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Education et politique

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Petit coup de gueule d’un patron de startup à l’adresse des services carrières de l’enseignement supérieur. Chers responsables de service carrières d’universités et de grandes écoles, je suis un entrepreneur ne parvenant pas à recruter, frustré par vos services et votre vision rétrograde de l’emploi : je vous écris donc une courte missive au sujet de l’employabilité et de l’insertion professionnelle de vos étudiants.

Petit coup de gueule d’un patron de startup à l’adresse des services carrières de l’enseignement supérieur

Il y a trois semaines, nous décidons de recruter deux jeunes et dynamiques étudiant(e)s en communication et en business développement pour rejoindre l’équipe de LearnAssembly. A notre grande surprise, ces deux stages ont failli être refusé par vos soins. Dans le premier cas, le service carrière menace de bloquer la convention au prétexte que le titre du stage n’est pas assez valorisant. Dans le second cas, l’école exige avec prétention que l’étudiant soit mis en situation de “prise de décision stratégique”. Ces épisodes répétés m’ont amené à me poser une question toute simple : l’enseignement supérieur se préoccupe-t-il sincèrement l’insertion professionnelle de ses étudiants ? Anne Fraïsse : "L’État n’a plus aucune stratégie pour l’université"

Sélection en master : "que l'État tranche !

Anne Fraïsse : "L’État n’a plus aucune stratégie pour l’université"

" "Nous nous attendions à cette dernière condamnation du tribunal de Bordeaux sur la sélection en master. À quoi joue-t-on ? C’est actuellement le tribunal qui détermine si un étudiant a accès à un master. Cette décision pédagogique devient une décision de justice. C’est un débat totalement faussé : on attend de savoir si la loi nous permet ou non de sélectionner, au lieu d’avoir un État qui tranche la question et prend les dispositions en conséquence. La position du ministère est toujours ambiguë. Au-delà de l’idéologie, quelle est la stratégie de l'État pour l’enseignement supérieur ? Joanna Jullien sur Twitter : "Les manuels numériques progresse chez les enseignants @franceinfo #education. L'usage des manuels numériques progresse chez les enseignants. Les livres sont-ils en train de disparaître des cartables des élèves ?

L'usage des manuels numériques progresse chez les enseignants

On n'en est pas encore tout à fait là en France, mais 30% des enseignants utilisent en cours des manuels numériques. Près d’un tiers des enseignants utilisent des manuels numériques. Ce chiffre a doublé en trois ans. France Info vous révèle ce lundi les résultats d'une enquête menée par la Sofres pour les éditeurs scolaires regroupés dans l'association "Savoir Livre". En 2011, les enseignants étaient 16% à utiliser des manuels numériques. Ce sont surtout des profs de maths, de physique, et d'histoire-géographie qui ont mis de côté leurs manuels traditionnels, en papier. Pour la majorité des enseignants, les équipements des collèges et des lycées sont insuffisants, même si les collectivités ont investi depuis trois ans, et moins de la moitié des profs sont formés aux usages du numérique. Nombreuses disparités. Joanna Jullien sur Twitter : "Smiley, ceintures de compétences : l'évaluation à l'école change. Un avis? #education.

Suivez la conférence de presse de François Hollande en direct. Hollande promet « un grand plan numérique » pour l'école. Najat Vallaud-Belkacem à la conquête des présidents d'université. Camille Stromboni | Publié le , mis à jour le "Lorsqu'on m'a proposé de me joindre à vous, je n'ai pas eu d'hésitation car c'était une opportunité : j'attache en effet la plus grande importance à la partie 'Enseignement supérieur et Recherche' de mon ministère.

Najat Vallaud-Belkacem à la conquête des présidents d'université

" À peine nommée, Najat Vallaud-Belkacem est allée à la rencontre des présidents d'université, réunis à Paris pour leur université d'été. La nouvelle ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a ainsi pris la suite, au pied levé, de Benoît Hamon, attendu à ce rendez-vous le 28 août 2014. Elle a prononcé un court discours avant de partager le déjeuner avec les universitaires. "Je sais le rôle structurant que vous jouez dans le parcours des jeunes, et à quel point l'université est porteuse de valeurs", a-t-elle assuré aux présidents.

Un premier déplacement apprécié "Elle a su nous parler avec des mots simples mais très politiques. Lire le communiqué du Snesup (pdf) (août 2014)