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La soumission à l'autorité

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Santé RH. L'autorité hiérarchique L'autorité hiérarchique est bien définie dans le statut des fonctionnaires. Elle est en général bien connue de tous, agents titulaires ou non titulaires de la fonction publique dans les établissements de santé, même si le rappel du devoir d'obéissance hiérarchique est parfois mal vécu. Dans le statut, l'autorité hiérarchique est aussi dénommée autorité ayant le pouvoir de nomination ou autorité ayant le pouvoir disciplinaire. L'autorité est donc bien affaire de pouvoir et introduit un lien de subordination entre deux acteurs. Le pouvoir hiérarchique est le contrôle qui est exercé par le supérieur hiérarchique sur les agents qui lui sont subordonnés. Autorité, pouvoir, contrôle et responsabilités Ordre manifestement illégal, ordre inapplicable ?

Deux conditions cumulatives doivent donc être réunies pour ne pas obéir : un ordre illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public. Autorité. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Notion[modifier | modifier le code] Autoritarisme[modifier | modifier le code] Au point de vue démarche, l'autoritarisme correspond à l'attitude de la personne qui contraint physiquement et/ou psychiquement les personnes qu'elle commande. Légitimité[modifier | modifier le code] L'autorité ne correspond pas à une qualité intrinsèque, mais à une attribution ou une conférence qui légitime le pouvoir de commander et d'être obéi. L'autorité d'un magistrat tient de la Loi, ainsi que de sa fonction au sein de la justice (règlement, structure). Pouvoir[modifier | modifier le code] L'autorité correspond à une valeur reconnue et attribuée ou conférée ; elle diffère donc du pouvoir.

Commandement et obéissance[modifier | modifier le code] Le commandement est l'action et l'objet de la personne qui commande, c'est-à-dire qui donne un ordre. Ce bien-fondé est évalué selon les désirs individuels et les jugements personnels d'ordre public. La soumission à l'autorité. On doit cette célèbre expérience à Milgram.

La soumission à l'autorité

Cette expérience a été maintes fois reproduite dans de nombreux pays et les résultats sont toujours aussi convaincants que ceux de Milgram. Cette expérience peut donner des pistes de réflexions sur ce qui peut amener des personnes à torturer (ici par des chocs électriques) d’autres personnes et cela, non pas du fait de leurs caractéristiques individuelles mais du fait d’un contexte spécifique. La procédure est simple : La consigne est simple : Si l’élève donne une mauvaise réponse, le professeur (sujet naïf) doit lui administrer un choc électrique croissant de 15 volts à chaque erreur et cela de 15 jusqu’à 450 Volts où il est d’ailleurs indiqué « danger ». L’expérimentateur habillé de sa blouse blanche n’a le droit de dire que quelques phrases telles que : « vous devez continuer » ou « il faut continuer » ou « continuez » ou « l’expérience veut que vous poursuiviez » ; pour mettre quelques variantes.

Conditions générales spécifiques : Autorité parentale. La loi n°2002-305 du 4 mars 2002 a remanié l'article 371-1 du Code civil en disposant que "L'autorité parentale est un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalité l'intérêt de l'enfant".

Autorité parentale

Elle appartient au père et à la mère jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant pour le protéger dans sa sécurité, sa santé, et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne. Les parents associent l'enfant aux décisions qui le concernent, selon son âge et son degré de maturité.

L'expression "droit de garde" et l'adjectif "légitime" pour caractériser l'enfant né d'un couple marié, ont disparu du langage juridique. l'intérêt de l'enfant doit être pris en considération par le juge, même lorsque les conditions d'application de l'article 350 du code civil sont réunies. Parmi les dispositions remarquables, il convient de noter que : La séparation des parents est sans incidence sur l'exercice de l'autorité parentale. Filiation.