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Slaves

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Кикимора. Кики́мора (белор. кікі́мара) — русский и, в меньшей степени, белорусский мифологический персонаж[⇨], преимущественно женского пола[⇨], обитающий в жилище человека и в других постройках, прядущий по ночам[⇨] и приносящий вред и неприятности хозяйству и людям[⇨].

Кикимора

Представления о кикиморе известны с XVII века, предполагается также связь её образа с более древними персонажами.[⇨] Народные поверья производят кикимор от умерших «неправильной» смертью (некрещёных или убитых детей, самоубийц и др.), от проклятых и похищенных нечистой силой детей. Также считалось, что кикимору могут наслать в дом недовольные строители и колдуны, подложив в него магический предмет, чаще куколку, которая затем оживала.[⇨] Кикимору описывали как низенькую скрюченную неряшливую и безобразную старушку, длиннокосую девушку или женщину, как маленькую девочку или даже как мужика или старика. Portail:Mythologie slave. Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Portail:Mythologie slave

Lumière sur... [ modifier ] Vélès (dans les langues slaves Велесъ ou Vles=Влесъ, identifié avec Volos=Волосъ) est un des dieux les plus anciens dans la mythologie slave. Il est le fils de Rod, le frère de Khors et l'époux d'Azovouchka (fille de Svarog et de mère Sva). Avec son épouse, il habite sur l'île magique Bouïane. Veles, aussi appelé Svantovít ou Weiha dans certaines régions, est le dieu de la guerre, du bétail et de la richesse, protecteur des marchands, des chasseurs et des agriculteurs. Pour l'honorer pendant la Maslenitsa (Mardi Gras) et les Sviatki les gens se déguisent en animaux avec des masques et des manteaux en peau retournée. On l'imaginait au début comme un ours, ensuite comme un vieillard barbu et poilu. Il fait partie du Triglav (trois faces) de Svarog. Les anciennes traditions slaves liées à Vélès et aux fêtes de l'équinoxe de printemps ont été récupérés par le christianisme (fêtes de Mardi Gras). Baba Yaga (mythologie) Baba Yaga (en russe : Баба Яга, en polonais : Baba Jaga) est une figure marquante du conte russe et plus généralement slave.

Baba Yaga (mythologie)

La langue russe ne possédant pas d'article devant un nom commun (ou adjectif), il est difficile de définir s'il s'agit d'un seul personnage (nommé Baba Yaga) ou d'un type de personnage (la baba Yaga). Il y a parfois dans le même conte plusieurs baba Yaga (trois en général), dénommées la première, la deuxième, la troisième[1], ce qui laisse supposer qu'il s'agit d'un type de personnage (comme on dirait « une fée »). Par ailleurs, les deux termes ne sont pas toujours accolés, on peut trouver simplement « la baba » (signifiant « la femme du peuple »), ou « la Yaga » qui peut alors être qualifiée (de brune, de vieille...)[2].

Lise Gruel-Apert insiste sur le fait que ces deux mots accolés ne sont pas un prénom suivi d'un nom. Lada (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Lada (mythologie)

M. Presnyakov. Libuše. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Libuše

Přemysl et Libuše, sculpture de Josef Václav Myslbek (1881), à Vyšehrad Libuše dans les Promptuarii Iconum Insigniorum Libuše en tchèque (prononcer "Libouchè"), Libussa ou Libuscha en allemand, est l'ancêtre mythique de la dynastie des Přemyslides et du peuple tchèque en général. Selon la légende, elle fonda Prague au VIIIe siècle. Légendes[modifier | modifier le code] Libuše serait la fille du chef tchèque Krok et la plus jeune sœur de la guérisseuse Kazi et de la magicienne Teta. Libuše était la plus sage des trois sœurs et prophétisa la fondation de Prague depuis son château de Libušín (d'après des légendes tardives, à Vyšehrad).

Selon une autre légende, elle mourut peu après son mariage. L'histoire de Libuše et Přemysl est racontée en détail par Cosmas de Prague dans sa Chronica Boëmorum (XIIe siècle). Rusalka. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Rusalka

Légende[modifier | modifier le code] Belles, mais souvent cruelles, elles sont généralement néfastes. Certains n’hésitent pas à les rapprocher des succubes : elles « chatouillent » les hommes, mais peuvent également engendrer d’eux des êtres hybrides, décrits comme albinos et peu intelligents. Selon Édouard Brasey, les rusalki étaient des naïades slaves qui vivaient dans les points d’eau ou dans la mer Noire. Il dit aussi que lorsqu’une jeune fille s’y noie, elle devient une de ces créatures « au teint pâle et aux yeux verdâtres, vêtues d’une robe de brume »[1]. Cryptozoologie[modifier | modifier le code] Selon les cryptozoologues, ces légendes auraient pour origine des êtres réels : des hominoïdes du type yéti ou almasty femelles.

Snégourotchka (folklore) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Snégourotchka (folklore)

Snégourotchka (en russe : Снегу́рочка), ou Snégourka (russe : Снегу́рка) ou la « Fille de neige » est dans le folklore russe la petite-fille de Ded Moroz (russe : Дед Мороз), le « Grand-Père Gel », l'équivalent russe du Père Noël. Elle est parfois aussi considérée comme la fille d'un personnage masculin incarnant les grands froids et d'un personnage féminin incarnant le printemps. Ce personnage ne semble pas appartenir à la mythologie slave traditionnelle et n'être apparu dans le folklore russe qu'au XVIIIe siècle ou au XIXe siècle[1]. Alexandre Afanassiev a étudié ce sujet dans ses Conceptions poétiques des Slaves sur la nature (1869). Un paysan et sa femme se désolent de ne pas avoir d'enfants. Personnage costumé en Ded Moroz, le grand-père de Snégourotchka. 1873 Snégourotchka - op Tchaïkovski. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

1873 Snégourotchka - op Tchaïkovski

Snégourotchka ou La Demoiselle des neiges (en russe : Снегурочка), op. 12, est une musique de scène de Piotr Ilitch Tchaïkovski composée entre mars et avril 1873 pour accompagner la pièce du même nom d'Alexandre Ostrovski écrite la même année. Vlasta. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vlasta

Vlasta fut, selon la légende, une amazone de Bohême. Histoire[modifier | modifier le code] Ancienne compagne de Libussa, elle voulut, après la mort de cette princesse, en 735, former un État où les femmes domineraient sur les hommes. Elle en établit le siège sur le mont Vidovlé, d'où son armée s'élançait sur les plaines voisines pour les ravager. Elle fut ainsi pendant huit ans la terreur de la Bohême.