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Réforme des retraites

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La Fiche du Gouvernement OFF. L’âge légal de départ passera progressivement à 62 ans d’ici 2018, au rythme de quatre mois supplémentaires par an pour le privé comme pour les fonctionnaires (hors cas particuliers de départs anticipés) l’âge de départ à taux plein passera progressivement de 65 à 67 ans de 2016 à 2023 (annulation de la décote uniquement, pas des années manquantes) Durée de cotisation : 41 ans et un trimestre en 2013 Montant de la retraite : taux plein Sécurité Sociale : 50% qui s’applique au salaire moyen des 25 meilleures années, le résultat ne pouvant dépasser un plafond d’environ 1.473 euros) avec : une réduction proportionnelle aux nombres d’années manquantes : un assuré qui aurait une durée d’assurance de 38 années sur 41 requises, a ainsi une diminution de 3/41ème de sa pension. une pénalité supplémentaire qui accentue ce premier effet, appelée décote (5% par année manquante).

Nouvelles recettes de 4 milliards d’euros par an (voir encart budget) Publiée au Journal Officiel en date du 10 novembre 2010. The Christian Science Monitor. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Christian Science Monitor est un journal d'actualités américain publié du lundi au vendredi. Il a été fondé en 1908 par Mary Baker Eddy, la fondatrice du mouvement religieux Science chrétienne. Histoire[modifier | modifier le code] Malgré son nom, le journal n'a pas été conçu pour traiter de thèmes religieux, ni pour promouvoir directement Science chrétienne. Le journal fait surtout appel à ses reporters répartis dans des bureaux dans onze pays. Le journal a été partiellement conçu en opposition à la presse à sensation de son époque.

La moitié de son budget de 22 millions USD est financé par des dons. En 2006, la reporter free-lance Jill Carroll, effectuant un reportage pour le Monitor, a été retenue en otage à Bagdad durant 82 jours[1]. Fin octobre 2008, le quotidien annonce qu'à partir d'avril 2009, il abandonnera la publication imprimée quotidienne pour ne plus être diffusé que sur le Web et dans une édition imprimée hebdomadaire. Systèmes de retraite en Europe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les systèmes de retraite en Europe sont tous confrontés à la réduction du nombre de naissances et à l'allongement de l'espérance de vie, qui se traduisent par moins de cotisants pour plus de pensionnés, dans un contexte de chômage élevé pour la plupart d'entre eux.

L'inquiétude est particulièrement forte en Italie et en Allemagne : dans les années 2000 l'arrivée à la retraite de la génération baby-boom de l'après 1945 y avait jusqu'ici moins pesé qu'en France ou en Espagne, selon une étude de la Fondation Robert Schuman en 2003[1], mais ce facteur ne joue plus car ces deux pays ont en plus un déficit de jeunes cotisants, pour avoir expérimenté une natalité[2] plus faible qu'ailleurs depuis une trentaine d'années[3].

Cadre bismarckien ou beveridgien[modifier | modifier le code] Le premier modèle, dit bismarckien, organise une solidarité horizontale entre les travailleurs, financée sur les salaires et par une participation des employeurs. Loi Fillon. Plan Juppé de 1995. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Annoncé le , le « plan Juppé » sur les retraites et la Sécurité sociale a tenté sans succès de généraliser aux fonctionnaires et aux entreprises publiques (RATP, SNCF et EDF) les mesures imposées aux salariés du secteur privé par la réforme Balladur des retraites de 1993, en raison des grèves de 1995 en France, qui ont duré trois semaines dans les transports, mais il a réussi à instaurer des mesures visant à réduire le déficit de la Sécurité sociale.

Le plan du premier ministre Alain Juppé contenait une série de mesures concernant aussi bien les retraites que l'assurance-maladie, et qui toutes allaient dans le sens d'une politique de rigueur alors que le président élu Jacques Chirac venait de faire campagne sur le thème de la fracture sociale, avec pour principal bras droit Philippe Séguin. Le plan Juppé était axé sur quatre grandes mesures : Bibliographie[modifier | modifier le code] Pierre-François Gouiffès, Réformes : mission impossible ? Réforme Balladur des retraites de 1993. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le contexte de la réforme : les crises monétaires de la période 1990-1993[modifier | modifier le code] La réforme était rendue nécessaire, selon Édouard Balladur, par la nécessité de combler les déficits apparus au début des années 1990. Elle fut décidée en 1993, au plus profond d’une crise économique grave, causée de 1990 à 1993 par les crises monétaires à répétition découlant des tensions dans le système monétaire européen consécutif à la réunification allemande.

Lorsqu'il arrive à Matignon en 1993, Édouard Balladur constate un déficit sans précédent : 40 milliards de francs pour la CNAV. La décision d’étaler les conséquences macro-économiques et sociales sur une période de 10 à 15 ans[modifier | modifier le code] Motivation économique : Motivation sociale : Les salariés du privé et les indépendants concernés[modifier | modifier le code] Les quatre principales mesures[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Où vont les retraites ? - Fondation Copernic. Les principales mesures de la loi Fillon Dans son exposé des motifs, la loi Fillon de 2003 se fixe à l’horizon 2020 l’objectif d’une retraite égale aux deux tiers du revenu d’activité, avec un plancher de pension égal en 2008 à 85 % du Smic net - objectif toutefois limité à ceux justifiant d’une carrière complète.

Elle ouvre la possibilité, pour les salariés ayant effectué des carrières longues, de partir à la retraite avant 60 ans. La réforme Fillon ne revient pas formellement sur le droit à prendre sa retraite à 60 ans, mais programme un allongement de la durée d’assurance requise pour bénéficier d’une pension à taux plein. Ce recul de l’âge de la retraite baigne dans une idéologie du prétendu « libre choix » qui généralise les mécanismes de décote et de surcote. L’assuré pourra partir plus tôt, avec une retraite moindre (décote), mais il pourra aussi travailler plus longtemps et bénéficier d’une surcote.

La nouvelle donne du financement Les discriminations envers les femmes copernic, 10 questions, 10 réponses sur nos retraites - Fondation Copernic. 10 questions, 10 réponses sur nos retraites 1. Quel est le bilan des contre-réformes des retraites depuis 1993 pour les retraités et les futurs retraités ? La chute du montant des retraites ressemble à un film au ralenti. Ce n’est que très progressivement que ces réformes produiront toutes leurs conséquences. Mais à terme, ces conséquences seront catastrophiques. La « réforme » Balladur-Veil de 1993 s’est attaquée, en plein mois d’août, à la retraite du régime général des salariés du secteur privé.

Elle a augmenté la durée de cotisation de 2,5 annuités (de 37,5 à 40). Les réformes de 1993, 1994, 1996 et 2003 des retraites complémentaires (Arrco pour l’ensemble des salariés et Agirc pour les cadres) se sont traduites par une augmentation du prix d’achat de la valeur du point et une baisse de la valeur du point servant de base au calcul de la retraite et donc par une baisse du montant de ces retraites. 2. 3.

Il y avait 11 millions de retraités en 2000, ils seront 21 millions en 2040. 5. Retraites. La réforme des retraites : Chronologie. Avant 1945 : aux origines des retraites 23 septembre 1673 Edit royal instaurant une pension de vieillesse pour les officiers de la marine royale. 22 août 1790 Loi instaurant la retraite pour les fonctionnaires dès l'âge de 50 ans avec trente ans de services effectifs. 18 juin 1850 Loi créant la Caisse de retraites pour la vieillesse. 8 juin 1853 Loi unifiant les pensions civiles et militaires des fonctionnaires d'administration centrale. 14 juillet 1905 Loi sur l'assistance aux vieillards, aux infirmes et aux incurables. 5 avril 1910 Loi sur les retraites ouvrières et paysannes. 14 avril 1924 Loi améliorant l'accès des fonctionnaires à la retraite. 5 avril 1928 et 30 avril 1930 Lois sur les assurances sociales. 14 mai 1937 Signature de l'accord UIMM (Union des industries métallurgiques et minières)-Fédération nationale des syndicats d'ingénieurs (FNSI) pour la création d'un fonds de retraite complémentaire des cadres. 14 mars 1941 Loi instaurant l'allocation aux vieux travailleurs salariés (AVTS).

La réforme des retraites. L'avenir des retraites sacrifié - Fondation Copernic. Ces réformes régressives s’inscrivent dans un mouvement d’ensemble de démantèlement des systèmes de protection sociale collectifs, aussi bien celui de l’assurance maladie que celui des retraites par répartition. L’objectif est double pour le capitalisme néolibéral : d’une part, restreindre la part de la richesse socialisée et ouvrir ainsi un champ nouveau à l’accumulation du capital, via les compagnies d’assurance et les fonds de pension [1] ; d’autre part, drainer une épargne privée de plus en plus importante vers les marchés financiers, avides de liquidités toujours croissantes, nécessaires pour participer aux restructurations permanentes des activités économiques dans le monde entier.

La financiarisation de l’économie ne peut souffrir trop de richesse socialisée. Le Fonds monétaire international l’avait dit : « la protection sociale crée trop de sécurité dans le corps social ». 1. Quelle est la nouvelle donne démographique ? 2. Quel sera l’avenir de nos retraites ? 3. 4. 5. 6. 7. Présentation - Conseil d'orientation des retraites.

Accueil | Réforme des Retraites - Gouvernement. Retraites. Les systèmes de retraite en Europe. Suède : les recettes d'un système efficace. Le système suédois serait-il l'exemple à suivre ? L'ensemble des commentateurs semble se passer le mot : la Suède est le bon élève européen en matière de réforme des retraites. Après un long processus de dialogue social et en réponse à une espérance de vie parmi les plus élevées d'Europe (84 ans pour les femmes et 77 ans pour les hommes), ce pays a en effet réformé en profondeur son système en 1999. Ce système conjugue deux régimes obligatoires : un régime par répartition et des éléments de capitalisation. La cotisation (partagée entre les salariés et les employeurs) correspond à 18,5% du salaire brut. 16 % financent le régime par répartition et les 2,5 % restants alimentent un compte individuel de capitalisation, placé sur les marchés financiers sous le contrôle d'une agence gouvernementale.

De plus, la réforme a mis en place un système incitatif pour faire reculer de facto l'âge légal de la retraite. Pays-Bas : un système en capitalisation. L'épargne retraite en France trois ans après la « loi Fillon » : quel complément aux régimes de retraite par répartition ? 2. Le bilan de l'épargne retraite en 2006 : neuf milliards d'euros de cotisations annuelles et un encours de près de cent milliards d'euros a) Aperçu global des cotisations et des encours Nonobstant la difficulté à définir de manière incontestable le champ de l'épargne retraite, les sources les plus complètes pour évaluer les cotisations et les encours des contrats d'épargne retraite proviennent de la Fédération française des sociétés d'assurance (FFSA).

La FFSA se fonde sur les déclarations de ses adhérents, ce qui peut poser des difficultés de collecte des informations auprès d'entreprises d'assurance de petite taille qui ne disposent pas toujours des outils statistiques nécessaires. En outre, les chiffres de la FFSA n'intègrent pas a priori les contrats gérés par les mutuelles et les institutions de prévoyance. La consolidation de ces différentes données présente ainsi des difficultés d'exhaustivité et d'homogénéité des méthodes de comptabilisation.

(en millions d'euros) Sources diverses. Séance du 22 janvier 2008 (compte rendu intégral des débats) M. Éric Woerth, ministre. Certes, vous ne créez pas un monopole de la loi de financement et le législateur ordinaire ne deviendrait pas à proprement parler incompétent. Mais enfin, si les lois votées en juin n'ont plus d'effet le 31 décembre, on ne peut plus parler de compétence pleine et entière. Or, si la loi organique a réservé certains domaines à la loi de financement - les exonérations non compensées à la sécurité sociale, par exemple -, elle n'a pas interdit au législateur ordinaire de se prononcer sur l'assiette et le taux du prélèvement, conformément à l'habilitation de l'article 34 de la Constitution.

De surcroît, les délais que vous nous proposez ne permettront pas de mesurer l'effet de ces décisions, qui, pour beaucoup, n'auront pas eu le temps d'entrer en vigueur. Ma seconde remarque porte sur la nécessité de traiter aussi l'intérêt des niches déjà existantes. Ce travail d'évaluation et de définition de bonnes règles de gestion, nous allons le mener à partir de vos travaux.

Partage des richesses, la question taboue, par François Ruffin. «La part des profits est inhabituellement élevée à présent (et la part des salaires inhabituellement basse). En fait, l’amplitude de cette évolution et l’éventail des pays concernés n’ont pas de précédent dans les quarante-cinq dernières années. » D’où sont tirées ces lignes ? D’un texte de la Confédération générale du travail (CGT) ? Nullement : elles viennent d’un article de la Banque des règlements internationaux (BRI), une institution qui réunit chaque mois, à Bâle (Suisse), les banquiers centraux afin de « coordonner les politiques monétaires » et d’« édicter des règles prudentielles ».

Ce n’est pas vraiment un repaire de marxistes ; pourtant, leur exposé sur cette « marge [de profit] d’une importance sans précédent » se poursuit sur vingt-trois pages (1). Et qui redoute le pire ? Ce constat, chiffré, est unanimement partagé. Par le gigantisme des sommes en jeu, des dizaines de milliards d’euros, ces 9,3 % devraient s’installer au cœur du débat. Revenus-Salaires - Nombre et taux de personnes vivant sous le seuil de pauvreté selon leur âge.

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