés », comme le disait Marx) n’ont pas été retracées.

Dans le choix des morceaux de cette anthologie, nous nous sommes (laissé guider par deux considérations. I. II. III. L'Etat et la révolution : Table des matières. MIA - Léon Trotsky: La révolution trahie (1936) - Sommaire. Fascisme et grand capital, Daniel Guérin. (…) Le fascisme est, bien sûr, une réaction défensive de la bourgeoisie, mais une défense contre la désintégration de son propre système beaucoup plus que contre toute offensive prolétarienne - malheureusement inexistante. La crise du système capitaliste lui-même est ce qui a ébranlé le capitalisme dans ses fondations par l’assèchement des sources de profit. La classe ouvrière, d’autre part, paralysée par ses organisations et ses dirigeants à l’heure de la décadence de l’économie capitaliste, ne savaient pas comment prendre le pouvoir et remplacer le capitalisme en train de mourir par le socialisme. Capitalisme en décadence Quant à la nature de cette crise, le fascisme lui-même n’a pas d’illusions.

"La crise", admet Mussolini », a pénétré dans le système si profondément qu’il est devenu une crise systémique. Il ne s’agit plus d’une blessure, mais une maladie chronique ... » La guerre est le produit du système capitaliste dans son ensemble. Marine Le Pen : son programme pour le capitalisme français | Gauche Unitaire Marine Le Pen : son programme pour le capitalisme français. En prenant la présidence du Front National, Marine Le Pen prétend engager ce parti dans une nouvelle voie, celle d’une prétendue « modernisation », qui permettrait à l’extrême droite de gagner en crédibilité et de pouvoir prétendre à l’exercice du pouvoir. En plus de renouveler les thématiques racistes qui visent, son seulement l’immigré, mais plus précisément le musulman comme menace sur l’identité de la France, l’équipe de direction autour de Marine Le Pen a commencé à produire plusieurs documents programmatiques censés définir les solutions concrètes à appliquer une fois au pouvoir.

Le premier axe programmatique mis en avant par le FN pour mettre en avant une soi-disant « rupture » est l’abandon de la monnaie européenne « car dans la doctrine économique et politique du FN : une Nation = une monnaie. ». L’objectif principal de cette mesure étant de pouvoir réaliser une « dévaluation compétitive maîtrisée » pour obtenir des « gains de compétitivité », un « soutien aux exportations ». Toulon, Vitrolles... le FN à l'épreuve du pouvoir. La nuit tombe sur l’ancienne place Nelson-Mandela de Vitrolles. Des ados traînent à l’arrêt de bus. Il y a quinze ans, cette place a été rebaptisée “place de Provence”. Ils ne s’en souviennent certainement pas. À l’époque, Catherine Mégret, doublure lumière de son mari Bruno (alors n° 2 du FN), dirigeait la ville et donnait aux rues les noms des figures du Front.

Trop jeunes aussi pour se souvenir du 9 février 1997, de la joie terrifiante des skinheads quand ils ont compris que l’extrême droite, ce soir-là, avait conquis la mairie. “Ils tournaient avec un mégaphone et braillaient ‘Faites vos valises ! “Le FN, c’est comme une flamme, il faut la toucher pour sentir la douleur” À peine élu, le Front donne le ton.

“Moi, je n’avais pas pris au sérieux l’arrivée du FN, admet aujourd’hui sa mère, Lila, assise à l’ombre d’un figuier dans son jardin. “On se faisait fracasser par l’extrême droite, se souvient le rockeur. Ambiance. Le passé ne passe pas La marque indélébile d’une honte collective. 3ème voie : l’art de manipuler par la confusion. LE FASCISME, A TRAVERS SA NAISSANCE EN ITALIE ET EN ALLEMAGNE (Dossier LCR) L. Trotsky - Oeuvres juin 1933. L’explication marxiste des crises de surproduction (Ernest Mandel) Le talon d'Achille du Capitalisme - Revue Que Faire ? Capitalisme:D'ou viennent les profits ? Le débat sur le taux de profit (par Michel Husson) NPA-Comment mettre en oeuvre notre programme ? NPA arguments POUR La solidarité avec tous les immigrés !

Le protectionnisme, est-ce la bonne solution ? Protectionnisme et altermondialisme (contretemps.eu) Euro : en sortir ou pas? Produisons français, un poison violent. Jean-Marie Harribey » Blog Archive » Démondialisation ou altermondialisme ? Discours sur la question du libre-échange - K. Marx (1848) Libre-échange ou protectionnisme, le faux choix ...