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Palestine occupée

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ISRAËL: Sadique ou immorale? (Vidéo) Sionnisme et Israël. Le conflit israélo-palestinien expliqué sans langue de bois. Un nouvel ouvrage sur le conflit israélo-palestinien, « Le Conflit Israélo-Palestinien, des origines cananéennes de la Palestine à sa demande d'adhésion à l'ONU », vient de sortir aux éditions « Le Retour aux Sources ». Son auteur, Jean-François Goulon, traducteur émérite et engagé, livre une version très différente, très riche et très bien documentée de la version « officielle » généralement présentée dans les médias. L'originalité de ce livre est de livrer de nombreux extraits d'auteurs rarement ou jamais traduits en français, qui ne mâchent pas leurs mots pour s'exprimer sur ce conflit meurtrier. Parmi ces auteurs, Benny Morris, Illene Beatty, Martin Buber, Noam Chomsky, Norman Finkelstein, Sami Hadawi, Ilan Pappé, Don Peretz, Edward Saïd ou Tony Judt.

En quatrième de couverture, la couleur politique de cet ouvrage est annoncée sans fioritures : Philippe-Justin Schneider --> Disponible sur amazon. Israël : L’inévitable chute du régime d’apartheid, par André Chamy. Ceci n’est ni un vœu pieux, ni une incantation, mais bien la conclusion d’une analyse qui, en revenant sur l’origine de cet État, devenu symbole de terreur et système de crimes organisés usant de tous les moyens pour prétendument assurer sa sécurité, met en évidence la fuite en avant d’un régime qui dure depuis plus d’un demi siècle. Pour poursuivre leur mission divine, les États-Unis ont besoin d’un Israël En 1912, envahissant le Mexique, le président états-unien William H. Taft déclarait : « Je dois protéger notre peuple et ses propriétés au Mexique jusqu’à ce que le gouvernement mexicain comprenne qu’il y a un Dieu en Israël et que c’est un devoir de lui obéir ».

À cette époque l’État d’Israël n’existait pas encore, le président états-unien voulait rappeler le caractère providentiel du rôle de son pays, mais cette phrase annonçait déjà la nécessité d’un lieu saint ayant une portée symbolique pour les activités de son pays à travers le monde. Israël, gendarme états-unien au Proche-Orient. Près de 200 cadavres palestiniens découverts dans des fosses communes à Tel Aviv. Les restes de dizaines de Palestiniens, tués durant la guerre sioniste contre les arabes en 1948, ont été découvert dans six fosses communes situées dans le quartier de Jaffa, à Tel Aviv, mercredi dernier. Les fosses ont été découvertes quand le sol s’est affaissé alors que des ouvriers de construction étaient à l’œuvre sur un chantier de rénovation dans la zone, selon un responsable du cimetière musulman interrogé par l’AFP. Les corps sont apparemment ceux de victimes du massacre perpétré par des milices d’extrême droite juive dans l’ancien district arabe.

Le journal As-Safri a rapporté que près de 200 corps pourraient se trouver dans ces fosses, un chiffre qui pourrait être majoré avec l’exploration des autres fosses. « Les restes de corps humains appartiennent à des gens de tous âges, dont des femmes, des enfants et des personnes âgées, et certains d’entre eux ont apparemment été victimes de violence », a affirmé le chercheur et historien Mahmoud Obeid. Documentaire pour comprendre Le conflit israélo-palestinien. Le nombre de civils Palestiniens tués en 2014 le plus élevé depuis 1967. Le nombre de civils Palestiniens tués lors d’affrontements avec «Israël» a atteint en 2014 un niveau sans précédent depuis la guerre des six jours de juin 1967, selon un rapport de l’ONU (1) rendu public jeudi. «2014 a connu le pire bilan pour les pertes civiles parmi les Palestiniens depuis 1967», en raison surtout du bilan des morts durant l’offensive lancée l’été dernier par l’armée israélienne dans la bande de Gaza.

Lors de cette agression, «plus de 1 500 civils ont été tués, 11 000 ont été blessés et 100 000 déplacés», des personnes qui n’avaient toujours pas retrouvé de domicile fin 2014,Le nombre de civils Palestiniens tués en 2014 le plus élevé depuis 1967. selon le rapport annuel de l’Office des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires dans les territoires palestiniens occupés (Ocha). Au total, 2 220 Palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza. Parmi les victimes figurent 550 enfants, précise le document intitulé «Vies fragmentées». PALESTINE. La Cour pénale internationale ne peut rien contre Israël.

En signant le statut de Rome, qui régit les règles de la Cour pénale internationale (CPI), Mahmoud Abbas menace d'ouvrir des poursuites pour crime de guerre qui pourraient donner lieu à des condamnations. Mais la route est semée d'obstacles juridiques. Mercredi 31 décembre 2014, Jérusalem a exprimé sa colère à la suite de la décision palestinienne d'adhérer à la Cour pénale internationale (CPI). Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a promis une “riposte”. Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, menaçait depuis longtemps de signer le Statut de Rome, ce que beaucoup considéraient comme son arme fatale contre Israël. Toutefois, les personnes qui connaissent bien les rouages de la CPI, installée à La Haye, savent que la route menant à une condamnation des Israéliens pour crimes de guerre ou crimes contre l'humanité sera longue et semée d'embûches.

Déposer une plainte concernant Gaza devrait être encore plus compliquée. Admission de la Palestine à la Cour pénale internationale. La Palestine est devenue officiellement ce mercredi le 123ème membre de la Cour pénale internationale, adhérant au Statut de Rome, le traité fondateur de la CPI. La cérémonie a eu lieu au siège du tribunal, à La Haye aux Pays-Bas. L’autorité palestinienne était représentée par le ministre palestinien des Affaires étrangères, Ryad al-Maliki. “Le Statut de Rome s’appliquant désormais à l’Etat de Palestine, la Palestine a acquis tous les droits et tous les devoirs liés à ce statut d’Etat membre”, a expliqué la Seconde vice-présidente de la CPI, la juge Kuniko Ozaki. > Voir le communiqué de la CPI. Le processus d’adhésion a été initié fin 2014 en dépit de l’hostilité d’Israël et des Etats-Unis. Dans les rues d’Hébron en Cisjordanie, cette adhésion à la CPI est évidemment très bien accueillie. “Tout ce qui peut permettre de dénoncer l’hypocrisie de l’occupation israélienne est le bienvenu, estime Sharif, un des habitants d’Hébron.

Gaza / Alain Gresh humilie Meyer Habib sur LCP - 11/07/14.