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Récessions

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Great Depression. USA annual real GDP from 1910–60, with the years of the Great Depression (1929–1939) highlighted. The unemployment rate in the US 1910–1960, with the years of the Great Depression (1929–1939) highlighted. In the 21st century, the Great Depression is commonly used as an example of how far the world's economy can decline.[2] The depression originated in the U.S., after the fall in stock prices that began around September 4, 1929, and became worldwide news with the stock market crash of October 29, 1929 (known as Black Tuesday). The Great Depression had devastating effects in countries rich and poor. Personal income, tax revenue, profits and prices dropped, while international trade plunged by more than 50%. Cities all around the world were hit hard, especially those dependent on heavy industry. Some economies started to recover by the mid-1930s.

Start Even after the Wall Street Crash of 1929, optimism persisted for some time; John D. Economic indicators Causes General theoretical explanations. Financial crisis of 2007–2008. The TED spread (in red) increased significantly during the financial crisis, reflecting an increase in perceived credit risk. The financial crisis of 2007–2008, also known as the Global Financial Crisis and 2008 financial crisis, is considered by many economists the worst financial crisis since the Great Depression of the 1930s.[1] It resulted in the threat of total collapse of large financial institutions, the bailout of banks by national governments, and downturns in stock markets around the world. In many areas, the housing market also suffered, resulting in evictions, foreclosures and prolonged unemployment.

In the immediate aftermath of the financial crisis palliative fiscal and monetary policies were adopted to lessen the shock to the economy.[19] In July 2010, the Dodd–Frank regulatory reforms were enacted in the U.S. to lessen the chance of a recurrence.[20] Background[edit] Share in GDP of U.S. financial sector since 1860[27] The U.S. Subprime lending[edit] Krach. Commanditaire Line-up Fin de projet Économie et affaires | Ligne du temps Épisode 1 - Les architectes de la ruine Diffusion : vendredi 14 janvierLa série nous transporte dans les coulisses de la finance mondiale où un redoutable mélange d'excès, de négligence et de criminalité a infecté le système financier et semé les germes de la catastrophe à venir. Épisode 2 - Le tsunami qui a balayé le monde Diffusion : vendredi 21 janvierÀ New York, la faillite de la banque Lehman Brothers provoque une panique sans précédent dans les milieux politiques et financiers.

Épisode 3 - Le prix à payer Diffusion : vendredi 28 janvierLes effets du krach se font sentir. Épisode 4 - Des lendemains amers Diffusion : vendredi 4 févrierL'indignation de la population mène à la création de nombreuses commissions d'enquête, afin d'identifier les responsables du krach. Conjoncture : Comment la Chypre en est arrivée là… INFOGRAPHIE - Les banques chypriotes, dont les actifs pèsent huit fois le PIB du pays, ont été entraînées par la Grèce où elles ont perdu 5 milliards d'euros.

Mais cette crise s'est greffée sur un pays déjà fragilisé par les déficits et la récession. La petite république de Chypre a beau ne peser que 0,2 % du PIB de la zone euro, les chiffres évoqués à propos de son sauvetage financier donnent le vertige. Qu'on en juge: le besoin de financement évoqué ces derniers mois tourne autour de 17 milliards d'euros, soit l'équivalent du PIB du pays. Comment la moitié sud de l'île, membre de la zone euro depuis 2008, souvent surnommée la «Suisse de la Méditerranée», en est-elle arrivée là? La première réponse tient en un mot: Grèce. La République de Chypre, dont le petit million d'habitants est orthodoxe et parle grec, était particulièrement exposée à la situation financière d'Athènes.

Or, à Chypre, la fragilité du système bancaire conditionne bien plus qu'ailleurs toute l'économie. Conjoncture : Zone euro: réduire la facture du sauvetage chypriote. Faute d'une aide extérieure d'ici le mois de mai, Nicosie risque le défaut de paiement. Les besoins financiers de l'île sont estimés à 17 milliards d'euros. Le sauvetage de Chypre entre dans une phase décisive. Il est au menu d'une réunion extraordinaire des ministres des Finances de la zone euro, ce vendredi, à Bruxelles.

Le nouveau président chypriote, le conservateur Nicos Anastasiade, a fait le point de la situation financière de l'île, au sommet de la zone euro, jeudi soir. Pour Chypre, le temps presse: faute d'une aide extérieure d'ici le mois de mai, Nicosie risque le défaut de paiement. Et la zone euro entrerait à nouveau dans une zone trouble. Malgré sa petite taille, l'île menace la stabilité de la zone euro car ses banques ont d'importantes filiales en Grèce. Les blocages sur le sauvetage portent à la fois sur les conditions de l'aide et l'enveloppe nécessaire. Arsenal antiblanchiment » Dernière ligne droite à Bruxelles pour sauver Chypre. Chypre refuse le "hold-up" bancaire de Bruxelles.

Chypre, l’île bénite de la Méditerranée à qui tout semblait sourire après le drame de sa division après l’invasion de l’armée turque au Nord en réaction au coup d’Etat des Colonels grecs. Chypre qui pouvait hier encore se prévaloir d’être une exception avec un PIB mirobolant pour la région, avec un chômage quasi-inexistant, une entrée en fanfare dans la zone euro en 2008, une présidence européenne réussie il y a à peine 6 mois. Chypre qui est aujourd'hui au bord de la banqueroute… Personne n’a rien vu venir. On aurait cependant dû avoir la puce à l’oreille quand le président sortant Dimitri Christofias - communiste, encore une exception en Europe! - a pleuré durant son discours en annonçant qu’il ne se représentait pas et en prononçant une phrase que personne n’a entendu ou voulu entendre : Je ne veux pas être celui qui va demander des sacrifices au peuple chypriote". "Mesure dictatoriale" et "viol moral" Pierre Moscovici, le ministre français de l'économie, est sur la même longueur d'onde:

Conjoncture : Le Parlement chypriote rejette la taxe sur les dépôts. Pour la première fois, les députés d'un pays de la zone euro votent contre un plan de sauvetage de Bruxelles. Le résultat était annoncé, attendu et a été approuvé par l'intégralité des partis: le Parlement chypriote a rejeté hier soir le plan de sauvetage européen à 36 voix contre et 19 abstentions. Chypre est ainsi le premier pays de la zone euro à refuser le plan de sauvetage proposé par l'Union européenne (UE). Après deux heures et demie de débats sous tension, les députés ont suivi les consignes de vote de leur parti.

Le Disi, parti majoritaire, s'est abstenu «mais nos partenaires européens doivent comprendre qu'il ne faut pas nous jeter hors de la zone euro pour autant. Ne nous laissez pas tomber dans le ravin. Que Dieu nous garde!» , a lancé Averof Neofytou, du parti majoritaire. Cette situation inédite en Europe et de facto à Chypre fragilise grandement le gouvernement. Refus du chantage Chypre joue la montre pour éviter un défaut de paiement. » Comment Chypre en est arrivée là. Le Parlement chypriote adopte le plan de restructuration des banques. Des Chypriotes retirent leurs épargnes d'une banque en difficulté. Photo : AFP/LOUISA GOULIAMAKI Les députés de Chypre ont adopté vendredi le plan de restructuration du système bancaire, qui s'inscrit dans le plan de sauvetage que le gouvernement doit conclure avec ses partenaires européens.

Cinq autres projets de loi demeurent en suspens jusqu'à la reprise des travaux. Un de ces cinq textes prévoit notamment une taxe exceptionnelle de 15 % sur les dépôts bancaires supérieurs à 100 000 euros. La loi sur la restructuration des banques, la plus disputée des trois votées vendredi soir, a été adoptée par 26 voix pour, deux contre et 25 abstentions. Les députés ont également approuvé un texte créant un fonds de solidarité et un autre limitant les mouvements de capitaux pour éviter une trop forte pression sur les banques à leur réouverture, prévue mardi.

Jeudi, la BCE a prévenu qu'elle couperait les vivres aux banques chypriotes au début de la semaine prochaine si aucun accord n'était conclu. Les oligarques donnent une leçon à l'UE: l'argent des Russes conservé. Flash Eco : Chypre: une commission traque les fonds sortis de l'île. Une commission de surveillance du Parlement a demandé aujourd'hui à la Banque centrale de Chypre de lui fournir la liste des personnes ayant transféré des fonds hors de l'île avant l'annonce d'un plan de sauvetage européen prévoyant une ponction sur les comptes bancaires.

Le président chypriote Nicos Anastasiades avait annoncé lundi l'ouverture d'une enquête criminelle sur l'origine des difficultés des banques chypriotes. "Nous avons donné notre autorisation de publier toute information concernant d'éventuels retraits substantiels ayant été effectués dans des banques locales ou sur des transferts vers l'étranger", a affirmé le chef de la commission parlementaire, le député du parti socialiste Edek, George Varnava, ajoutant qu'il avait demandé la liste des personnes ayant fait des transferts.

Les grecs retirent leur argent après la réouverture des banques chypriotes. «J’ai réussi à retirer la plupart de mon argent» dit Nikos Drilis, un Grec qui a confié ses économies à une banque chypriote et qui ne cache pas son énervement en sortant de son agence à Athènes, qui a rouvert mercredi après onze jours de fermeture et de crise bancaire à Chypre. «Je considérais la Bank of Cyprus comme fiable. Maintenant, le climat est très inquiétant et s’aggrave, les gens à l’intérieur sont agacés», souligne ce fonctionnaire, père de famille de 47 ans, qui perçoit depuis quinze ans son salaire dans cette banque. Comme une quarantaine d’autres personnes qui attendent en file devant la porte dans le centre d’Athènes, il est arrivé très tôt, avant la réouverture des guichets. A l’intérieur, un haut responsable estime «logique» l’angoisse des clients après la restructuration bancaire chypriote négociée au forceps entre Chypre, la zone euro et le FMI au cours du week-end, qui fragilise l’ensemble de la zone euro.

«On tente de calmer nos clients», explique-t-il à l’AFP. Chypre suspendue au risque du "bank run" LE MONDE | • Mis à jour le | Par Benoît Vitkine Nicosie, envoyé spécial. Scène de rue ordinaire à Nicosie : devant le distributeur automatique d'une banque de la capitale chypriote, mardi 26 mars, une petite file s'est formée sous le soleil de la mi-journée. Ils ne sont guère plus de trois ou quatre à se relayer à la machine. Chacun repart tranquillement, avec 120 euros en poche, le montant maximal, revu à la baisse, pour cette agence de la Bank of Cyprus. "On s'est habitués, soupire Stavros Charalambous, un père de famille qui travaille dans la restauration. Au début, les gens ont pris peur et se sont rués dans les banques, mais maintenant ils viennent seulement retirer selon leurs besoins. Jeudi 28 mars, le saut dans l'inconnu, le jour où les banques du pays, fermées depuis le 16 mars, doivent rouvrir. A quelques blocs de là, quelques centaines d'employés de la Bank of Cyprus manifestent sous la façade de verre de la Banque centrale.

Les Européens ne s'en sont pas cachés. Après son refus de payer sa dette, l’Islande fera le triple de la croissance de l’UE en 2012. Après Chypre, encore plus d’austérité pour la Grèce. Le pillage financier de Chypre par l’Union européenne marque un tournant qualitatif dans les mesures d’austérité brutales imposées à tout le continent. Les 10 milliards d’euros de l’UE pour renflouer les banques sont conditionnées à la destruction du secteur bancaire de l’île dans l’intérêt des sections les plus puissantes du capital financier. Les dépôts bancaires supérieurs à 100 000 euros ont été razziés, et des contrôles stricts des capitaux sont en place. Le ministre des Affaires étrangères de Chypre Ioannis Kasoulides a dit que ceux-ci pourraient durer « jusqu’à un mois. » Bien que des commentateurs disent qu’ils s’attendent à ce que ces contrôles restent en place pendant des années. Le renflouement est lié à des coupes drastiques dans les dépenses et à des privatisations.

En même temps, des exigences d’une austérité plus grande sont présentées à la Grèce, qui est en récession depuis cinq ans, suite aux mesures de l’UE. Robert Stevens. L'austérité en Grèce a fait exploser le nombre de suicides et de meurtres. Les mesures drastiques d'austérité imposées en Grèce pour assainir les finances publiques du pays se sont accompagnées d'une explosion des suicides, des meurtres et d'une détérioration de la santé publique, selon une étude américano-grecque, publiée jeudi 18 avril. Le taux de mortalité résultant de suicides et d'homicides a augmenté de 22,7 % et de 27,6 % respectivement de 2007 à 2009 surtout parmi les hommes, précisent les auteurs de ce rapport publié dans l'American Journal of Public Health, en se basant sur les statistiques du gouvernement. Ils ont aussi constaté un accroissement du nombre de cas de troubles mentaux, d'abus de drogue et même de maladies infectieuses provoquées par le virus du Nile occidental et du sida.

Ces phénomènes ont coïncidé avec une forte hausse du chômage à la suite de la crise économique de 2007 dont le taux est passé de 7,2 % en 2008 à 22,6 % au début de 2012.