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Téléchargement : baisse de la consommation illicite. Téléchargement illégal : pourquoi les musiciens sont plus tolérants que les labels. Une étude publiée la semaine dernière permet de comprendre le décalage entre les artistes et leurs maisons de disque en matière de téléchargement illégal : la vente de musique ne représente qu'une infime partie des revenus des musiciens.

Téléchargement illégal : pourquoi les musiciens sont plus tolérants que les labels

En matière de téléchargement illégal de musique, on trouve d'innombrables études s'intéressant aux internautes, de nombreuses déclarations de maisons de disque, mais seulement quelques témoignages d'artistes, qui sont d'ailleurs souvent nettement plus nuancés. Et pour cause. Une nouvelle étude d'un professeur d'une université américaine, intitulée « Les revenus de la musique » et relayée par TorrentFreak, confirme à quel point les musiciens ne sont pas les principaux concernés par le téléchargement illégal. Sur 5000 musiciens américains sondés, un quart s'estime ainsi lésé par le piratage, mais un quart pense au contraire qu'il lui est bénéfique. La moitié restante n'a tout simplement pas d'opinion ou n'a pas répondu à cette question. Streaming. Frédéric Mitterrand encourage les ayants droits à saisir les juges - Multimédia et. YouHaveDownloaded.com, le site qui accuse. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Damien Leloup "Bonjour. Nous n'avons aucun enregistrement sur vous.

" Ouf : selon le site YouHaveDownloaded.com, personne, au siège du Monde, n'a utilisé le réseau BitTorrent pour télécharger illégalement des fichiers. Situé aux Etats-Unis, ce site se propose de vérifier si un accès Internet a été utilisé pour télécharger des fichiers – légalement ou illégalement – sur le plus utilisé des réseaux P2P. Et depuis deux semaines, il a créé la controverse en France : en entrant, dans le moteur de recherche du site, des adresses IP (Internet Protocol, l'adresse d'une machine sur la Toile) de l'Elysée et du ministère de la culture, des internautes ont trouvé des listes de films supposément téléchargés illégalement depuis ces institutions.

Mais ces fichiers ont-ils vraiment été téléchargés à l'Elysée ou au ministère de la culture ? Le procédé est loin d'être exhaustif. "Presque impossible" ne veut pas dire "infaillible". Hachette signe avec Attributor : protéger l'ebook... contre qui ? Livres scannés ou fichiers numériques diffusés sur les réseaux, Hachette Livre a décidé d'y mettre fin en signant un accord avec la société Attributor, chargée de la surveillance du réseau.

Hachette signe avec Attributor : protéger l'ebook... contre qui ?

Une première en France, alors que le Syndicat des éditeurs a décidé de ne pas, pour l'heure, faire appel à Hadopi. Pierre Danet, directeur innovation chez Hachette Livre a pourtant bien expliqué la situation à ActuaLitté : Attributor se contente de chercher sur le net des traces de fichiers répondant aux critères donnés par l'éditeur, mais n'a aucun rôle juridique. Il dépend du groupe de lancer des procédures juridiques, si besoin, pour faire céder un contrefacteur, pressé de sonner trois fois. Dans cette perspective, Attributor intervient pour décharger les juristes et protéger le trésor de guerre du groupe : les auteurs, et leurs oeuvres. « En signant avec Attributor, nous faisons un geste vers les auteurs, pour leur garantir une sécurisation de leurs oeuvres et de leurs droits », expliquait-il. Hadopi. Accusé de téléchargement illégal, il clame son innocence - Multimédia et nouvelles. Robert Tollo, prof de sciences économiques et sociales dans la Loire, a décidé de contester la convocation d’Hadopi qui l’accuse de téléchargement illégal.

Hadopi. Accusé de téléchargement illégal, il clame son innocence - Multimédia et nouvelles

Cette convocation s’inscrit dans le cadre de la riposte graduée mise en place par la Haute autorité. Elle stipule qu’au bout de la troisième prise en flagrant délit de téléchargement illégal, l’internaute présumé coupable est informé qu’il est susceptible de poursuites pénales. Il peut en outre être entendu par la Commission de protection des droits. Le premier cas contestable Mais Robert Tollot dit qu’il y a erreur. Pourtant, un troisième avertissement viendra. Un processus technique faillible Trop, c’est trop. Comme il est courant, voire facile, de pirater une connexion - ce qui est très souvent le cas de connexions wifi - il devient compliqué d’identifier avec précision la ou les personnes qui agissent sous cette adresse IP.

Obligation de sécuriser son accès Internet.