background preloader

Apprendre à apprendre

Facebook Twitter

Ressources lues et interessantes

Consultation en cours. DIFFÉRENCIATION. La différenciation, une approche centrée sur les élèves. Il est illusoire de croire que tous les élèves vont pouvoir développer les mêmes connaissances et compétences au même rythme et selon la même chronologie stricte.

Même si ce rêve est toujours dans la tête de certains, la réalité du terrain nous contraint à envisager des adaptations de ce mode de fonctionnement, sans forcément aller jusqu’à l’école mutuelle qui était l’alternative à l’éducation centralisée au XIXème siècle. Un juste milieu peut exister, où l’enseignant a toute sa place pour accompagner chaque élève dans ses apprentissages. On peut facilement confondre plusieurs notions et il est intéressant de commencer par les définir : L’individualisation est la prise en compte des spécificités d’un apprenant pour lui adapter un parcours de formation ‘sur mesure’.

Cela peut se traduire par exemple par la dispense ou l’ajout de certains modules de formation selon le parcours antérieur de chacun. Les paramètres de la différenciation L’organisation de la différenciation. Aider nos élèves à revenir sur une séance de travail ... De l’importance du #feedback dans les apprentissages… Enseigner à nos élèves comment comprendre les textes dans toutes les disciplines… Marcel Lebrun : De la classe inversée à l'école de demain. Ne parlez pas de LA classe inversée à Marcel Lebrun. Auteur d'un ouvrage remarqué sur les classes inversées, professeur en technologies de l'éducation à l'Université catholique de Louvain, il conjugue la classe inversée au pluriel.

Lors du congrès CLIC 2016, le 1er juillet, il a présenté les résultats d'une enquête auprès d'enseignants adeptes de la classe inversée qui met en évidence une typologie qui serait aussi, à ses yeux, un passage vers "l'école de demain". Une conférence très attendue Autant le dire. L'intervention de Marcel Lebrun s'appuie sur une étude réalisée auprès d'enseignants ayant adopté la classe inversée. Du type 1 au type 3 Le premier type se caractérise par la leçon apprise à la maison et les devoirs faits en classe. Un second type se matérialise par une recherche documentaire et des travaux préparatoire à la maison, des exposés des débats, des activités de modélisation en classe.

Cela amène, selon M Lebrun à un 3ème type marqué par un mouvement en quatre temps. Formation (par et pour) Se former. Le Cortecs (COllectif de Recherche Transdisciplinaire Esprit Critique & Sciences) est un collectif né en 2010 à Grenoble, Marseille et Montpellier. Son but est de réunir tous les acteur. Zététique & autodéfense intellectuelle. La classe mutuelle expliquée à 4 voix. La classe mutuelle en quelques mots "Il s’agit de repenser la notion séculaire de la salle de classe en modifiant l’espace et les activités des élèves. Les élèves peuvent circuler librement dans la salle de classe, travailler en groupes sur les nombreux tableaux muraux afin de s’expliquer le cours et de résoudre les exercices.

En somme, je revisite l’enseignement mutuel tel qu’il pouvait exister en France au 19ème siècle. " V.F. Au travers des interviews de 4 profils différents, la classe mutuelle vous est présentée sous l’optique de l’aménagement des espaces. Interview d’Éliane Charbonnier enseignante au lycée Dorian Interview d’élèves de lycée en classe de première scientifique Interview de Vincent Faillet enseignant de SVT Interview de Daniel Gruat sur la classe mutuelle proviseur du lycée Dorian. Apprendre autrement : l’expérience de la « classe mutuelle » « La « salle de classe » est un lieu où les élèves sont « forcément astreints à un silence, à une immobilité ».

Difficile de ne pas être interpellé à la lecture de cette définition, proposée par Ferdinand Buisson dans son Dictionnaire de pédagogie. Elle date de la fin du XIXe siècle, une époque qui peut sembler à mille lieues de notre monde à la pointe de la technologie. Pourtant, il suffit à chaque professeur de lever les yeux sur les rangées de tables et le magistral tableau qui constituent le cadre scolaire ordinaire pour constater que cette définition reste d’actualité.

Que pensent les lycéens de ces codes séculaires ? Quand j’ai invité des élèves de terminale scientifique à mettre en œuvre leur salle de classe idéale, au lycée Dorian (Paris), c’est l’exact contraire qui a vu le jour : une salle où, loin d’être de simples auditeurs, ils peuvent échanger, dialoguer et bouger – en un mot, vivre ! Des élèves plus engagés Des références historiques Des enjeux numériques. 7 principes éducatifs validés par les neurosciences. 1. La période 0/5 ans La plasticité neuronale pendant la période 0/5 ans permet d’incarner le vivant sans efforts, juste en le vivant. C’est ce que Maria Montessori appelle l’esprit absorbant. La période 0/5 ans constitue donc une fenêtre d’opportunités à saisir, comme le démontre cette vidéo : 2. Les relations sociales Nous sommes des êtres sociaux et notre cerveau est neurosocial. Dans le cadre de l’apprentissage, les relations sociales sont également importantes : nous apprenons dans une relation positive à l’autre.

La recherche a démontré que les relations virtuelles ne suffisent pas et leur utilisation croissante risque d’avoir des conséquences graves sur notre fonctionnement.C’est de contacts physiques réels dont nos neurones ont besoin.Pour être heureux, cultivons notre intelligence relationnelle. 3. La bienveillance est un levier pour l’âme humaine. L’amour et l’encouragement sont des catalyseurs pour l’apprentissage. – Céline Alvarez A l’inverse, le stress est un bloquant. 4. 5. 6. Comment apprendre efficacement ? – ImProfPsy : Improvisation, Pédagogie, Psychologie.

Le cerveau droit et le cerveau gauche, les styles d’apprentissage, la mémoire photographique…que de mythes sur l’apprentissage que nous entendons régulièrement chez les étudiants, et malheureusement chez certains enseignants. Le récent succès médiatique de Céline Alvarez, qui cherche dans les neurosciences et la psychologie des guides pour mieux apprendre montre un certain intérêt pour le sujet. Mais cet intérêt n’est pas franco-français, et certaines chercheuses et enseignants américaines ont développé un site qui explique aux principaux acteurs (enseignants, parents, apprenants de tous âges) comment apprendre efficacement. L’équipe de Learning Scientists a un formidable blog en anglais, et a récemment sorti 6 posters, à diffuser largement dans toutes les écoles, tous les collèges, lycées et dans les universités de France et de Navarre.

Seule contrainte, ne pas utiliser le matériel dans un but commercial. Pour télécharger tous les posters en un seul clic, c’est par ici. 5 stratégies de mémorisation plus efficaces que la relecture simple. Dans le livre Mets-toi ça dans la tête, Brown, Roediger et McDaniel expliquent que la simple relecture pour apprendre et réviser des cours ou leçons a plusieurs arguments décisifs en sa défaveur : elle prend beaucoup de temps (faire des lectures répétées à intervalles courts est coûteuse en temps et produit des effets négligeables sur les apprentissages);elle ne produit pas de mémoire à long terme (la relecture et la répétition ne fonctionnent pas pour un apprentissage durable.

En revanche, il est pertinent de relire un texte si un temps suffisant s’est écoulé depuis la première lecture. Le seul contexte dans-lequel des relectures peuvent être efficace est dans le cas de relectures espacées dans le temps et régulièrement réactivées.) Toutes ces stratégies d’apprentissage préconisées par les sciences cognitives ont en commun de : -s’entraîner à se remémorer les nouveaux apprentissages grâce à une auto évaluation -espacer les séquences d’entraînement. Les neuromythes sont parmi nous : comment les détecter et arrêter de croire aux contes de fées. Un neuromythe, c’est quoi ? D’après Steve Masson — professeur à l’UQAM et directeur du Laboratoire de Recherche en Neuroéducation — un neuromythe est une “croyance erronée à propos du fonctionnement de notre cerveau.”

Au-delà du fonctionnement de notre cerveau, on retrouve également sous l’appellation “neuromythe” une série de mythes liés à des croyances erronées à propos de notre fonctionnement psychologique en général. En anglais, nombreux sont les mots-clés qui regroupent, au final, des mythes divers et variés : “brain myths”, mais aussi “learning myths”, “psychological myths”, “developmental myths”… On trouve une littérature assez abondante sur ce sujet dans le domaine de la formation et de l’éducation. En fait, les neuromythes sont devenus une légende des temps modernes. Globalement, les neuromythes peuvent prendre plusieurs formes : Un fait scientifique dépassé Une simplification excessive Absence de sources Enfin, ni l’un ni l’autre. Quelques neuromythes parmi les plus populaires. Faut-il renoncer aux pédagogies actives ?

Les pédagogies actives n’ont jamais été autant en vogue. Pourtant, des recherches de plus en plus nombreuses tendent à relativiser leur efficacité et à mettre en doute leur capacité de réduire les inégalités scolaires. Dans le présent article, nous tentons d’analyser le plus objectivement possible ce que dit la littérature scientifique à ce sujet. En conclusion, nous proposons un examen critique du concept d’activité et plaidons en faveur d’une complémentarité pédagogique entre les pédagogies actives et un enseignement explicite, structuré et progressif.

En raison de sa longueur, nous proposons cet article en téléchargement :Cliquez ici : Olivier Mottint – Pédagogies actives 1. Les pédagogies actives, ou méthodes actives, constituent un large champ de doctrines et de pratiques pédagogiques et éducatives, s’inspirant des propositions de divers philosophes, psychologues et pédagogues. Plan de l’article Repères historiques et définitionPourquoi promouvoir les pédagogies actives ? Expliquer aux élèves comment les apprentissages se créent. La plupart des élèves de tous les niveaux (du primaire aux études supérieures) croulent sous les mythes et les illusions à propos de l’apprentissage et cela les conduit souvent à adopter des stratégies inefficaces (et qui se révèlent malheureusement de plus en plus inefficaces quand le niveau d’étude monte et que la quantité d’informations à mémoriser et comprendre augmente).

Il est utile d’expliquer aux élèves comment les humains apprennent, de manière à ce qu’ils puissent adopter des stratégies et des méthodologies efficace au cours de leurs études. Certaines difficultés rencontrées au cours des apprentissages nous aident à renforcer l’apprentissage et rendent la mémorisation plus durable. Quand on apprend facilement, l’apprentissage est souvent superficiel et rapidement oublié.

Toutes nos capacités intellectuelles ne sont pas déterminées. Ainsi, quand l’apprentissage est difficile, il modifie notre cerveau, créant de nouveaux réseaux et augmentant par là même nos capacités. En classe. 8 compétences indispensables aux élèves dans le futur. Traditionnellement, l’éducation a toujours mis l’accent sur 3 compétences de base : la lecture, l’écriture et l’arithmétique. Cependant avec les profondes mutations que connait notre monde, grâce notamment à la prolifération des innovations technologiques, les enseignants doivent se poser la question de savoir si les compétences qu’ils transmettent à leurs élèves, leur garantissent toutes les chances pour réussir à l’école, dans leur futur travail et dans la vie en général.

Quelles sont donc les compétences transversales les plus indispensables aux élèves pour assurer leur réussite ? Il est aujourd’hui légitime de se poser la question et de réfléchir sur le plan transversal plutôt qu’uniquement académique. Et bien qu’il puisse exister de nombreuses propositions, généralement, on identifie 8 compétences comme étant nécessaires pour réussir au 21e siècle. Leadership La culture numérique Communication Intelligence émotionnelle Entrepreneuriat Citoyenneté Globale Commentaires commentaires. Apprendre autrement : l’expérience de la « classe mutuelle »

« La « salle de classe » est un lieu où les élèves sont « forcément astreints à un silence, à une immobilité ». Difficile de ne pas être interpellé à la lecture de cette définition, proposée par Ferdinand Buisson dans son Dictionnaire de pédagogie. Elle date de la fin du XIXe siècle, une époque qui peut sembler à mille lieues de notre monde à la pointe de la technologie. Pourtant, il suffit à chaque professeur de lever les yeux sur les rangées de tables et le magistral tableau qui constituent le cadre scolaire ordinaire pour constater que cette définition reste d’actualité. Que pensent les lycéens de ces codes séculaires ? Quand j’ai invité des élèves de terminale scientifique à mettre en œuvre leur salle de classe idéale, au lycée Dorian (Paris), c’est l’exact contraire qui a vu le jour : une salle où, loin d’être de simples auditeurs, ils peuvent échanger, dialoguer et bouger – en un mot, vivre ! Des élèves plus engagés Des références historiques Des enjeux numériques.

Les compétences du 21e siècle. Avec l’industrialisation massive, le développement d’une économie et d’une politique mondiales, ainsi que des moyens de transport et de communication, et l’invention d’Internet, qualifier le 20e siècle d’ère de changement résonne comme un euphémisme. Toutefois, en comparaison avec le début du 21e siècle, le monde en était alors possiblement encore seulement aux premiers pas d’une courbe exponentielle de changements ayant le pouvoir de balayer entièrement la manière de vivre que nous connaissions jusqu’ici. La problématique soulevée ci-dessus agit comme trame de fond du rapport de Cynthia Luna Scott qui affirme la nécessité de redéfinir et d’enseigner de nouvelles compétences pour faire face aux principaux défis du 21e siècle. Son texte met en lumière les différentes formes possibles de l’apprentissage dans une ère de mondialisation, de migration, de concurrence internationale et de nouveaux défis environnementaux et politiques.

Pourquoi repenser les compétences? Apprendre à connaître. NEUROSCIENCES_APPRENTISSAGE. Vidéo. Écrits. Apprendre à apprendre, Réviser. Pédagogie - éducatif. Apprendre à apprendre. Codex des Biais Cognitifs. Les 6 choses qui m’ont inspirée dans les écoles d’Australie et de Nouvelle-Zélande.

Ce point est ma plus grande découverte en Océanie et il me semble que c’est une source intéressante de réflexion en termes de pédagogie. En Nouvelle-Zélande comme en Australie l’espace de la classe donne lieu à de grandes réflexions pour le rendre plus innovant et plus créatif. La classe devient le lieu, qui dans son design même, s’adapte aux exigences du monde du travail actuel et à venir tel qu’il est théorisé par de plusieurs instances (OCDE Education 2030, Partnership for 21st century learning) qui mettent en avant l’importance de la collaboration et de la créativité. En Nouvelle-Zélande, la notion de “Flexible Learning Space” est apparue sur le site du ministère de l’éducation qui lui dédie une page entière mettant en avant quelques designs possibles, quelques études de cas d’écoles qui ont franchi le cap, et les possibles avantages que les élèves en retireraient. De même à un niveau inférieur, les professeurs disposent d’une grande liberté pédagogique.

Que nous révèlent les postures adoptées par nos élèves en classe ?… Ecole de demain. Le travail collaboratif : difficile à mettre en place. Les intelligences multiples de Howard Gardner. DIGITAL LEARNING. Intégrer les compétences du 21e siècle dans l'enseignement. De nos jours, l’éducation a pour finalité de préparer les jeunes à devenir des citoyens actifs dans une société en transformation. Pour ce faire, on vise le développement de différents types de compétences. Quelle place les programmes d’études en sciences et technologies accordent-ils au développement des compétences du 21e siècle, comme résoudre des problèmes ou s’adapter et innover dans un milieu changeant? Cet article publié par la Revue canadienne de l’éducation présente la synthèse d’une recherche menée par quatre chercheurs de l’Université de Moncton.

Ceux-ci nomment « compétences du 21e siècle » les compétences qui pourront être réinvesties par les jeunes une fois sur le marché du travail. Les chercheurs ont regroupé ces compétences en trois grandes catégories : Les compétences générales du 21e siècleLa durabilitéLes compétences en TIC Les compétences générales du 21e siècle Les compétences du 21e siècle sont transversales, multidimensionnelles et de haut niveau (Westera, 2001). Les compétences du 21e siècle. L'apprentissage par projets comme source d’expression. Esprit critique - zététique.