background preloader

À trier

Facebook Twitter

Chers manifestants. L'ASSE se moque du règlement sur les manifestations. L'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSE) a lancé une action coup-de-poing au parc Émilie-Gamelin, lundi matin, en apposant de grandes affiches dénonçant le règlement P6 et en entourant la place avec du ruban jaune, comme s'il s'agissait d'une scène de crime.

«Attention: aucune manifestation dans ce périmètre. Respectez le règlement P6. Gardez ce secteur exempt de liberté d'expression», pouvait-on lire sur une grande affiche d'environ quatre mètres sur trois. «Les terroristes masqués seront appréhendés», lisait-on sur une autre, sur laquelle on remarquait la tête d'un panda, barrée d'un trait rouge. «On met de grandes bannières pour dire aux gens: non, vous ne pouvez pas manifester, la liberté d'expression est suspendue dans ce secteur au parc Émilie-Gamelin», a expliqué le porte-parole de l'ASSE, Jérémie Bédard-Wien, qui a participé à l'affichage, avec une dizaine d'autres militants. Arrêtée pour avoir diffusé la photo d'une affiche anti-police | Philippe Teisceira-Lessard. L'image représente le patron des communications du corps de police, Ian Lafrenière, avec une balle dans la tête. La jeune femme de 20 ans, qui sera accusée de harcèlement criminel, s'appelle Jennifer Pawluck.

Elle jure n'avoir rien à voir avec la conception ou la réalisation de l'affiche, collée selon elle sur le mur extérieur d'un supermarché du quartier Hochelaga-Maisonneuve. «Je marchais dans le coin. Mon ami m'a dit de regarder et je l'ai pris en photo», a plaidé Mme Pawluck en entrevue avec La Presse. Elle l'aurait ensuite diffusé sur les réseaux sociaux. Ces faits se seraient produits vers la fin de semaine dernière. «Je n'ai pas fait de menace ou rien, alors je ne regrette pas vraiment. Mais le Service de police de la ville de Montréal (SPVM) dit ne pas entendre à rire avec de telles images. «Ce que je peux dire, c'est qu'une personne a été arrêtée ce matin en lien avec des menaces sur internet», a indiqué Dany Richer, du SPVM. Contestation de la loi spéciale Labeaume - Règlement à Québec (#1959)

Conseil national et présidence d'Option nationale - Option nationale. 637 $ pour manifester | Le téléjournal 18 h. SQ à Victoriaville: armes controversées? Stationnement illégal d'un policier. Alors que son véhicule était stationné illégalement, un policier a été vu attablé à l'intérieur d'un restaurant chinois de la rue Jarry dans le nord de Montréal. Les photos ont été prises mardi sur l'heure du dîner par un citoyen qui a trouvé le geste arrogant. «Si je m'étais stationné là, même pour deux minutes avec les clignotants, j'aurais pu me retrouver avec une contravention et lui, il peut se permettre de stationner de cette façon le temps d'un lunch sans problème?

J'aurais compris s'il avait été en intervention, mais c'était loin d'être le cas. Il a été là au moins 5 à 10 minutes dans le restaurant.'', nous dit-il. (Crédit photo: Daniel C., Montréal) Au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), on reconnaît que l'agent n'aurait pas dû stationner sa voiture de cette manière alors qu'il allait s'acheter à manger. «En dehors des interventions, les policiers doivent respecter les mêmes règles de stationnement que les citoyens. Montreal’s assault on democracy. Throughout most of Canada, the right to protest peacefully is free.

In Montreal, it costs you $637. Within the span of a week, almost 500 peaceful protesters in Montreal have been arrested and handed hefty $637 fines by the Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). These fines were handed out after three protests, which took place on March 15, 20, and 22, respectively. All three of these demonstrations have followed the same pattern: protesters begin to assemble at a pre-determined point, the police charge the protesters to separate them into small groups, and then the protesters are kettled (surrounded by police officers and pushed into a small circle). Once contained, they are arrested or fined. These actions have been justified by referring to Montreal’s Municipal Bylaw P-6, which requires, among other things, that masks not be worn during protests and that protest organizers file advanced notice of the intended route of any demonstration.

Nonsense. National Post. Liberté de réunion pacifique: leadership politique recherché. Photo : A. Gravel / CC2.0 By-ND2.0 Il y a quelque chose de troublant au royaume des libertés fondamentales au Québec. Jusqu’à l’étranger, on aura passé des semaines à ergoter sur la «liberté d’expression» d’un restaurateur parce que l’Office québécois de la langue française (OQLF) lui aurait reproché d’utiliser des mots italiens comme «pasta» dans son menu alors que dans les faits, la plainte originale portait sur l’anglais d’un menu «anglais-italien» sans trace de français. Par contre, quand le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) prend l’initiative de tuer dans l’oeuf des manifestations et ce faisant, empêche délibérément des citoyens d’exercer leurs libertés fondamentales d’expression et de réunion pacifique, le gouvernement acquiesce.

On en perd son latin. Force est de constater que depuis l’adoption du budget Marceau – hormis quelques exceptions -, le gouvernement n’a plus de «gauche» que son propre collier de décisions politiques mal avisées. Contexte Et pourtant… Droit de manifester publiquement - Option nationale souhaite des modifications au P-6 - Option nationale. Pascal Henrard: Police: une efficacité à deux vitesses. RÉTRO 2013 - Vendredi, la police de Montréal a démontré son efficacité en encerclant, arrêtant et verbalisant un groupe de manifestants en moins de temps qu'il n'en faut à matricule 728 pour faire la différence entre une guitare et un bâton de dynamite.

Pour la troisième fois en trois semaines, le SPVM a donc sévi contre de dangereux piétons de tous âges qui s'engageaient sur la chaussée habituellement réservée aux automobilistes impatients. Ces marcheurs pacifiques qui étaient sortis de chez eux pour manifester leur courroux, leur désaccord ou, tout simplement, leur désœuvrement n'avaient, au moment de leur arrestation, rien fait d'autre que participer à une promenade en plein air sur la voie publique. Je ne jugerai pas la pertinence d'une énième manifestation. Comme tout le monde, j'avais du ménage à faire, un souper sur le feu et des impôts à payer. Le billet de Pascal Henrard se poursuit après la galerie Twitter Loading Slideshow. Le projet de loi C-54 du gouvernement Harper sur la non-responsabilité criminelle jugé dangereux. VANCOUVER - La position de fermeté adoptée par le gouvernement Harper concernant les délinquants souffrant de troubles mentaux ne contribuera pas à réduire la criminalité et pourrait même avoir l'effet inverse, selon le Canadian Forensic Mental Health Network, un réseau national pour la promotion de l'excellence des services de psychiatrie judiciaire.

Ses membres sont à rédiger un avis qu'ils espèrent soumettre prochainement au comité parlementaire chargé d'étudier les modifications proposées au Code criminel concernant la non-responsabilité criminelle. La pièce-maîtresse de cette réforme est la création d'une catégorie de personnes «à haut risque» parmi celles ayant été déclarées non criminellement responsables pour cause de troubles mentaux. Ces délinquants ne pourraient être libérés sans le consentement d'un juge, ne pourraient être admissibles à des sorties en solo et verraient leur période d'examen passer de 12 à 36 mois. L'ASSÉ prépare son plan d'action: manifestations et grèves ne sont pas écartées. MONTRÉAL - Le plus radical des regroupements étudiants, l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ), n’abandonne pas sa lutte pour la gratuité scolaire et se dotera d’un plan d’action stratégique le 6 avril prochain dans le cadre d’un congrès à Québec.

La coporte-parole de l’ASSÉ, Blandine Parchemal, indique que les associations membres procèdent actuellement à des votes pour définir la stratégie à suivre au cours des prochaines semaines. Mme Parchemal n’écarte aucun moyen de pression, que ce soit des manifestations, des débrayages occasionnels et même une grève générale illimitée à plus long terme. La coporte-parole affirme qu’une nouvelle lutte débute pour contrer l’indexation des frais de scolarité imposée par le gouvernement Marois. Blandine Parchemal estime que le «printemps érable» a été une grande victoire pour le mouvement étudiant, et qu’une deuxième vague de contestation pourrait contribuer à faire reculer le gouvernement.

Mise en demeure. Violence : voici le mot magique qu’il suffit aujourd’hui d’évoquer pour trouver une tribune, enfin, si elle est compatible avec l’idée grotesque que s’en est faite, hélas, une trop grande partie de la population. Il fut même bon ton le printemps dernier de rivaliser d’audace et d’esprit pour dénoncer un regroupement étudiant en lutte qui peina à la condamner publiquement. Ah ! Comme elle eût été bien servie la justice s’ils avaient conservé un peu de leur morgue pour demander aux « forces de l’ordre » de faire preuve de jugement. D’ailleurs, parlons un peu de l’attitude de ces derniers. Mais qu’est-ce qui distingue la police des gangs criminels, je vous le demande ? Les deux n’emploient-ils pas la violence et, de fait, ne commettent-ils pas des actes proscrits par la loi pour arriver à leurs fins ?

Ne protègent-ils pas tous deux les leurs ? Heureusement, nous avions un saint à l’Hôtel de Ville pour veiller sur nous. Trêves de sarcasmes : l’heure est grave. Ça suffit. Montréal. Pirates vs Ninjas : la manifestation [Photos et Article] | La Boîte Rouge. (Pour votre plus grand plaisir, une série de photos argentiques ont été ajoutées) «Une flotte unie jamais ne sera coulée», «Le patronat au katana», «Dans le bateau avec nous»; Tel était le type de slogan scandé lors de la manifestation du 24 mai où pirates et ninjas ont formé une alliance pour contrer les forces de l’ordre montréalaise. «Le capitaine nous fait la guerre, guerre au capitaine» Déclaré illégal dès son commencement, le rassemblement a tout de même regroupé quelques centaines de personnes qui ont pris d’assaut le pavé en direction d’Outremont où deux dizaines de policiers les attendaient de pied ferme, barrant ainsi la rue où demeure Jean Charest. Avec aucun itinéraire dévoilé, une marche à contresens de la circulation, plusieurs visages masqués et bien entendu, plus que 50 participants, la manifestation se trouvaient ainsi doublement extralégale, tant au niveau provincial que municipal.

«Ninja masqué jamais ne sera fiché» «Du rhum, des femmes et la gratuité scolaire!» Aimer : Manifestation du 22 mai [Photos et Article] | La Boîte Rouge. Un vox-pop réalisé durant la manifestation disponible ici. Parcours Une manif qui a commencé tranquillement. On aurait vraiment dit qu’il y avait moins de gens que le 22 mars. Certains estiment 200 000, d’autres 300 000. Nos estimations tournent entre 200 000 et 250 000. En fait c’est que les gens étaient éparpillés partout à la place des arts. En arrivant à la rue Sherbrooke, nous sommes allés vers l’ouest. Sur René-Lévesque, nous sommes retournés vers la Place-des-Arts. Jeux Nous nous sommes arrêté environ 5 fois pour des périodes assez longues sans jamais arriver proches la fin de la manif. Bilan La particularité du 22 mai par rapport au 22 mars, c’était l’énergie des gens.

Notre équipe vox-pop nous a mentionné avoir croisé 3 autres manifs, dont une ayant brisé des vitrines de banques. Photographe : Coralie Lemieux-Sabourin Aimer : J’aime chargement… Grande MaNUfestation du Grand Prix de F1 – 7 juin [Photos et Article] | La Boîte Rouge. N’hésitez pas à nous demander de retirer une photo de vous si cela vous importune. Les uns sur les nerfs, les autres les fesses à l’air Il est 19h30 à la Place du Canada et l’ambiance est fébrile. Les manifestants rassemblés ne sont couverts que de leur plus belle peau.

Ils sont plus nombreux, dégênés et originaux que lors du dernier rassemblement de tous-nus. Certains corps sont des toiles vivantes; complètement peints de rouges, roulés dans les paillettes, ou marqués de slogans au goût du jour. C’est le vent dans le poil de fesse que démarre la marche en direction du cocktail d’ouverture de l’événement contesté. Les slogans scandés provoquent souvent l’hilarité. Les touristes que l’on croise admirent le mouvement à travers l’écran de leurs appareils cellulaires qui filment le tout. « Si tu prends des photos, enlève le haut! Le soleil commence à peine à se coucher que les premiers feux d’artifice éclatent au dessus des têtes. Puis, devant McGill, la tension monte d’un coup. Aimer : Avoir peur de la police, pas des manifs – Droit criminel citoyen – Véronique Robert. 23 mars 2013 10h43 · Véronique Robert Ce matin, dans La Presse, on pouvait lire ceci: «Depuis les trois dernières manifestations, nous intervenons plus rapidement, a confirmé le sergent Jean-Bruno Latour, porte-parole du SPVM.

Il ne faut pas prendre en otage les citoyens qui veulent venir au centre-ville de Montréal. Le Charte [des droits et libertés] protège le droit d’expression, mais il n’y pas de droit de manifestation» Cette assertion aussi hurluberlue qu’affolante, alarmante, effrayante d’un policier du Service de police de la ville de Montréal mène à deux constats: Le premier, les policiers devraient impérativement suivre plus de cours de droit dans le cadre de leur formation. Le second, ça ne va pas du tout au Québec actuellement, et ça fait peur.

La Charte canadienne des droits et libertés, qui est le document de protection des droits fondamentaux régissant les rapports entre l’État et les individus, protège clairement le droit de manifester. 1. C’était il y a huit ans. Le gouvernement Marois doit réhabiliter le droit de manifester et empêcher les arrestations de masse. Québec solidaire demande au gouvernement Marois et à la Ville de Montréal de ne plus recourir à des arrestations de masse. Les Solidaires tiennent à joindre leur voix à celle des autres organisations pour dénoncer les nombreuses arrestations arbitraires lors des dernières manifestations, alors qu’aucun méfait n’a été commis. « Les arrestations injustifiées m’ont profondément indignée, raconte Manon Massé, candidate de Québec solidaire dans Sainte-Marie Saint-Jacques. Je ne pense pas qu’un règlement municipal ait préséance sur la charte des droits et libertés.

On bâillonne les gens qui manifestent pacifiquement alors qu’une certaine violence policière se poursuit dans l’impunité la plus totale. Je demande à tous les partis politiques présents sur la scène municipale de Montréal d’abroger le règlement qui oblige les organisateurs des manifestations de dévoiler à l’avance leur itinéraire », ajoute-t-elle. « On arrête sans discrimination. 500 manifestants déambulent pacifiquement dans les rues de Québec. La manifestation s'est déroulée dans le calme jeudi soir à Québec. Environ 500 personnes ont marché pacifiquement en appui au mouvement étudiant, jeudi soir, à Québec. À l'opposé de la manifestation de la veille, où 176 constats d'infraction ont été remis, la police n'a procédé à aucune arrestation pendant le rassemblement. Lors du démantèlement de la marche, vers 23 h 30, quatre personnes ont été interpellées pour des infractions au code de la sécurité routière.

Un manifestant déguisé en banane a notamment été intercepté par les policiers, qui lui ont remis une contravention. La professeure de philosophie Valérie Guilloteau. Les manifestants se sont rassemblés vers 20 h devant l'Assemblée nationale avant d'entamer leur manifestation. Mais les participants ont tout de même vécu un dilemme, comme l'explique un des manifestants, Benjamin Tessier. « Tout le monde se pose un peu la question : est-ce qu'on donne le trajet où on ne le donne pas?

Manifestation festive. René Forget - Retour sur le refus du SPVM de faire enquête. Manifestations - Sur la nécessité d'afficher le matricule des policiers. Identification des policiers : l'impunité. Le Québec vibre. Quelques photos de la manifestation des juristes. Un an après le 22 mars - Mémoire d’un printemps qui chauffe la couenne. Trajets de manifs : la CRAP dénonce les foutaises du SPVM | la C.R.A.P. Conflit étudiant | Grève, conflit, étudiants, droits de scolarité, Québec, Charest | LaPresse.ca. La nuisance de la CLASSE.

Le conflit des droits de scolarité en 17 tableaux | Visuel. Frais de scolarité - Un comptable défait le mythe de la quasi gratuité actuelle avec les retours d'impôt. Combat juridique pour la notion d’égalité en éducation française. Grand tintamarre contre la loi 78 - Les casseroles s’en mêlent. Un pari risqué | Michèle Ouimet | Michèle Ouimet. Pardon pour la casserole. Au Québec, même les alouettes sont en colère. Should protesters post police photos and info online? | Day 6 with Brent Bambury | CBC Radio. Règlement sur les manifestations - Breton s’interroge sur le travail des policiers. Manifestations étudiantes - Près de 700 arrestations. Pourquoi je manifeste malgré les coups de matraque.