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Juju30700

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Distribution : le « drive », nouveau moteur du commerce alimentaire. Les points de livraison pour les commandes faites sur Internet se multiplient. Ce marché, en passe de devenir la réponse du commerce en ligne pour l'alimentation, devrait dépasser la barre des 2 milliards d'euros en 2015. C'est la réponse au déclin -relatif -des hypermarchés. De quoi s'agit-il ? Du « drive », cette formule de vente à mi-chemin entre le commerce électronique et le commerce traditionnel « en dur ».

Le principe est simple : le client commande sur Internet et va chercher ses colis soit sur un site mitoyen de la grande surface, soit dans un entrepôt indépendant. Une fois la voiture garée, pas besoin de mettre pied à terre, un employé dépose la commande dans le coffre. Le gros potentiel de Leclerc Auchan a été le premier à tester le concept : Auchan Drive, tel qu'il se présente actuellement, a démarré en 2006 à Faches-Thumesnil, mais, aujourd'hui, c'est Système U qui affiche le plus gros réseau avec 230 unités. Vecteur de développement. Drive : le nouveau marché porteur de la grande distribution - [Analyse] Agro Media.

Le drive n'en finit plus de séduire les consommateurs et sa croissance est inédite. Focus sur ce nouvel eldorado pour les enseignes de grande distribution. ... Le Drive séduit de plus en plus. Pratique, peu cher et disponible dans presque toutes les enseignes de grande ou petite distribution, ce nouveau mode de livraisons en entrepôt est en constante évolution. Décryptage d’un marché qui pèse près de 4 milliards d’euros en France. Faire ses courses sur internet ou en magasin et les retirer en entrepôt à une heure donnée. Idéal. Les différentes formules de drive Le drive revêt des aspects différents. Le « drive solo » Le distributeur s’approvisionne et fonctionne de façon autonome. Le « drive adossé » Ici, l’emplacement est voisin du magasin mais, là encore, il s’approvisionne et fonctionne de manière autonome. Le « drive picking magasin » Comme son nom l’indique, le drive est une surface de voirie et de parking réservée à l’activité.

Drive : Auchan pionnier, Intermarché premier. Les Drive, coûteux moteurs de croissance de la grande distribution. Même Walmart s'en inspire. Le succès des modèles de "Drive" à la française, a surpris jusqu'au plus puissant des distributeurs de la planète. Lequel tente même de l'adapter outre-Atlantique. Un peu plus de dix ans après leur apparition en France, ces services de retrait de paniers de courses commandés sur internet et adossés à des hypermarchés ou créés ex nihilo maillent désormais l'Hexagone. Ces quatre dernières années en particulier auront vu leur nombre exploser, comme en témoigne la carte de France des Drive (ci-dessous) recensée par Nielsen TradeDimensions.

Le paneliste en compte plus de 3400 au mois d'avril 2015. Prime au premier arrivant Après l'impulsion donnée par Auchan qui a inauguré le concept en France, les autres enseignes se sont engouffrées dans la brèche. Il s'est en outre assuré la première place en matière de fréquentation sur internet. Couches-culottes et CSP+ Evidemment, ce succès ne tient pas qu'à la profusion de l'offre. Faible rentabilité Drive "piéton" Faut-il faire ses courses sur internet? - Combattre la crise. Faut-il faire ses courses sur internet est une question que je me suis longtemps posé… de plus en plus de personnes font leurs emplettes sur internet, les sites d’e-commerce proposant des tarifs toujours plus intéressants et de plus en plus agressifs d’un point de vue marketing / publicité.

Il y a cependant un domaine qui a plus de mal que les autres, celui des courses alimentaires sur internet : tous les supermarchés classiques disposent désormais d’un équivalent web, parfois au nom équivoque, parfois non : Auchandirect pour Auchan, Ooshop pour carrefour par exemple. Est-ce une bonne idée de faire ses courses sur internet ou au contraire un mauvais plan? J’ai testé pour vous les deux solutions citées plus haut, voici le bilan. Ah, les caisses de supermarché, les produits entassés sur le tapis roulant, les gens qui paient en pièces de 5cts… faire ses courses sur internet à au moins l’avantage de vous en débarrasser ! Faire ses courses sur internet : les prix sont-ils équivalents? Drives : pas toujours rentables, ils attendent le "grand soir" Réactions de la grande distribution au déclin des hypermarchés. Gagner du terrain sur la concurrence La grande distribution s'adapte et se diversifie.

En France, les enseignes élargissent sans cesse la gamme de leurs produits et proposent jusqu'à trois segments de prix. Quand l'offre des produits semble ne plus pouvoir s'enrichir, elles s'attaquent aux services : banque, assurances, téléphonie... Pour réagir à la concurrence des discounters, la grande distribution crée son propre réseau de hard-discount Même démarche pour les produits frais lorsque la concurrence apparaît. A lire : Les formats de proximité de la grande distribution : panorama et perspectives - édition 2011.

Séduire et fidéliser sa clientèle La grande distribution n'en a pas fini avec l'hypermarché. Conserver un client coûte cinq fois moins cher que d'en gagner un et un client fidèle consomme plus qu'un client occasionnel. Les courses en ligne Le commerce électronique est une solution pour les consommateurs blasés par les grands magasins. Le " drive ", la nouvelle arme de la grande distribution ? Le drive de Carrefour Saint Serge à Angers, ouvert dernièrement, est adossé au magasin existant 0inPartager. Le drive menace-t-il l'hypermarché ? Pas un hypermarché ne veut y voir une menace. Et pourtant. Tous les Français se convertissent au drive. La France compte plus de 1.000 de ces espaces de retrait de commandes réalisées en ligne, selon les décomptes du cabinet Le Site Marketing.com. "Plus de 2,3 millions de ménages Français y ont déjà fait leurs courses", a fait valoir la directrice des études chez Kantarworld Panel, Gaëlle Le Floch, lors d?

Une conférence organisée par IFLS, une association qui regroupe des industriels et des distributeurs de produits de grande consommation vendus en libre-service. Un miroir aux alouettes Tous les nouveaux adeptes du drive ? 5,50 euros, le service Faut-il y voir un miroir aux alouettes ? Intermarché ? La forte adhésion des Français au concept du drive peut aussi effrayer. Le client du drive reviendra-t-il en magasin ? Les fabricants de marques nationales s? Car, à l? Le Drive : en route vers la rentabilité... Nous l’annoncions dans notre précédent article (Le Drive cale-t-il ?) , 30% des français utilisent le Drive, avec un niveau de satisfaction dépassant les 80%. Comment la distribution peut-elle développer le ticket moyen et optimiser la rentabilité du Drive ? Principales pistes suggérées par notre interviewée Juliette Villeminot, Responsable de l’Expertise Shopper, GfK Consumer Experiences : le frais, la gestion des ruptures, la valorisation des promotions et la génération des achats d’impulsion.

Le frais semble promis à un bel avenir en Drive… En effet. Les freins à l’achat de produits frais en Drive sont bien identifiés et les attentes des consommateurs sont claires. En attendant, une certaine éducation du consommateur est nécessaire : combien de pommes dans 1kg ? Concernant les autres freins à l’achat, tout est question de réassurance et la communication du site de Drive peut tout changer.

Existe-t-il d’autres voies d’optimisation de la rentabilité du Drive ? Le "drive", un système de commerce en ligne rentable pour les supermarchés. Ce nouveau service permet d'acheter sur Internet aux mêmes prix qu'en magasin. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Claire Gatinois Ni tout à fait des cyberventes ni tout à fait des achats traditionnels, les courses alimentaires en "drive in" seraient-elles "la" solution pour que la grande distribution alimentaire prenne enfin une part significative dans le commerce en ligne ?

Alors que la consommation reste déprimée, ces achats, qui permettent à un client de commander ses marchandises sur Internet avant d'aller les chercher déjà empaquetées dans une zone dédiée, connaissent un succès inattendu. Auchan, l'une des premières enseignes à avoir lancé ce concept en 2004 au travers d'une filiale, Auchan Drive, a récemment annoncé le doublement des effectifs de la société. En pleine crise de l'emploi ! Voyant que l'engouement des clients pour ce nouveau mode d'achat est loin d'être éphémère, les autres enseignes ont suivi le mouvement, parfois à marche forcée. Les hypermarchés se convertissent au «drive»  Leclerc et Auchan misent sur une nouvelle formule pour faire décoller les achats sur Internet. Dans le langage codé de la grande distribution, on appelle cela des «hypermarchés drive». C'est la possibilité pour des clients ayant fait leurs courses sur Internet de venir prendre livraison eux-mêmes en voiture de leur commande déjà empaquetée.

Cette formule, beaucoup d'enseignes la développent actuellement à marche forcée. Leclerc, qui compte seize sites sur ce modèle, en disposera de cinquante d'ici à la fin de l'année et de cent fin 2010. Auchan a programmé de passer d'une vingtaine de sites à une quaran­taine fin 2009. Quant à Intermarché, il teste la formule depuis décembre 2008 sur un point de vente. Pourquoi un tel engouement ?

Avec le modèle du drive, les distributeurs espèrent faire beaucoup mieux. Les mêmes prix qu'en magasin Reste que, pour l'instant, il n'y a pas un seul business model. » Vers une réforme des associations de consommateurs. Le « drive », nouveau terrain de bataille des distributeurs - A. Le « drive », un cadeau empoisonné pour la grande distribution. Nombre de clients multiplié par deux, chiffre d’affaires en hausse de 130%, trois ouvertures chaque jour. Toute la profession se frotte les yeux à la lecture de ce bilan 2012 mirifique. Les résultats d’une start-up particulièrement inventive ?

Non, ceux du «drive», ce service qui permet au consommateur de faire ses courses sur Internet, puis d’aller les retirer sur le parking d’un supermarché ou d’un entrepôt, pratiquement sans sortir de sa voiture. Une petite révolution dans la grande distribution : la barre des 2 000 points de livraison vient d’être franchie, et plus de 5 millions de familles françaises s’y rendent deux ou trois fois par mois. L’an dernier, elles y ont dépensé pas loin de 2 milliards d’euros, ce qui représente 2,8% de toute la consommation alimentaire. Le drive a mis quelques années à démarrer. Du coup, les drives apportent une bouffée d’oxygène à des distributeurs qui s’arrachent les cheveux à essayer d’enrayer la baisse de fréquentation de leurs hypermarchés. 1.

Apple critiqué pour des conditions de travail « misérables » chez un sous-traitants chinois. Bas salaires, heures non payées, dortoirs infestés d’insectes : China Labor Watch a dénoncé jeudi les conditions de travail dans une usine d’un sous-traitant chinois d’Apple. L’ONG China Labor Watch, sise à New York, a dénoncé dans un rapport, jeudi 22 octobre, les conditions de travail dans une usine d’un sous-traitant chinois d’Apple, recensant une « vingtaine de violations » au droit du travail. « Les bas salaires, les longues journées de travail, les heures non payées, les mauvaises conditions de sécurité et les conditions de vie misérables persistent », a estimé l’organisation, qui a mené son enquête clandestinement dans une usine à Shanghaï du groupe Pegatron.

Après leur journée de travail, les employés, logés dans l’entreprise, sont par ailleurs conduits dans des dortoirs bondés et insalubres, équipés de lits « infestés de punaises », décrit l’organisation. Les salariés pas informés des risques pour leur santé. Amazon accusé de faire vivre un enfer à ses employés. Le New York Times a publié un article très critique sur les conditions de travail au sein du géant de l'e-commerce. Il encouragerait notamment la délation entre collègues. L'innovation passe-t-elle par l'humiliation? Amazon est aujourd'hui âprement critiqué sur les conditions de travail qu'il impose à ses employés. L'entreprise américaine a fait l'objet d'un long article publié samedi dans le New York Times. Des anciens employés, ainsi que des sources anonymes, y décrivent une société où les éléments jugés inaptes sont vite renvoyés et les autres exploités jusqu'à l'épuisement. L'enquête multiplie les anecdotes difficiles et les citations chocs.

Les employés considérés comme des bons éléments sont surnommés les «Amabots», littéralement les robots d'Amazon. Un logiciel pour critiquer ses collègues Les managers ne sont pas les seuls à surveiller leurs employés. Un modèle salué par la Silicon Valley. Pour motiver ses salariés, Google mise sur l'interaction et l'autonomisation | L'Atelier : Accelerating Innovation.

Chez la firme de Mountain View, motiver ses collaborateurs passe par deux choses : la possibilité de prendre du temps pour travailler sur un projet personnel, et la gratification des personnes qui aident leurs pairs. Pour favoriser l'engagement de ses salariés, Google a décidé de leur laisser plus de temps libre, tout en les incitant à communiquer entre eux. Les managers de la firme de Mountain View sont partis du principe suivant: au cours de la réalisation de leur travail, ingénieurs comme développeurs acquièrent de nombreuses compétences, qu'ils peuvent souhaiter mettre en œuvre dans un cadre plus personnel. C'est pourquoi ils ont lancé en 2006 une initiative permettant aux employés de diviser leur temps de travail en deux parties. Soit un temps de travail effectif (80%) et un considéré comme du temps libre (20%).

Utiliser les interactions entre employés comme assurance d'un travail effectif Récompenser chaque acte d'entraide publiquement afin de pousser à celle-ci. Les 5 principaux facteurs de motivation au travail. Article publié le 19/08/2016 La motivation des collaborateurs est un facteur déterminant pour augmenter la productivité du personnel. En effet, c’est un élément clé du succès des entreprises.

Cependant, d’une manière générale, les facteurs prédominants dans la motivation au travail dépendent de la personne et de l’orientation de cette dernière. Explications ! La motivation aujourd’hui : où en est-on ? Au travail, se motiver est souvent difficile ! Le processus de motivation est un phénomène complexe. La motivation n’a jamais tenu une place aussi importante dans le discours managérial. La démotivation peut être rapprochée d’autres concepts comme le mal-être, le stress…Elle est devenue un problème prioritaire devant être réglé rapidement.

La France serait visiblement championne de la démotivation aujourd’hui ! Notez-le : la France est le pays contenant le plus de collaborateurs démotivés (environ 40%). Par ailleurs, la place des salariés évolue au sein de l’entreprise. La rémunération.