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Histoire

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Morin. Bataille de Kolwezi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bataille de Kolwezi

La bataille de Kolwezi est une opération aéroportée menée par le 2e REP de la Légion étrangère (France), opération Bonite, ainsi que par des troupes belges et zairoises, qui a lieu en , dans le Zaïre, actuel Congo (RD), pour délivrer des otages européens retenus dans la ville minière de Kolwezi par des rebelles katangais. Si l’opération réussit à libérer des otages avec des pertes militaires légères, elle ne put empêcher le massacre de 700 Africains et de 170 Européens. Situation de la ville[modifier | modifier le code] La ville de Kolwezi est située au cœur de la région minière du Shaba (Katanga), dans le sud-est du Zaïre. Peuplée d’environ 100 000 habitants en 1978, elle est très étendue (environ 40 km2), et divisée en quartiers nettement séparés par des collines. La prise de la ville par les rebelles[modifier | modifier le code] Entre 90 et 280 Européens sont tués (selon les estimations).

Légion étrangère - 2ème Régiment étranger de Parachutistes - 2eme REP. A peine implanté dans ses garnisons de Philippeville (état-major, CCS, compagnie d'appui, escadron de reconnaissance), Batna et Guelma en ce qui concerne les compagnies de combat, le régiment est relevé comme unité d'intervention des Aurès - Nementchas par le 1er RCP de Fossey-François et engagé dans des opérations d'escorte, de contrôle et de fouille du terrain.

Légion étrangère - 2ème Régiment étranger de Parachutistes - 2eme REP

Le 20 août, alors que Philippeville s'embrasait, plus de 200 émeutiers venus de la mine toute proche massacraient les hommes, les femmes et les enfants d'El-Halia avec une sauvagerie démente, pillaient et incendiaient tout ce qui se trouvait sur leur chemin, oubliant que quelques jours plus tôt, ils vivaient là, avec toute la confiance de la population européenne. Institution des invalides de la Légion étrangère. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Institution des invalides de la Légion étrangère

Insigne de l'IILE L'institution des Invalides de la Légion étrangère est un domaine de 240 hectares situé sur les pentes sud de la Montagne Sainte-Victoire dans le sud de la France sur la commune de Puyloubier. Description[modifier | modifier le code] Construit à partir de 1953 et inauguré le 15 mai 1955 par le général Kœnig, ce centre fait suite aux œuvres du service Moral de la Légion qui s'attachait d'une part à fonder au sein des garnisons des foyers d'accueil pour les légionnaires blessés ou malades et d'autre part s'occupait du reclassement des soldats dans le milieu civil.

JEANPIERRE indicatif "Soleil" Le colonel Jean Pierre qui, comme Bigeard ne sortait ni de Saint-cyr, ni de polytechnique, est une figure prestigieuse de l'histoire des parachutistes français et de la légion étrangère.

JEANPIERRE indicatif "Soleil"

Celui qui l'évoque, Jacques Morin est également un acteur de proue de la saga des parachutistes. Jeunes lieutenant au Tonkin en 1948, il a formé et commandé la première unité de légionnaire parachutiste (une compagnie du 3ème R.E.I). Il a été pour la première fois sous les ordres de Jean Pierre en 1949 au 1er B.E.P et il a été son second neuf ans plus tard en Algérie quand les rebelles abattirent son hélicoptère d'où il dirigeait une opération.

Il défila à la tête du 1er R.E.P. dans les rues de Guelma pour présenter une dernière fois le régiment à son chef. Sa carrière militaire, comme celle de nombreux officiers parachutistes s'est arrêté en 1961. Mais que savent de lui tous les autres et tous les français ? Pourquoi tant honneurs officiels ? Qui est donc le colonel Jeanpierre ? Il est né en 1912. 2e régiment étranger de parachutistes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

2e régiment étranger de parachutistes

Le 2e régiment étranger de parachutistes (2e REP), seul régiment parachutiste de la Légion étrangère encore en activité, est l'un des quatre régiments d'infanterie de la 11e brigade parachutiste. Il est stationné au camp Raffalli à Calvi depuis son arrivée de Bou-Sfer (Algérie) en juin 1967. Régiment parachutiste, il est néanmoins équipé de VAB (véhicules de l'avant blindé). Il est le seul régiment de la brigade à former lui-même son personnel aux techniques parachutistes grâce à son centre d'entraînement au saut. Issu du 2e Bataillon étranger de parachutistes qui servit en Indochine, c'est le régiment qui s'illustra en Algérie et, plus proche de nous, à Kolwezi (Zaïre) lors de l'opération Bonite en 1978.

Légionnaires à Calvi Création et différentes dénominations[1],[2][modifier | modifier le code] Historique des garnisons, campagnes et batailles[modifier | modifier le code] Bataille de Camerone. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bataille de Camerone

Camerone est célébré chaque année comme un haut fait de la Légion étrangère, le 30 avril, dans toutes ses unités. Campagne précédant la bataille[modifier | modifier le code] Soixante fantassins et trois officiers de la 3e compagnie du Régiment étranger de la Légion étrangère sont donc envoyés à la rencontre du convoi, à l'aube du 30 avril. La compagnie n'ayant pas d'officiers disponibles (ceux-ci étant atteints par le « vomito negro », la fièvre jaune, comme nombre de membres du corps expéditionnaire), le capitaine Jean Danjou, adjudant-major du régiment, se porte volontaire pour la commander. Le sous-lieutenant Jean Vilain, payeur par intérim du régiment, et le sous-lieutenant Clément Maudet, porte-drapeau, demandent à l'accompagner. Le colonel mexicain Francisco de Paula Milán, qui commande 6 000 fantassins et 2 000 cavaliers autochtones, averti de leur passage, met ses troupes en branle.

Déroulement[modifier | modifier le code] Officiers.

Origine