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Éducation

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Etudiants : le programme Erasmus a-t-il démocratisé les séjours à l’étranger ? Le 21 mars 2019, le rapport annuel de l’agence européenne Erasmus+ a présenté le bilan du célèbre programme européen d’échanges étudiants en faisant apparaître une augmentation du nombre de bénéficiaires (+33 % entre 2014 et 2017 pour la mobilité sortante depuis la France) ainsi qu’une « démocratisation » sociale du dispositif, désormais ouvert aux étudiants en formation professionnelle et en stage.

Etudiants : le programme Erasmus a-t-il démocratisé les séjours à l’étranger ?

Neurosciences : comment pensent les anticonformistes ? Que se passe-t-il dans le cerveau d’un homme qui choisit de s’affranchir de l’opinion commune ?

Neurosciences : comment pensent les anticonformistes ?

Les neurosciences s’intéressent depuis de nombreuses années aux personnalités anticonformistes. L’enjeu est important, car ces individus permettent de faire évoluer la société et avancer la science. Parmi les chercheurs, ils sont peu nombreux à remettre en cause les dogmes et à prendre le risque d’être attaqués, voire marginalisés par leurs pairs. L’histoire est riche, pourtant, de ces scientifiques qui, comme Albert Einstein ou Marie Curie, sont sortis des clous et ont révolutionné leur discipline. La sélection naturelle semble privilégier le conformisme chez les individus. Débat : Pour le renouveau de l’apprentissage, supprimons la taxe d’apprentissage ! Toute la communauté éducative bruisse de rumeurs quant au contenu à venir de la réforme de la taxe d’apprentissage et de son usage supposé, l’apprentissage.

Débat : Pour le renouveau de l’apprentissage, supprimons la taxe d’apprentissage !

Les conséquences financières sont lourdes (plus de 3 milliards d’euros attendus en 2018) quelles que soient les parties concernées, État, établissements d’enseignement, conseils régionaux, entreprises, apprentis… Peut-on être amical avec ses élèves ? Hommage à Jean-Pierre Vernant. Aujourd’hui, Jean-Pierre Vernant aurait eu cent ans.

Peut-on être amical avec ses élèves ? Hommage à Jean-Pierre Vernant

En hommage, ce texte qui parle si bien de ce que peuvent être les relations entre professeurs et élèves. Vernant contourne avec élégance (sans les occulter) tous les écueils attendus et prévisibles (la démagogie, l’idéologie, le nivellement, la recette unique,la brutalité etc.) quand il s'agit d'autorité. Il y a chez lui une manière simple et subtile de faire le lien entre une conception de la classe et une conception, plus large, de la société, de la vie, de penser l’autorité sous le jour d’une esthétique et d’une éthique de la relation sociale qui est, à mes yeux, fondamentale. « Un professeur fait du théâtre quand il arrive dans une classe. Theconversation. Pour les diplômés de la « fac » en sciences humaines et sociales (SHS) intégrer les grandes entreprises et en particulier les postes clés, est loin d’être facile.

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D’après une étude du Centre d’études et de recherches sur les qualifications publiée en 2010 (Céreq, 2010), 40 % des diplômés depuis trois ans en lettres et sciences humaines (LSH) au niveau licence ne sont qu’employés dans le secteur privé. Un scandale tranquille : des enseignants toujours aussi mal formés. Depuis 1988, la volonté née sous l’impulsion du ministre de l’Éducation Lionel Jospin d’« universitariser » la formation des enseignants avec la création des IUFM (Instituts Universitaires de Formation des Maîtres, 1990) a connu moultes réformes… mais bien peu de changements.

Un scandale tranquille : des enseignants toujours aussi mal formés

Même si la loi qualifiée « de refondation de l’école » a fait disparaître les IUFM au profit des ESPE (Écoles Supérieures du Professorat et de l’Éducation). Adolescents : et s’il était temps de les lâcher ? Conversation avec Cédric Villani : « Plus personne ne me demande à quoi servent les mathématiques » Célèbre mathématicien français, Cédric Villani dirige l’Institut Henri-Poincaré (Université Pierre et Marie Curie UPMC – Sorbonne Universités) et est professeur à l’Université Claude-Bernard–Lyon 1.

Conversation avec Cédric Villani : « Plus personne ne me demande à quoi servent les mathématiques »

Il a reçu la médaille Fields (l’équivalent du prix Nobel en mathématiques) en 2010. Je lui ai proposé il y a quelques semaines de répondre à dix questions sur la place des mathématiques dans notre société et sur leur rôle stratégique dans les mutations technologiques à venir. Voici ses réponses. Thierry Berthier : Quand et comment vous est venu le goût des mathématiques ?

Que dire aux enfants qui se demandent à quoi servent les maths. En tant que parent – ou enseignant – vous risquez un jour d’être confronté à cette question : « Les maths, à quoi ça sert ?

Que dire aux enfants qui se demandent à quoi servent les maths

» Une question souvent suivie d’une autre : « Quand est-ce que je vais m’en servir ? » ou « Comment les maths vont-elles m’aider dans la vie ? » Ces questions, qui sont moins souvent posées à propos des autres matières, indiquent que pour certains enfants, les maths sont complètement déconnectées de la réalité et ne concernent que l’école. En tant que parent, ce n’est pas toujours facile de répondre à ce genre de question. Ces interrogations sont en lien avec l’expérience personnelle des enfants, de leur pratique des maths à l’école, et ne sont pas vraiment dirigées vers les mathématiques elles-mêmes.

Theconversation. JRR a commencé à écrire La chute de Gondolin après la Première Guerre mondiale, tandis qu’il tentait de se remettre de la fièvre des tranchées, contractée au cours de la bataille de la Somme, il y a 100 ans de cela.

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La chute de Gondolin est la première histoire de ce qui deviendra son « legendarium » soit toute l’œuvre consacrée aux aventures elfiques, une mythologie qui sous-tend les trois romans du Seigneur des Anneaux. Mais au-delà de la fiction, JRR Tolkien était également passionné par une autre forme de création : la construction de langages imaginaires.

En cette même année 1916, à l’autre bout de l’Europe, Ludwik Zamenhof mourait dans son pays d’origine, la Pologne. Lui aussi avait été obsédé toute sa vie par l’invention de nouveaux langages, et en 1887, il sortait un livre pour présenter la langue qu’il avait créée de toutes pièces. Theconversation. Apparus il y a moins de 10 ans, les MOOC ont été le symbole d’un changement dans l’éducation, générant comme toute innovation de grands espoirs, pas mal d’interrogations et d’appréhensions.

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On peut les caractériser par un cours gratuit accessible à tous, quels que soient sa localisation géographique et son niveau de formation. L’esprit des MOOC Dit d’une autre manière, tout le monde sur la planète peut suivre un MOOC sans être inscrit dans une université. Les MOOC ne sont pas des Power-Points améliorés avec un peu de vidéo, mais de véritables cours créés par des professeurs et comprenant : Des objectifs pédagogiquesDu contenu organisé en séances courtes de quelques minutesDiffusé de différentes manières (textes, lectures, vidéos…)Des forums de discussionDes ressources pédagogiques complémentairesUne évaluation finale pour les MOOC certifiant. Au Pérou, pauvreté et exclusion interdisent aux populations indigènes d’aspirer à mieux. Le thème des inégalités a connu ces dernières années un intérêt grandissant, comme en atteste le succès des ouvrages de Thomas Piketty ou d’Angus Deaton publiés en 2013.

C’est également le thème central du troisième « Rapport mondial des sciences sociales » publié en septembre 2016, un document qui adopte une approche holistique des inégalités, dépassant l’analyse unidimensionnelle des inégalités de revenu. Notre équipe de chercheurs a contribué à ces travaux, en analysant un aspect particulier du phénomène d’exclusion touchant les populations indigènes au Pérou.

Nous avons en effet examiné la manière dont les aspirations contribuent à la persistance d’inégalités entre ethnies. Des aspirations modestes En dépit de ces progrès, les données récentes montrent que les peuples indigènes sont parmi les plus défavorisés à travers le monde et en Amérique latine tout particulièrement. Apprentissage, cognition et émotion : de la théorie à la pratique, parution du n°139 de la revue ANAE.

Détails Catégorie : Ouvrages La revue ANAE (Approche neuropsychologique des apprentissages chez l’enfant) consacre son 139e numéro aux « Apprentissages, cognition, émotion ». Ce numéro est coordonné par Edouard Gentaz, professeur de psychologie du développement à l’Université de Genève et Directeur de Recherche au CNRS (LPNC-Grenoble). La publication en 2013 du numéro « Apprendre…oui mais comment ? Des laboratoires aux salles de classe » (ANAE N° 123) a rencontré une large audience auprès des professionnels de l’éducation et des apprentissages scolaires. L’école, acteur réseau d’un monde numérique.

Ce texte est issu de la journée d’étude, « Apprendre et enseigner à l’ère numérique », qui s'est tenue au Collège des Bernardins le 6 octobre 2016, dans le cadre d’une réflexion partagée de la Chaire du Collège des Bernardins sur L’humain au défi du numérique, et du séminaire de recherche Ecole et République. La journée d’étude aborde les questions de fond des transformations que le numérique engendre dans l’apprentissage et l’enseignement et s’interroge sur les bénéfices apportés à l’humain. Didier Paquelin, Professeur, titulaire, Chaire de Leadership, Pédagogie de l’enseignement supérieur, Université Laval, Québec ; et intervenant au Collège des Bernardins. Le questionnement de l’évolution de l’école est posé depuis plusieurs décennies.

Les conséquences de l'école du futur. Avant de commencer à détailler ces mots de l’école du futur (il y en a d’ailleurs tous les jours de nouveaux qui apparaissent. Pour moi découverte ce jour de la peeragogie* !) Et pour compléter mon premier post, quelques mots sur les conséquences de cette école du futur du point de vue management. Quelle est la mission de mon école et quelle est ma valeur ajoutée ? Cela supposera de se positionner par rapport à la « chaîne de valeur éducative* » L’établissement d’enseignement supérieur universel ne pourra plus exister.

Chacun devra définir sa (ou ses) spécificités(s), l’expliquer et le justifier. Les mots de l’école du futur. « T’aimerais être prof, toi ? » Prof ? On le disait volontiers « le plus beau métier du monde ». Ah oui…. ? Même à l’université, bien enseigner… ça s’apprend !