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T.A.P.

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Histoire

8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le 8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (ou 8e RPIMa) est une unité de l'armée française. Il a été créé le en Indochine, il s'appelait alors le 8e BPC (Bataillon de parachutistes coloniaux), ses soldats portent le béret rouge. Le régiment appartient à la 11e brigade parachutiste. Création et différentes dénominations[1][modifier | modifier le code] : création du 8e bataillon de parachutistes coloniaux (8e BPC) à Hanoi (Indochine) : devient le 8e groupement de commandos parachutistes (8e GCP) : devient le 8e bataillon de parachutistes de choc (8e BPC) : dissolution du 8e BPC : création du 8e régiment de parachutistes coloniaux (8e RPC) : devient le 8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (8e RPIMa) Historique des garnisons, combats et batailles[modifier | modifier le code] Le 8e RPIMa prend naissance en Indochine, le 28 février 1951 sous le nom de 8e BPC.

Indochine[modifier | modifier le code] Période 1951-1954. 3e régiment de parachutistes d'infanterie de marine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La campagne d’Indochine a été la grande époque des parachutistes coloniaux. Des milliers de jeunes Français ont servi dans des bataillons plusieurs fois reformés après des pertes terribles. Ils tirent leur origine de la 1re demi-brigade de commandos coloniaux de parachutistes, héritière elle-même des paras de la France libre, de la demi-brigade des SAS, du groupement des bataillons parachutistes de choc dont le drapeau a reçu la croix de la Légion d'honneur le 14 juillet 1954. Création et différentes dénominations[modifier | modifier le code] Historique des garnisons, campagnes et batailles[modifier | modifier le code] Garnisons successives[modifier | modifier le code] En 1948 : Vannes-Meucon puis en Indochine.En 1951 : Saint-Brieuc puis à nouveau en Indochine.En 1955 : Bayonne puis à Bône en Algérie.De 1956 à 1960 : Sidi FerruchEn 1962 : Carcassonne jusqu'à nos jours.

Guerre d'Indochine[modifier | modifier le code] 4 compagnies de combat. 1er régiment de parachutistes d'infanterie de marine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le 1er régiment de parachutistes d'infanterie de marine (ou 1er RPIMa) est un régiment parachutiste des forces spéciales de l'armée française intégré à la Brigade des forces spéciales terre (BFST). Maintenant la tradition des unités de parachutistes SAS de la France libre et d'Indochine, ce régiment est la seule unité en métropole à utiliser la devise « Qui ose gagne » traduite de la devise des SAS britanniques « Who Dares Wins »[1].

Création et différentes dénominations[modifier | modifier le code] Fait rare dans l'armée française, la filiation du 1er RPIMa est multiple et indirecte. Seconde guerre mondiale Guerre d'Indochine Après l'Indochine Historique des garnisons, campagnes et batailles[modifier | modifier le code] Insigne régimentaire du 1er RPIMa. Garnisons successives[modifier | modifier le code] Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code] Guerre d'Indochine[modifier | modifier le code] Guerre d'Algérie[modifier | modifier le code] 13ème R.D.P. 11e brigade parachutiste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La 11e BP, issue de la 11e DLI, a été créée à partir des unités parachutistes de la 10e et 25e DP, dissoutes à la suite du putsch des généraux lors de la guerre d'Algérie.

Création et différentes dénominations[modifier | modifier le code] 1er mai 1961 : création de la 11e division légère d'intervention (11e DLI)[1], à partir des unités des 10e et 25e DP dissoutes1er décembre 1963 : création de la 11e division par fusion de la 11e DLI et de la 9e brigade d'outre-mer[2].1er avril 1971 : la 11e division devient la 11e division parachutiste (11e DP)Juin 1999 : la 11e DP devient 11e brigade parachutiste (11e BP) Origines et histoire[modifier | modifier le code] La 11e division légère d'intervention[modifier | modifier le code] La 11e DLI est créée le à partir des éléments des 10e et 25e divisions parachutistes, dissoutes suite au putsch des généraux, et de la 11e DI alors pressentie pour devenir la troisième division parachutiste[3]. 1/35e RALP. Liste d'unités parachutistes françaises. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Brevet parachutiste de l'armée française[1].

Armée de terre[modifier | modifier le code] Parachutistes français à bord d'un Nord 2501 à la fin des années 1950. Grandes unités[modifier | modifier le code] Divisions[modifier | modifier le code] Brigades et groupements[modifier | modifier le code] Demi-brigades[modifier | modifier le code] Écoles et centres de formation[modifier | modifier le code] Légion étrangère[modifier | modifier le code] Artillerie[modifier | modifier le code] Cavalerie[modifier | modifier le code] Génie[modifier | modifier le code] Infanterie[modifier | modifier le code] Chasseurs à pied[modifier | modifier le code] Infanterie[modifier | modifier le code] Dont Chasseurs parachutistes : Parachutistes de Choc[modifier | modifier le code] Coloniale et troupes de marine[modifier | modifier le code] Régiments coloniaux et d'infanterie de marine[modifier | modifier le code] Régiments du train français[modifier | modifier le code] E.

Groupement de commandos mixtes aéroportés. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Création et différentes dénominations[modifier | modifier le code] 17 avril 1951, création du groupement de commandos mixtes aéroportés (GCMA),12 décembre 1953, le GCMA devient groupement mixte d'intervention (GMI),21 juillet 1954 : dissolution de l'unité. Nota : en 1963, le 2e escadron du 13e RDP, basé à Langenargen en Allemagne, devient l'héritier de la 7e compagnie commandos du GCMA[2]. Historique des garnisons, campagnes et batailles[modifier | modifier le code] Contexte[modifier | modifier le code] À l'issue de nombreuses opérations, plusieurs chefs d'unités constatent l'inadaptation des troupes de l'Union française au combat dans la Haute-Région d'Indochine.

La caractéristique bien connue de cette région est son manque d'itinéraires. La guerre en Haute-Région a soumis à nos unités d'infanterie à de rudes épreuves pour lesquelles elles n'étaient pas toujours préparées... Une unité novatrice[modifier | modifier le code]