background preloader

Continent asiatique

Facebook Twitter

Le monde arabe se solidarise-t-il enfin avec la Palestine ? -- Abdel Bari Atwan. Le mouvement de la résistance de Gaza progresse et obtient des résultats sans précédent dans sa lutte contre la machine de guerre israélienne qui s’est une fois de plus déchaînée contre lui. Personne ne fera rendre grâce à la résistance gazaouie. Ca a été un moment vraiment historique quand les Israéliens - et non les pauvres habitants de Gaza- ont été obligés de courir vers les abris lorsque les sirènes ont annoncé l’arrivée des missiles Farj dans le centre de Tel Aviv. Les Israéliens en avaient perdu l’habitude pendant la longue période de paix et de sécurité qui avait précédé l’assaut.

Leurs leaders n’ont jamais hésité à perpétrer massacre après massacre chez les Palestiniens - faisant exploser des corps d’enfants avec leurs missiles, leurs bombes et leurs fusils. Le meurtre des élèves de l’école primaire Bahr al-Baqar en Egypte et celui des réfugiés du camp de Jénine en Cisjordanie font partie de la longue liste de leurs crimes. Abdel Bari Atwan. Yasser Arafat, la Palestine au coeur. Huit ans après sa mort qui a éveillé les soupçons de la justice française, rappel de la vie et de l'oeuvre politique du président Arafat, avec le portrait dressé par Paul Euzière, membre du comité de rédaction de Recherches internationales, publié par l'Humanité en 2004.

Le président palestinien Yasser Arafat est, avec Fidel Castro et Nelson Mandela, l'une des trois grandes figures qui, de leur vivant et de façon décisive, auront marqué l'histoire du monde durant une large part du XXe siècle et au début du XXIe, par leur capacité à incarner l'aspiration de leurs peuples à la dignité. Yasser Arafat, c'est d'abord une volonté forgée au rythme des victoires et des défaites de la revendication nationale palestinienne. Très tôt l'homme va s'identifier totalement avec la cause palestinienne, qu'il entendra parfois représenter à lui seul.

"Où êtes-vous, ô Arabes? " Deux Etats Enfin, le 2 mai 1989 Yasser Arafat est reçu à Paris. Détermination quasi gaullienne A lire aussi: Leur démocratie est un miroir aux alouettes. Toute l’hypocrisie qui tourne autour des événements en Syrie, tous les discours mensongers, toutes les fausses bonnes intentions et les promesses en toc ne peuvent pleinement se comprendre sans avoir analysé le cas du Bahreïn, cette petite île située au large des côtes du Qatar et de l’Arabie saoudite. Le Bahreïn est encore gouverné aujourd'hui par le roi Hamad ben Issa Al-Khalifa, mais le monarque a été ébranlé en février 2011 par un gigantesque mouvement de protestation (le plus important de toute l'histoire de l'île) appelé « la Révolution de la perle » (le Bahreïn est un fabricant de perles bien connu, et la place principale de s’appelle à juste titre Pearl Square).

Suivant les exemples tunisien et égyptien, la majorité chiite de Bahreïn (près de 75 % de la population) organisa ses premières journées de la colère, exigeant l'abdication du roi sunnite et la mise en place d'un gouvernement qui reflétât la majorité populaire chiite trop longtemps éloignée des sphères du pouvoir. Gaza, assassinats et désinformation. Pour comprendre l’escalade à Gaza, il faut toujours rappeler quelques données sur ce territoire (360 kilomètres carrés, plus de 1,5 million d’habitants, soit plus de 4 500 personnes par kilomètre carré — ce qui en fait un des endroits de la planète où la densité de population est la plus élevée), occupé depuis 1967 par Israël.

Même si l’armée s’en est retirée, ses accès avec le monde extérieur sont toujours contrôlés par Israël ; la circulation à l’intérieur même de cette mince bande de terre est limitée et le blocus mis en place depuis des années perdure : pour les Nations unies, Gaza reste un territoire occupé. Les données qui suivent sont fournies par le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires dans les territoires palestiniens (OCHA oPt), dans un document de juin 2012 intitulé : « Five Years of Blockade : The Humanitarian Situation in the Gaza Strip » : 34 % de la population (et la moitié des jeunes) est au chômage.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes... La guerre d'Israël contre la vérité. RT. Guerre psychologique et militaire sur Gaza S/T. Michel Collon - Les 10 Grands Média-mensonges d'Israël (complet) Etre Juif en Iran. Iran : un think-thank pro-israélien à une idée pour déclencher la guerre. L’enquête implacable d’un Chinois sur les 36 millions de morts de Mao. « Stèles » de Yang Jisheng Ce livre est un monument. C’est d’abord une recherche historique exceptionnelle qui documente de manière implacable des faits connus mais jamais autant étayés ; c’est aussi un monument à la mémoire d’un père, victime de la tragédie que raconte ce livre. « Stèles : la grande famine en Chine, 1958-1961 », du journaliste chinois Yang Jisheng, documente la plus grande catastrophe politique et humanitaire du XXe siècle, les 36 millions de morts de la famine due au Grand Bond en avant, un plan de développement économique désastreux lancé par Mao Zedong.

Yang Jisheng a aujourd’hui 71 ans et, de ce fait, ne craint rien, ni représailles du pouvoir, ni carrière brisée pour avoir publié le fruit de ses recherches d’abord à Hong Kong, puis dans le reste du monde. Le livre, évidemment, est introuvable officiellement en Chine, même si l’on sait qu’il circule sous le manteau. Ce journaliste n’est pas un dissident. Affiche de propagande maoiste Le Grand Bond en avant. Billet d’humeur du samedi 22 septembre 2012 (Il y a 30 ans, du 16 au 18 septembre 1982 : un massacre programmé dans les camps palestiniens de Sabra et Chatila) | noir gAzier – Fédération Anarchiste Bethune-Arras.

En ce samedi 22 septembre 2012, quoi de neuf en ce monde ??? Le 16 septembre 1982, les miliciens des Phalanges chrétiennes libanaises, une organisation d’extrême droite, entraient dans les camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila à Beyrouth-Ouest avant de massacrer systématiquement, pendant trois jours, la population désarmée, faisant entre 1 500 et 3 000 morts. C’est seulement la révélation de cette tuerie et les réactions en Israël même, dans les pays arabes et dans le monde entier qui allaient obliger les tueurs à quitter les lieux, et leurs protecteurs et donneurs d’ordres, l’état-major israélien, à arrêter le massacre. Depuis le 6 juin 1982, l’armée israélienne avait déclenché l’opération « Paix en Galilée », officiellement pour mettre la population civile israélienne hors de portée des « terroristes » palestiniens installés au Sud- Liban et y créer une zone de sécurité de 40 km.

Installé sur le toit d’un immeuble voisin, le commandement israélien observa tout. "L'amitié indéfectible" entre Israël et les Etats-Unis : le plus grand mythe de la politique américaine ? (Counterpunch) par Jonathan COOK. Il s’agit peut-être du plus grand des mythes politiques américains sur lequel chaque candidat à la présidence insiste à nous en donner la nausée pendant les campagnes électorales. Le président Barak Obama a affirmé que les Etats-Unis entretenaient une lien privilégié avec Israël, différent de celui qu’ils avaient avec n’importe quel autre pays. Il a qualifié cette amitié "d’indéfectible", éternelle" et "unique", "ancrée dans un intérêt commun et de profondes valeurs communes". Son rival, Mitt Romney, a été plus loin encore en disant qu’il "n’y a pas la moindre différence entre nous et notre allié Israël".

Un récent slogan électoral de Romney, suite à sa visite de l’été en Israël, exaltait cette "relation profonde et précieuse". Mais, bien que ces déclarations semblent être l’expression d’un consensus apparent à Washington, la réalité est que cette précieuse amitié n’est qu’un conte de fée. Cette méfiance a été particulièrement difficile à cacher en ce qui concerne l’Iran. Jonathan Cook. Les mêmes dynamiques volatiles - Sabra-Shatila 1982 ; Iran 2012 ? par BARRY LANDO, Counterpunch, 17 sept 2012. Rien n’a davantage alimenté cette colère que le massacre d’au moins 800 réfugiés Palestiniens à Beyrouth le 16 septembre 1982 dans les camps de Sabra et Shatila. Il faut absolument lire l’article d’opinion paru aujourd’hui dans le New York Times qui parle de la complicité des Etats-Unis dans ce massacre si on veut comprendre les dynamiques à l’oeuvre entre les dirigeants israéliens et étasuniens.

Il est hélas opportun de faire le rapprochement avec les pressions virulentes actuelles du premier ministre israélien Netanyahu pour que les Etats-Unis soutiennent une attaque contre les installations nucléaires iraniennes. Après l’invasion israélienne, le président Reagan avait envoyé plusieurs centaines de Marines étasuniens à Beyrouth pour aider à mettre en place un cessez-le-feu et pour superviser l’évacuation de milliers de combattants palestiniens vers d’autres pays arabes.

"Monsieur Draper, sans s’émouvoir, a continué à insister pour que le retrait s’effectue. Barry M. Lando Barry M. Russie : des ONG agents de l'étranger. Récemment, le parlement russe a adopté une loi dite « ONG, agents de l’étranger ». La dénomination est peu flatteuse. Sont ciblées les ONG menant des activités politiques sur le territoire russe et dont les financements viennent de l’étranger. Dorénavant en Russie, les ONG qui reçoivent des fonds de l’étranger devront se faire connaître des autorités. Naturellement, lesdites autorités ont tous les moyens d’investigation nécessaires pour repérer les ONG recevant des fonds de l’étranger et qui auraient oublié de le signaler. Une fois qu’une ONG est qualifiée « d’agent de l’étranger », elle n’est pas interdite, mais soumise « à un régime juridique particulier » qui peut les conduire, en cas d’infraction « à ce régime juridique particulier », à une amende pouvant aller jusqu’à un million de roubles (soit environ 25.000 euros) ou à une peine de prison d’un maximum de quatre ans !

On ne rigole plus ! Vous trouvez que tout ça est un peu dur ? Et qui d’autre proteste ?

Syrie

Lybie. Tibet.